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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 13:51

Cette année, les élèves des deux classes de sixième ont visité le château du Rivau et ses jardins de contes de fées. A la suite de cette visite, ils ont réalisé plusieurs travaux d'écriture dont des contes. Les situations initiales et finales ont été créées par l'ensemble de la classe.

Voici leur création :

   Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança près du roi et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Hervé, s'assit près du roi.

   C'était un jour, au château du Rivau, je décidai d'aller chercher dans le labyrinthe un serpent très rare. Le roi voulait le chasser mais personne n'avait encore osé l'attaquer. Je savais qu'il s'y trouvait plein de pièges. Je partis vers le labyrinthe. En chemin, je rencontrai une fée à qui je proposai de m'aider pour franchir les pièges. Alors, j'entrai dans le dédale à la recherche de ce serpent qui était très dangereux ; je vis tout de suite les pièges : une porte qui se refermait, des couteaux qui chutaient, un lac plein de crocodiles et un trou de lave. A la porte qui se refermait, la fée l'ouvrit pour que je puisse passer ; aux couteaux qui chutaient de tous les côtés, elle les transforma en poussière ; elle mit dans le lac aux crocodiles du poison et elle solidifia le trou de lave.

   En arrivant devant le serpent, je voulus l'attaquer mais il me mordit avec ses crocs. La fée intervint en m'injectant un antidote et elle m'enveloppa d'une grande couverture pour que je n’aie pas froid. Je me mis à trembler, à gémir et enfin j'ouvris les yeux. J'étais rétabli. Je capturai le méchant serpent. Je le mis dans une cage et l'emmenai au roi.

   Le roi trouva que j'avais été très courageux et très malin. Comme convenu, il me donna la main de sa fille et la moitié de son royaume. Ce fut un beau mariage.

Amandine.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit. « Sire je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme nommé Rémi, s’assit près du roi.

"C’était un jour, au château du Rivau,  je vis une fée prénommée Marion qui vint me prévenir que dans la nuit des ennemis allaient encercler le château du Rivau. Je la crus tout de suite car je la connaissais bien. A cet instant, je me rappelai de votre annonce ; alors je pensai que les bottes géantes pourraient m’aider. Tout d’un coup, j’eus une idée : je sortis du château avec les bottes géantes et de l’argent pour me rendre au village. Mais comme j’étais en dehors du château, bien décidé de vous sauver, vous, votre famille et les villageois, j’achetais du pain, de l’eau, de la viande et des légumes avec l’argent. Il me restait cependant un problème à résoudre : je n’étais pas transparent !

Trois jours plus tard, la fée me rejoignit à l’auberge. Celle-ci pourrait me rendre transparent avec ses pouvoirs magiques, pour que je vienne déposer la nourriture au château ; je le lui demandai et elle accepta. J’enfilai les bottes géantes pour y arriver plus facilement. Je passai auprès des gardes sans problème et je donnai la nourriture au roi qui me donna beaucoup d’argent. Et grâce aux bottes, je commençais ainsi rapidement des allers-retours jusqu’à ce que les ennemis partent."

Le roi trouva que le jeune homme avait été très courageux et très malin. Comme promis, il m’offrit la moitié du royaume et sa fille.

Aude.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé.». Le jeune homme, nommé Jules, s'assit près du roi.

"C'était un jour au château du Rivau, je me promenai dans le jardin et trouvai un arrosoir géant tout rouillé, avec plein de trous ! Je pensai que ce serait bien d'en fabriquer  un autre pour que le géant puisse arroser toutes les fleurs en même temps. Je pris de la terre que je mélangeai avec de l'eau. Je connaissais beaucoup de recettes magiques sauf celle pour transformer la terre en caoutchouc. Alors je continuai ma promenade dans le jardin mais impossible de trouver cette recette. A force de me promener et de réfléchir, une nouvelle idée me vint à l'esprit : demander de l'aide à ma marraine, la bonne fée. J'allai donc la trouver dans le jardin des fées. Je lui exposai mon problème.

Elle alla près de ma préparation en terre, prononça une formule incompréhensible et transforma l’arrosoir de terre en un en caoutchouc."

Après la fabrication de cet arrosoir, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.  

Mathilde.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé François, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, j’arrivai dans le jardin lorsque j’entendis votre message. Je réfléchissais toutes les nuits à ce que je pourrais faire. Et là, j’eus une idée. Comme je savais que la reine avait disparu depuis plusieurs années, je partis à sa recherche. Je réfléchis où elle pouvait se trouver et qui avait pu l’enlever. L’ogre aurait pu le faire car il était grand et fort. Mais où pouvait-il se cacher ? Je partis à sa recherche en commençant par le labyrinthe d’Alice au  pays du Rivau. En chemin, je rencontrai les grandes jambes rouges. Je leur demandai de me guider jusqu’au labyrinthe et si elles n’avaient pas une idée où la reine se cachait. Mais elles ne savaient pas. Je grimpai  tout en haut d’une des grandes jambes rouges qui me conduisit au labyrinthe. Elles me prévinrent qu’il était piégé. J’observai tous les pièges et je m’aventurai dans le dédale. Grâce à mon intelligence et à mon courage, j’évitai chacun des pièges. Je cherchai partout mais je ne vis ni ogre, ni reine. Je continuai ma recherche et m’arrêtai dans la Forêt Enchantée. Je demandai aux nains s’ils savaient où la reine se cachait. Mais ils ne savaient pas. Je continuai ma recherche quand j’eus une nouvelle idée. Normalement, l’ogre se cachait dans une grotte. Alors, je partis à sa recherche quand j’aperçus une tour avec une natte qui y pendait. Je crus que c’était la reine, mais une jeune fille se retourna et me vit. Je reconnus votre fille. Alors, je repartis à la recherche de la reine. Et là, je vis une grotte ! J’y courus. L’ogre m’entendit et sortit de son antre. Je pris mon épée, m’élançai et la lui enfonçai dans le cœur. La reine criait au secours à l’intérieur de la grotte. Je la délivrai et je vous la ramenai. »

Après cet exploit, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard je me mariai avec la princesse.

ALICE

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier prétendant s’avança et commença son récit : “Sire je vous ai obéi , j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé.” Le jeune homme, Thomas, s’assit près du roi.

"C’était un jour au château du Rivau, je me promenai dans le jardin quand j’aperçus qu’une personne avait déposé des diamants, dans La Forêt qui court. Plus tard, je fis la rencontre d’un géant, si grand que j’eus peur. Je voulus savoir si ces pierres si brillantes étaient à lui. Comme je les voulais pour les offrir au roi, il fallait que je le combatte d’une façon spéciale. Je m’élançai et d’un bond, je grimpai le long d’une grande Jambe rouge et je le tuai."

Après cet exploit, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume.

Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.

THOMAS H.

 Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Jules, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau, je me promenais quand je vis de très gros trous dans la terre mais je ne trouvai pas ce que c'était. Le lendemain, je revis un autre gros trou et je trouvai une galerie ; je pénétrai dans celle-ci quand tout à coup, je vis une taupe géante qui creusait un tunnel, j'essayai de la rattraper mais elle allait trop vite.Trois jours après, je revis cette taupe géante. Je voulais la tuer parce qu'elle faisait trop de dégâts dans les jardins.  Elle dormait ; elle ne m'entendit pas marcher mais soudain elle me sauta à la gorge ; aussitôt je lui plantai mon épée dans le cou et la taupe géante tomba morte. J'apportai l'animal géant devant le roi. »

Après cet exploit, le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la princesse.

ARMAND.

 

Autrefois, un roi promit à sa fille et la  moitié de son royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Jean, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château de Rivau, je me promenai dans les jardins et je vis une grande prairie. Je trouvais cette zone vide et je voulais y placer une construction qui la mettrait en valeur, tout en accomplissant une chose incroyable car j’aimais la princesse et le château était magnifique. Je réfléchis longtemps ; lorsque le soleil se coucha, j’eus une idée. Je savais que la fille du roi avait un chat qu’elle adorait et qu’elle aimait les labyrinthes : je pourrais donc lui en créer un en forme de tête de chat. Cette construction plairait au roi car il aimait tout ce qui faisait plaisir à sa fille. Je me souvins d’un vieux jardinier qui était un de mes amis. Je pensai qu’il pourrait m’aider car il était un peu magicien. Malheureusement il y avait un inconvénient, il habitait très loin et j’avais du travail à faire. Je décidai donc d’aller  jusqu’au Pot rouge, là où vivaient les fées, pour leur demander si elles pouvaient m’aider. Quand je fus arrivé là-bas, les fées acceptèrent et me fabriquèrent une boule magique qui me permit de me rendre chez mon ami en moins de trois minutes. Après les retrouvailles, je parlai de la situation à mon ami. Il se dirigea vers un placard où il prit un pot. Le jardinier m’expliqua que cette boîte contenait des graines magiques qui produisaient un maléfice une fois qu’elles seraient plantées. Quand je le quittai, je ne me souciai plus de l’inconvénient des graines.

Lorsque je fus de retour dans le jardin du Rivau, je me précipitai vers la prairie où je plantai mes graines. Une fois terminé, je rentrai chez moi, je posai le pot sur une étagère et j’allai me coucher.

Le lendemain, je fus réveillée par d’horribles cris. Je me précipitai et je regardai par la fenêtre d’où je vis un ogre monstrueux. Il détruisait tout sur son passage et ne prenait pas pitié des pauvres gens affolés qu’il dévorait tout crus. Sans réfléchir une seconde, je saisis le pot, qui pourrait me servir et je m’échappai le plus vite possible. Je trouvai une cachette où je m’installai. J’observai mon pot en espérant trouver une chose pour arrêter cette catastrophe. Je ne trouvai qu’un vieux papier jauni par le temps. Je le dépliai et je pus lire ceci : « Si un mauvais sort est jeté, seul, un geste d’amour sincère pourra l’annuler. »

Je pris alors la décision d’aller au Jardin des Filtres d’amour où je pourrais peut-être trouver une idée. Quand je fus arrivé, je vis la princesse en pleurs avec son chat. Lorsque je lui demandai ce qui la rendait si triste, elle me répondit que son père, le roi, avait été mangé par l’ogre. Je n’eus pas le temps de réagir que l’ogre apparut. Je pris la main de la princesse et la tirai derrière un buisson où nous nous cachâmes. Quand nous relevâmes la tête pour voir ce que l’ogre faisait, la fille du roi hurla et je vis le monstre se saisir du chat de la jeune fille. En voyant cette scène, courageusement je sortis du buisson. Je me glissai le long de ses jambes et de son corps. Quand je fus sur ses épaules, je courus jusqu’à ses mains et j’attrapai le chat. Je glissai sur le sol et rendis le félin à sa maîtresse. Pour me remercier, elle m’embrassa. C’était le plus beau jour de ma vie. Comme ce bonheur était grâce à l’ogre, je décidai de le remercier. De la même manière que pour sauver le félin, je grimpai sur ses épaules puis je l’embrassai. Mais au même moment, il disparut et je tombai, fort heureusement, sur un gros tas de feuilles. Quand je relevai la tête, je vis des pépites d’or tomber du ciel, qui, à leur passage, réparaient les dégâts causés. Je repensai alors au vieux papier du pot ; je me dirigeai vers la prairie, quand j’aperçus le roi devant un labyrinthe en forme de tête de chat. Cette journée était vraiment la plus belle de ma vie. »

Après la fabrication du labyrinthe, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.

DARINA.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit  «  Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Henri, s’assit près du roi.

« C’était un jour au château du Rivau, je cueillai des pommes dans un pommier, près du château, avec mon échelle mais tout à coup une gigantesque lumière bleue jaillit dans les airs ; de peur, je tombai. La créature eut aussi peur et elle partit en laissant une potion magique et une lampe. Alors, je les posai sur la table de la cuisine et je les regardai. Une nouvelle lueur bleue jaillit une seconde fois. Je compris que la créature était un coq aux yeux bleus, aux ailes en or, au corps en poterie, et aux ergots en fer. Je me demandai pourquoi il était là ; il me répondit que j’avais un cœur vaillant et que j’étais sage et courageux. Je ne comprenais pas ce que voulait cet animal étrange. Durant la nuit, j’étais dans mon lit quand j’entendis un bruit qui surgit de la cuisine.

 « OH OH OH ! Henri tu auras droit à trois voeux ». Là, je compris que c’était la lampe magique ; en me rendant dans la cuisine, je dis mes trois vœux. Je fabriquai donc un coq en poterie comme celui que j’avais rencontré ; je continuai à créer toute la famille Pot de Terre et je les disposai sur un damier, pour que le roi puisse jouer au soleil, aux échecs. »

Après cet exploit, je revins au château ; le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.  

LUIS-ANTONIO.     

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Claude, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château de Rivau, je m’étais promis de construire un labyrinthe. Je me demandai en quoi j’allais le faire : en métal ? En bois ? En feuillage ? En carton ? Mais je ne pouvais pas le faire en métal car cela m’aurait couté trop cher ! Ni en carton car il n’aurait pas été solide. J’avais le choix entre la beauté du feuillage et la solidité du bois. J’ai demandé de l’aide à un ami qui utilisait la magie. Il se nommait Eliase. Il me conseilla un labyrinthe en feuillage. Je lui demandai où j’allais trouver toutes ces haies. Et là, il fit apparaître les feuillages, mais je devais encore les installer ! Je devais aller chercher des pieux dans la Forêt Enchantée. Une fois arrivé au bout de la forêt, je me trouvai face à une vipère qui était juste devant les pieux. Elle me sauta dessus et me mordit.

Eliase me soigna, il dut utiliser la magie. Je me relevai une ou deux heures  après. Je me rendis sur les lieux de ma future oeuvre, j’installai les pieux et les haies. Mais il me restait un pieu dans la main quand un monstre apparut. Aussitôt je le lui envoyai dans l’œil et il mourut. »

De retour au château, le roi offrit la main de sa fille et la moitié de son royaume à ce prétendant. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants qui jouaient dans le labyrinthe.

MATHIS.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Joseph, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau.  Quelques semaines plus tôt, le château avait été attaqué par un dragon qui avait enlevé la princesse. Comme j'étais courageux et vaillant, je décidai de la délivrer du dragon.

Je me mis en chemin vers la tour. En arrivant, je pris mon arc avec des flèches empoisonnées pour tuer la bête féroce. Je m'en approchai mais il dormait encore. Je me mis donc à grimper dans la tour et j'aperçus la princesse qui sommeillait. Soudain l'animal ouvrit un l'oeil, il me vit mais je redescendis pour me cacher. Le dragon me chercha mais il ne me trouva pas. Lorsque qu'il eut le dos tourné, je pris une flèche et je tirai. Je réussis à toucher le dragon en plein cœur. Je pus grimper le long de la tour par la natte qu’elle avait confectionnée. Je la délivrai. »

Nous fîmes un grand festin pour le retour de la princesse qui était très contente. Le roi m'offrit une partie de son royaume et sa fille en mariage.

JOSEPH.

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Martin, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, j’allais dans la forêt quand j’eus une idée ; je pris une feuille et des outils pour fabriquer de grandes jambes pour que le roi puisse aller rapidement visiter son royaume. Je m’installai dans l’herbe et je fis des plans. Mais je n’arrivai pas à les construire ; je me levai, marchai puis m’assis au pied d’un arbre ; je me mis à pleurer. Soudain une branche me tapa sur l’épaule ; je bondis et partis en courant. Mais je sentis que je ne touchai plus le sol ; je me retrouvai assis sur une branche de l’arbre. Je criai puis le chêne me posa par terre et je compris qu’il ne voulait pas me faire de mal.

Je lui expliquai que je voulais : fabriquer de grandes jambes rouges pour le roi ; l’arbre me donna une partie de ses branches pour les construire. Je me mis au travail avec mes outils : je coupai, ponçai et peignis en rouge les branches qui se transformèrent en jambes géantes. Je les mis aux pieds et là, dès le premiers pas, j’arrivai directement au château. J’appelai le roi pour lui montrer mon invention. Il les essaya à son tour et il les trouva merveilleuses. »

Après cet exploit, la fabrication des jambes, je revins au château. Le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard je me mariai avec la jeune fille.

AMELIE.

 

Autrefois un Roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme nommé François s'assit près de moi.

« C'était un jour au château du Rivau, j’allais dans les jardins et là, je vis un petit terrain vide ; je pensais que pour satisfaire le roi, je pouvais construire quelque chose qui ravirait le roi. Je cherchai pendant des heures ; j'allais demander à Jacqueline, la fée qui trouvait toujours des idées. Je la contactai ; comme d'habitude elle trouva une idée formidable : elle me proposa de fabriquer de grandes jambes rouges, pour que le roi puisse se déplacer rapidement, dans son royaume. Je les fis donc et je les posai dans la Forêt qui court. Je les offris au roi qui fut très content. »

Après cette élaboration, Jaqueline, la fée disparut. Je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et la moitié de son royaume. Plus tard je me mariai avec la jeune fille.

ASSIM.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Luc, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau, je m'ennuyais quand une idée me vint pour épouser la princesse, j'allais accomplir un exploit qui plairait au roi. Je m'y mis dès le matin suivant. A la fin de la semaine, il me restait une jambe à construire et à peindre. Je cherchai un endroit dans la fôret du Royaume pour installer les grandes jambes rouges. Enfin, je trouvai un endroit magnifique. J'arrivai à mes fins. Le roi attendait ma visite. Après la construction des jambes géantes, je revins au château. »

Le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie du royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune princesse.

CLEMENT.

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit ! « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Michel, s’assit prés du Roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, je me promenais dans le jardin, quand j’eus une idée pour obtenir votre fille. Je voulais passer par les quatre chemins du labyrinthe pour accéder à la maison de l’ogre afin de le tuer. Mais je ne le vis pas. Puis j’aperçus une tour. J’y montai et je vis les quatre sentiers. Je passai par le troisième en découvrant par terre, un, deux, trois outils ; je les ramassai, je les pris et je fabriquai un piège pour vous débarrasser de l’ogre. Ce fut vite fait car le géant fut pris et je l’emmenai loin du royaume. »

Après cet exploit, je revins au château et le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai.

JESSICA.

 

 

                                                                                                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D'étranges aventures dans les jardins du Rivau.
D'étranges aventures dans les jardins du Rivau.
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