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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 09:45

Les élèves de sixième ont étudié Alice au Pays des merveilles de L. Carroll. Ils ont écrit des textes par imitation du début du conte. Alice rencontre d'autres animaux...

Bonne lecture et n'hésitez pas à laisser des commentaires.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » Mais quand l'écureuil doré sortit un calendrier de sa veste, se dépêcha puis tomba en s’emmêlant les pattes, Alice se leva d'un bond car elle n'avait encore jamais vu d'écureuil doré avec un calendrier. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa maison.

     Le grand chêne se présentait d'abord droit comme un arbre sans fin, avec une branche par centimètre ; Alice se trouva en train de monter jusqu'à la cime du grand chêne.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers des cadres accrochés dans l'arbre, représentant cet écureuil doré.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, BOUM ! BADA ! BOUM ! Elle arriva enfin assise en haut de la cime du chêne.

Nina.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil dorée passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire renvoyer de mon poste de photographe ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un appareil photo d'une veste en jeans, l'alluma puis prit une photo, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec un appareil photo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans un jardin.

     Le grand chêne se présentait d' abord comme une échelle montant très haut dans le ciel ; Alice se retrouva en train de monter dans l'arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le jardin ; enfin ; elle tourna son regard en haut du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, crack ! Crack ! Elle se trouva maintenant à la cime du chêne.

Sorenza.

 

      Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d’entendre un écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais être tout sale ! » ; Mais quand l’écureuil doré sortit un miroir de sa poche, se regarda puis le rangea, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil avec un miroir. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter le long du tronc, sur un grand chêne.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme une règle ; Alice se retrouva entrain de grimper le long du chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les feuilles du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, cric, crac ! Elle tomba sur la cime de l’arbre.

Laure.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis désorienté ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa veste, regarda l'aiguille, puis  partit vers le sud,  Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait droit comme un soldat. Alice se retrouva en train de monter vers le haut du grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voire en haut ; ensuite, elle regarda une des branches enfin, elle tourna son regard vers un oiseau.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, crac ! Crac ! Elle arriva à la cîme du chêne.

Amélie.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa chemise, regarda l'aiguille, puis chercha le nord, Alice se leva d'un bond car elle n'avait  jamais vu d'écureuil doré avec une chemise et une boussole. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le chêne se présentait d'abord comme un grand vigile. Alice se retrouva en train de grimper dans un arbre, sans fin.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cime de l'arbre ; enfin, elle tourna son regard  vers une corde qui pendait de couleurs « bleu, blanc, rouge ».

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain «  Boum bada boum ! ». Elle tomba sur le haut du chêne, en forme de nid.

Jules L.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais appeler mon ami pour lui dire que je serai en retard » ; mais quand l’écureuil doré sortit son portable de son pantalon, appuya sur les touches puis parla très fort, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, au milieu d’un bois touffu.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme une longue chenille qui se tordait. Alice se retrouva en train de courir vers l’arbre à glands, au milieu du bois sombre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d’elle ; enfin elle tourna son regard vers l’endroit où l’écureuil était monté.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Voh ! Voh ! ». Elle fut téléportée à la cime du chêne.

Romane.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

    Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire couper la tête ! », mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de sa veste, regarda le sable qui tombait puis bondit plus haut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’un étang.

     Le nénuphar se présentait d’abord avec une grosse fleur blanche et un rond vert. Alice se retrouva en train de sauter sur un autre nénuphar.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la taille de l’étang, enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba au fond de l’étang.

Léo.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je fume trop, aussi certain qu’un éléphant est un éléphant ! » Mais quand l’écureuil doré sortit une pipe de son jean, fuma puis se dirigea vers un grand chêne, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une pipe. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter dans l’arbre, dans le pré.

     Le grand chêne se présentait d’abord petit puis quand on le contemplait, on le voyait toucher les nuages. Alice se trouva en train de grimper jusqu’aux cieux.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda les branches ; enfin elle tourna son regard en bas.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! » Elle heurta une branche, en haut du chêne.

Luc.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice  ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : «  Oh !  Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois écrire mon livre ! » mais quand l’écureuil doré sortit un stylo de son pantalon, l’ouvrit puis écrit sur sa main, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un stylo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le passage secret d’un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le grand chêne se présentait d’abord droit comme un piquet ; Alice se retrouva en train de monter par l’échelle du grand arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers l’intérieur du chêne qui était violet enfin elle tourna son regard vers le sol qui lui était jaune.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva sur une branche, à la cime du chêne.

Adèle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil ; quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois rentrer ou les noisettes seront trop cuites ! » ; mais quand l’écureuil sortit son sablier de sa cape, le retourna puis se hâta, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, derrière le pré, à la lisière d’une forêt.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme un gratte-ciel puis se penchait vers sa cime ; Alice se retrouva en train de monter dans l’arbre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda une branche enfin elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime du grand chêne.

Kyllian.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « OH ! Là ! Là ! Là ! OH ! Là ! Là ! Là ! Je suis en manque de noisettes ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un portable de sa poche, l’alluma puis regarda l’heure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter à toute vitesse dans un grand chêne, au milieu de petits buisson.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme un immense arbre bien droit avec de belles branches, couvertes de feuilles marron.

     Alice se retrouva en train de réfléchir devant l’immense arbre. D’abord elle essaya de voir en haut ; elle regarda derrière le chêne ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Boum ! Badaboum ! ». Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Mario.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller casser des glands ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une cuillère de son pantalon, cassa les glands puis les emporta pour les manger, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une cuillère. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir entrer dans le trou d'un chêne, au milieu d'un champ.

     Le chêne se présentait d'abord immense, il avait énormément de feuilles ; Alice se retrouva en train d'observer le passage de l'écureuil doré.

     D'abord elle essaya de voir en haut, ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers le trou du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « clac ! Clac ! ». Elle échoua à la cime du chêne.

Félix.

 

     Alice  commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là !  Je dois rentrer, il ne faut pas que je laisse brûler ma tarte aux fraises des bois ! »; mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de la poche de sa veste, courut puis tourna à droite, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier dans une poche de veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, dans une mare.                                                                                

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grosse feuille verte ; Alice se retrouva en train de plonger dans la mare.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite, elle regarda autour de la mare ; enfin, elle tourna son regard vers le ciel.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Glou ! Glou ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Baptiste.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vois la reine au loin ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa longue-vue de sa salopette, cria de peur puis s’enfuit vers un arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une longue-vue. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir jongler sur le grand chêne, à la cime de l’arbre.

     Le grand chêne se présentait d’abord entortillé comme un ressort ; Alice se retrouva en train de sauter sur les branches.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le champ ; enfin, elle  tourna son regard vers le sol.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain  « Bing !  Bing ! » Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Dorine.     

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : «Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois rentrer rapidement à la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit le cadran solaire de son chapeau melon, observa le soleil puis se hâta de rentrer, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un cadran solaire, à l'intérieur d'un chapeau melon. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans une mare, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d'abord comme un tapis de nénuphars vert pomme très sombre ; Alice se retrouva en train de plonger dans une mare très profonde.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau; ensuite elle regarda vers les rives ; enfin, elle tourna son regard vers les nénuphars de la mare et s'aperçut qu'ils cachaient une grande quantité de grenouilles.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « BOUM ! BOUM ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Quentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir  à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil,  quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle,  en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de sa veste, regarda l’aiguille indiquant le nord puis partit vers la forêt,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu  d’écureuil doré avec une boussole.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa balançoire.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de très longues branches, des feuilles vertes et brillantes et un gros tronc ; Alice se retrouva en train de monter sur chaque branche, vers le haut de l’arbre.  

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les petites branches ; enfin, elle tourna son regard vers le tronc du chêne, qui était plein de trous.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Badaboum ! Badaboum ! ». Elle tomba assise sur la cime de l’arbre.

Maïwen.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne peux pas déposer cette mallette à temps ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une petite mallette de son costume, la regarda, puis commença à courir, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une mallette et un costume. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir  disparaître dans l'eau.

     Le nénuphar se présentait d'abord assez large avec une belle fleur ; Alice se retrouva en train de sauter sur les autres nénuphars.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin elle tourna son regard vers l'étang.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba brusquement dans le fond de la mare.

Axelle.

     Alice commençait à se sentir lasse d'étre assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré  passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! La ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller au club lecture ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un livre de sa veste, l’ouvrit puis lut la première page, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste d'où il pouvait sortir un livre. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le grand chêne, dans la forêt.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme un arbre gigantesque avec plein de glands ; Alice se retrouva en train de grimper sur le grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda une drôle de bibliothèque accrochée à des branches ; enfin, elle tourna son regard vers des casiers où étaient rangés des livres.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quant soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime de l'arbre.

Jeanne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit son agenda de sa veste, le regarda pour l'heure du rendez-vous puis hurla qu'il est très en retard, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste et un agenda. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans le trou du chêne, dans la grande forêt, loin de sa sœur.

     Le grand chêne se présentait d'abord très haut, tout droit et des branches poussaient dans tous les sens ; Alice se retrouva en train de rentrer dans le grand chêne immense.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait, quand soudain, « Ouille ! Ouille ! ». Elle se cogna à la cime de l'arbre.

Louise.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis à la porte ! »; mais quand l’écureuil doré sortit ses clefs de son pull, chercha la bonne clef puis disparut dans l’arbre,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pull avec des poches. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans sa maison, dans un grand chêne.

     Le grand chêne permettant d’entrer dans la maison par une petite porte se présentait d’abord avec un escalier en forme de spirale ; Alice se retrouva en train de monter dans le grand chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers les branches du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Waouh ! Waouh ! ». Elle réussit à atteindre la petite porte, en haut du chêne.

Enola.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois activer l’ascenseur ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit la télécommande de son pull, appuya sur une touche puis avança d’un saut de géant, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une télécommande. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans l’ascenseur, au milieu du grand arbre.

     Le chêne se présentait d’abord en faisant une boucle de trois cent cinquante sept mètres ; Alice se trouva en train de faire les cent pas devant l’arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cabine dans l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers une drôle de maison à oiseaux, accrochée au chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait !

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain : « Frac ! Frac ! ». Elle tomba la tête contre les branches de la cime de l’arbre.

Etienne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas ça étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! » Je vais être pauvre ! » ; mais quand il sortit son billet de sa veste en or, repartit à la recherche d’argent puis acheta des objets de valeur, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un billet et une veste en or. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter sur le grand chêne, dans un grand trou.

Le chêne se présentait d’abord haut comme une girafe avec des petits coffres-forts accrochés à l’écorce ; Alice se trouva en train de monter vers le haut..

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda vers les coffres enfin elle tourna son regard à gauche, vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Pliiif ! Pliiif ! ». Elle arriva à la cime du chêne, qui sembalit tout doré.

Estèphe.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas pouvoir passer à la maison ! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit un sablier de son pantalon, écarquilla les yeux puis détala, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier et un pantalon. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps, pour le voir monter dans l’ascenseur, dans le chêne.

Le grand Chêne se présentait d’abord comme immense ; Alice se trouva en train de regarder à l’intérieur de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda autour du tronc ; puis, elle tourna son regard vers les branches les plus hautes.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait, quand soudain « Pslatch ! Pslatch ! ». Elle s’arrêta, assise à la cime du chêne.

Gabrielle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise à côté de sa sœur sur le talus, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un Ecureuil Doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’Ecureuil Doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je n’ai pas lu le livre de Jacko ! » ; mais quand l’Ecureuil Doré sortit ses lunettes de sa veste, prit un livre puis le lit, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’Ecureuil Doré avec une veste et des lunettes. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le prè, arrivant juste à temps pour le voir monter dans son chêne, pour aller dans son ascenseur.

   Le grand chêne se présentait d’abord très grand en forme de vague ; Alice se retrouva à monter dans l’arbre dans un ascenseur.

    D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle tourna son regard vers les boutons.

    Elle montait, montait, montait.

    Elle montait, montait,  montait quand soudain « Rrr glou glou boum pffffff ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Evan.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien n'avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois me dépêcher ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit ses clés de son pantalon, courut puis ouvrit sa voiture, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des clés. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant  juste à temps pour le voir courir dans la forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme  un arbre qui possédait beaucoup de glands et qui était immense ; Alice se retrouva en train de grimper le long de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite ; elle regarda par terre ; enfin elle tourna son regard vers le haut du grand chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Bam ! Bam ! ». Elle tomba au pied du chêne.

Louis.

 

Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vois rien ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit des lunettes de la veste, les enfila puis les ajusta, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des lunettes et une veste. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans une forêt.

Le grand chêne se présentait d'abord tordu comme une branche ; puis Alice se retrouva en train de monter dans un tronc.

D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin ; elle tourna son regard à travers les branches.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait quand soudain, « Crac ! Crac ! Elle s'accrocha à la cime  du chêne.

Elisa.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois démêler les nœuds » ; mais quand l’écureuil doré sortit une corde de son pantalon, la démêla puis marcha à vive allure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une corde et un pantalon.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, vers le haut d’un grand chêne.

Le grand chêne se présentait d’abord comme immense et couvert de petits glands ; Alice se retrouva en train de grimper vers le haut de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda la cime de l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle grimpait, grimpait, grimpait.

Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Hourra ! Hourra ! ». Elle arriva au sommet de l’arbre.

Axel.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Les branches de cet arbre ne sont pas droites du tout !!! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit de sa salopette un niveau à bulle, trembla pour l’ajuster, puis le posa sur une branche, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un niveau à bulle. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans le chêne, à l’entrée de la forêt.

Le chêne se présentait d’abord tout biscornu portant une échelle sans fin ; Alice se retrouva en train de monter au milieu de l’arbre.

D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda l’horizon ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours quand soudain « Splash ! Splash ! ». Une branche catapulta Alice à la cime du grand chêne.

Romain.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je vais courir chez moi, car je n’ai pas fermé ma porte à clé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa clé, l’accrocha à la poche de sa veste puis courut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un veston et une clé. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec des feuilles multicolores, des glands rouges et verts et de multiples branches ; Alice se retrouva en train de grimper tout en haut de celui-ci.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda ce qui se passait à terre ; enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! ». Elle atterrit à la cime du grand chêne.

Laura.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.      

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : «  Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois faire mon plongeon ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit des lunettes de plongée, les mis puis sauta sur un nénuphar, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec des lunettes de plongée. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un autre nénuphar au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d’abord comme un nénuphar normal, puis il se mit à bouger puis à descendre comme un ascenseur ; Alice se retrouva en train de descendre au fond de la mare.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite elle regarda à la surface, enfin elle tourna son regard sur les rives.

     Elle descendait, descendait, descendait.                                                        

     Elle descendait, descendait, descendait quand soudain « Bip !  Bip !  Bip !  Bip !  Bip ! Bip ! ». Elle arriva au fond de l’eau, dans un monde étrange.

Romuald.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle en sautant.

 Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis très en avance pour le repas dînatoire ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un réveil de son veston en tissu noir, observa si l’alarme allait sonner puis se mit à ralentir, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un réveil qui sortait d’un veston en tissu. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’une mare.

Le nénuphar se présentait d’abord sur l’immense mare qui s’étendait à des centaines de kilomètres ; Alice se retrouva en train de l’observer non loin de cette étendue d’eau.

D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda au fond de celle-ci ; enfin, elle tourna son regard vers la grenouille vert pomme qui d’engouffrait dans le liquide verdâtre.

Elle nageait, nageait, nageait.

Elle nageait, nageait, nageait quand soudain, « Glouf ! Glouf ! ». Elle se retrouva aspirée, au fond de la mare.

Maëva.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa prés d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Un prisonnier s’est évadé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un pistolet de sa tunique de policier, le chargea puis tira, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pistolet. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans la forêt.

     Le chêne se présentait d’abord comme très grand et très haut ; Alice se retrouva minuscule, devant le chêne.

     D’abord, elle essaya de voir la cime, ensuite elle regarda la forêt ; enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crack ! Crack ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Valentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré murmurer : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois donner à manger aux oiseaux ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de son pantalon, s’orienta avec son objet puis courut jusqu’à son arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pantalon et une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir courir dans la sombre forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de grandes branches énormes et sèches ; Alice se retrouva en train d’observer le grand chêne, qui se cachait dans la sombre forêt.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda la cime du chêne, enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, « Pif, Paf, Pouf ! ». Elle tomba assise, à la cime du chêne.

Jules E.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien à avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de son jean déchiré, la regarda puis commença à stresser, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole et un jean déchiré. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter sur un grand chêne, dans la forêt

     Le grand chêne se présentait d'abord droit, puis, il était de plus en plus sinueux ; Alice se trouva en train de gravir vers le haut de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le long du tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.                                                       

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crac ! Crac ! ». Elle fut assise sur la cime de l'arbre. 

Angelique.

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmoner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas voir mon émission préférée ! » ; mais quand elle sortit un programme télé de sa veste, regarda les horaires puis se dépécha, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un programe télé et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré,  arrivant  juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grande feuille verte sans tige, Alice se retrouva en train de monter sur un autre nénuphar, au milieu de l'eau.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda au loin, enfin elle tourna son regard vers le pré.

     Elle regardait, regardait, regardait.

     Elle regardait, regardait, regardait, quand soudain « Plouf, plouf ! ». Elle vit qu'elle était sous l'eau, au fond du lac.

Jules C.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais le lui offrir ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un collier de son gilet, le regarda puis le rangea, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un collier. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d'abord rond comme un ballon ; Alice se retrouva en train de sauter sur le nénuphar.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau, ensuite elle regarda la surface limpide enfin elle tourna son regard vers les poissons.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Schplouf ! Schplouf ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Manuela.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans  rien avoir faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là !  Là ! Je dois aller vite ouvrir le coffre dans la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une clé de sa veste, la nettoya puis ouvrit un coffre dans l’eau, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une clé. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans un coffre, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d’abord très grande ; Alice se retrouva en train d’observer les abords de l’étang.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la surface de l’eau ; enfin elle tourna son regard vers un coffre, sous un nénuphar.

     Elle nageait, nageait, nageait.

     Elle nageait, nageait, nageait  quand soudain « Boum ! Boum ! ».  Elle se cogna la tête contre le coffre, au fond de la mare.

Inès.

    

 

 

       

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commentaires

L
C'était super ! Les textes des autres étais très rigolo !!!
Répondre
L
Merci Louise d'avoir laissé un commentaire mais peux-tu le réécrire sans faute ? "étaient" et "rigolos"