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14 décembre 2016 3 14 /12 /décembre /2016 14:53

Les élèves de la cinquième 2 ont écrit des descriptions ; ils ont choisi un lieu, observé des photos et rédigé leur texte.

Bon voyage !

 

Monaco

   Je me trouve devant le casino de Monte-Carlo. Je reste bouche bée devant l’architecture de ce beau bâtiment. A droite du casino, se dresse l’impressionnant Hôtel de Paris, entouré de majestueux appartements.

   En contrebas, je peux apercevoir le port luxueux qui accueille les plus beaux yachts connus du monde entier.

   Dans les hauteurs  se trouve la magnifique demeure de la Principauté, surveillée par des gardes en uniforme rouge et blanc. Je peux apercevoir le stade de football,  bâti comme une arène de l’époque romaine. Je passe devant le musée de la marine où se trouve l’un des plus vieux sous-marins splendide du XIXè siècle.

   J’aperçois la cathédrale où le Prince et la Princesse de Monaco se sont mariés. Je me promène dans des petites rues et j’arrive sur une place bien plaisante, ornée de magasins charmants.

   Je trouve cette ville magnifique et accueillante ; j’y ai découvert beaucoup de choses pendant cette promenade.

Romain G.

Le site de Pétra

   En Jordanie, entre la mer Morte et la mer Rouge, se trouve le site de Pétra. Ce temple éblouissant qui se situe dans un désert est construit directement dans la roche d'une montagne. Je vois devant moi, un tombeau sublime d'une jolie couleur ocre, entouré de sable et de rochers.

   Je suis émerveillé par ce bâtiment et étonné que des hommes aient construit une telle merveille plus de deux mille ans auparavant.

   L'entrée devant moi est constituée de six belles colonnes, surmontées d'un fronton et de magnifiques statues. Rien que de voir cette façade sculptée par des mains d'une adresse remarquable, je me dis que c'est éblouissant.

    Après avoir gravi quelques marches, je rentre à l'intérieur de ce temple où se trouvent plein de très belles galeries. Les murs d'une hauteur de plusieurs mètres sont de la même couleur que ceux de l'extérieur. Malheureusement, ils sont en très mauvais état.

   Je comprends pourquoi le site de Pétra fait partie des sept nouvelles merveilles du monde.

Luc.

 

Le Corcovado

   Le Corcovado est un immense pic rocheux sur lequel se trouve la statue du Christ Rédempteur. Cette statue se trouve en Amérique du sud. Elle est sculptée d’une robe et d’une écharpe qui ornent son cou. Ses bras sont tendus sur les côtés comme s’il voulait accueillir quelqu’un. Sa tête est droite légèrement penchée et ses cheveux sont longs. Ses yeux regardent vers la ville comme s’il voulait surveiller le monde.

   Je suis très impressionnée par ce monument.

Gabrielle S.

 

Barcelone

   Barcelone est une ville d'Espagne, dans la province de la Catalogne.

   En partant du vieux port , je laisse derrière moi la magnifique colonne de Christophe Colomb. J'emprunte une emblématique avenue, appelée les Rumbles, pour me diriger vers la grande place Catalunya.

   Dans cette grande et belle avenue, je trouve à ma droite et à ma gauche de petits kiosques dans lesquels on vend la presse ou de magnifiques fleurs de toutes les couleurs. Je continue ma promenade et je me trouve face à la Sagrada Familia : quelle magnifique basilique !

Enola.

 

 

New York

   Je découvre une nouvelle cité, appelée New York. C’est une très grande ville, très peuplée. Elle est ornée par des gratte-ciel, qui sont décorés de grandes affiches lumineuses, de toutes les couleurs. Puis,  dans les rues, je vois des taxis jaunes, tous jaunes !!! La circulation est intense. Certains gratte-ciel sont plus grands que d’autres.

   Dans une autre rue, qui se situe à côté de la mer, je vois un très grand pont qui traverse la ville. Dans cette rue, les affiches sur les immenses gratte-ciel sont toutes bleues. Je vois une très grande foule traverser la route, qui est remplie de magnifiques voitures.

   C’est une ville inimaginable !

Léo.

 

   Aux abords des côtes de Brest se trouve la mer du Nord. Ses magnifiques fonds marins regorgent de mystères. Je découvre en plongeant mille et un poissons de toutes les couleurs. Mais surtout, ces fonds marins sont extrêmement jolis. Si ceux-ci sont si beaux c’est, je pense, grâce aux magnifiques coraux de toutes sortes, aux algues frémissant sous le courant de l’eau, et à ces énormes rochers qui ressemblent à d’admirables palaces des mers. J’admire ce somptueux paysage en ayant la sensation d’être au paradis.

   Je nage un peu plus loin, vers le Sud, pour observer avec émerveillement de nouveaux poissons tournoyer sur eux-mêmes comme des danseurs en plein spectacle. Je me retourne et j’aperçois avec stupéfaction de magnifiques méduses former une fabuleuse forêt maritime.

   La nuit, la mer est d’un calme imperturbable. C’est magique !

Florian.

 

   Le TAJ MAHAL se situe  à Agra, au bord de la rivière Yamuna, dans l'état de l'Uttar Pradessh, en INDE.

   Il est l'une des sept merveilles du monde. Je confirme que c'est un lieu extraordinaire car je vois des matières précieuses et rares comme des turquoises, du jade, de l'or et du marbre blanc. C'est l'empereur Shah Jahan qui construit le Taj Mahal.

   J'aime ce somptueux et splendide palais parce qu'il me semble féérique. Je me passionne aussi pour cet endroit car il raconte une histoire d'amour.

   Les quatre tours verticales sont magnifiques, et si je monte, la vue sur Agra est unique. J'aime ce lieu de recueillement, calme et paisible où je peux me ressourcer. J'adore admirer le reflet du Taj Mahal dans l'eau du bassin qui se trouve en face. Je me promène avec beaucoup de plaisir dans les jolis jardins ornés d'arbustes taillés à la perfection. En bas, je découvre une surprenante cour intérieure menant à deux sublimes bâtiments rouges.

   Je vous conseille fortement de visiter ce monument qui laisse un souvenir inoubliable.

Quentin.

 

   En Polynésie Française, dans le sud de l'Océan Pacifique se trouve Tahiti. En arrivant, la première plage que je découvre se situe au sud-est de l'île : elle se nomme la plage de Maui. Je vois en face de moi l'Océan Pacifique qui est d'un bleu turquoise attirant et sublimement clair. Dans cette eau transparente, j'observe les coraux extrêmement colorés avec des couleurs chaudes ; ces plantes ont toutes une forme qui leur est propre ; elles abritent des millions d'animaux qui y vivent.

   Au-dessus de moi, s'élève de hauts palmiers magnifiques, très verts avec de grandes feuilles très larges. Leurs troncs marron clair ont un aspect bizarrement poilu.

   A mes pieds, une grande étendue de sable très fin et chaud est balayée par le vent de jour comme de nuit. Posés dessus comme si la mer les a abandonnés, des coquillages longs, courts, grands et petits. Mais ils sont tous plus beaux les uns que les autres.

Angélique.

 

Le Mont Saint Michel

   Le Mont Saint Michel est une cité non loin des côtes de la Bretagne, au Nord-Ouest de la France. J’accède à cette ville par une route qui la relie au continent ; à marée basse, je peux marcher à pied, car l’eau est complètement partie. La petite ville est entourée d’une grande muraille, comme un château fort. L’ile abrite de vieilles maisons, une grande abbaye et des arbres centenaires … L’église se trouve au sommet d’un pic rocheux,  au centre de l’ile. C’est un lieu touristique magnifique. A l’entrée du Mont, apparaissent les maisons, et à l’arrière, les arbres. Cette cité nous vient tout droit du Moyen-âge.

   Je trouve que cet endroit est magnifique, il est sûrement agréable d’y vivre.

Axel.

 

 

   Le Taj Mahal se situe en Inde. C’est un splendide mausolée construit tout en marbre  blanc. Je vois autour de moi, un sublime bassin qui longe tout le palais, de belles végétations qui mettent en valeur ce merveilleux endroit.  Je reste surpris par cette jolie vue avec un ciel de plusieurs couleurs. A ma droite et à ma gauche, j’aperçois une rangée de petits arbres. Ensuite je continue à avancer et je pénètre dans la cour  intérieure qui est faite tout en pierre. Puis je découvre des murs blancs et j’observe les différents motifs arrondis qui recouvrent ses murs. Je reste bouche- bée face aux splendides arcades qui sont faites en un magnifique or. Elles sont construites avec beaucoup de précisions et elles apportent de la grandeur à tout le bâtiment.

   Le Taj Mahal est un lieu extraordinaire.

Inès.

Le Périgord

 

   J’arrive dans une région bien fleurie appelée le "Périgord". Cette région magnifique se situe dans le sud-ouest de la France.

   Là-bas, il fait sans aucun doute plus chaud qu'à Richelieu. Je découvre de belles et vieilles maisons typiques en pierre du Périgord, avec leurs façades colorées. C'est une région très touristique et assez vallonnée. Je découvre aussi qu'il y a de nombreux châteaux, dont certains sont à restaurer. J'en aperçois un au loin qui est splendide, il semble dominer toute la plaine.

   La ville de Sarlat, très connue dans la région regorge de petites rues piétonnes, et de petites fontaines. On y trouve des boutiques de souvenirs et des restaurants.

   Quel paradis le Périgord !

Albane.

 

 

La Sagrada Familia

 

   La Sagrada Familia se situe en Espagne, au cœur de Barcelone. C’est une basilique gigantesque encore en construction.

   Elle est composée de huit clochers sculptés. Cet édifice présente deux entrées, l’une plus ancienne que l’autre. Je le constate à la différence de couleur des pierres. Quatre tours majestueuses encadrent chaque entrée. De magnifiques sculptures ornent les différentes façades.

   A l’intérieur, de gros piliers soutiennent les toits. Les vitraux sont nombreux et très colorés. Ils éclairent l’intérieur de la basilique d’une lumière qui varie selon l’heure du jour et le temps qu’il fait. Les plafonds sont magnifiquement sculptés en une sorte de soleil. Les colonnes et les hautes voûtes donnent une impression d’immensité.

   Je peux observer que les orgues très modernes se trouvent dans le chœur de cette basilique.

   Les Espagnols sont très fiers de leur magnifique basilique inachevée.

Etienne.

 

   Le Christ Rédempteur au Brésil n'a pas une mine souriante, mais il a les bras écartés ce qui veut dire qu'il est accueillant. Il est mince et il est très grand. Il mesure trente huit mètres de haut. Il a des cheveux longs. La statue est faite en béton et en verre. Le Christ Rédempteur porte une tunique sur lui.

Baptiste.

 

   Je découvre un reportage à la télévision sur les Iles Phi Phi, en Thaïlande. C’est un archipel qui est très visité et qui se situe dans la mer d’Amdaman. Je m’y suis donc rendu pour la visiter.

   Cette île me semble très spéciale et stupéfiante car c’est un endroit extrêmement sauvage et naturel.

   Pour y accéder, je dois plonger dans l’eau d’une mer turquoise, transparente et éblouissante. Après avoir nagé, j’arrive sur une plage paradisiaque de sable blanc et fin.

   Les activités que je peux faire sont éprouvantes. Si je plonge, je peux y admirer de petits poissons avec de drôles de couleurs ; je peux aussi me baigner dans cette eau dont la température est agréable.

   En fin de journée je me place pour admirer le coucher de soleil : c’est un moment saisissant.

  L’île est inhabitée alors à la fin de la journée je pars. Je laisse derrière moi une île merveilleuse, somptueuse et sauvage qu’il faut continuer à respecter.

Hugo.

           

   Lorsque j'arrive dans la ville de St Martin, je me trouve en face du port ; il est très beau. Ce port fait tout le charme de cette ville. A ma gauche, se trouve des boutiques, des magasins, des restaurants…A ma droite, se situe un grand hôtel, de nouvelles boutiques, un chocolatier…Derrière se positionne une route pour aller au phare des baleines.

   Je me déplace et je remarque qu'au milieu d'une gigantesque place se trouve une très grande église où je peux découvrir toute la ville d'en haut. Je me promène et je vois que le sol est en pavé. Beaucoup de cyclistes se promènent à vélo; St Martin est connu pour ses pistes cyclables.

Laura.

 

 

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 10:56

Les CME de Sainte-Maure sont venus passer une journée au collège et ils ont assisté aux cours des sixièmes. En français, nous avons lu le début du poème de Maurice Carême "Alphabet", A Cloche-pied, dont voici le début :

Alphabet

A c’est l’âne agaçant l’agnelle,

B c’est le boulevard sans bout,

C la compote sans cannelle,

D le diable qui dort debout.

 

E c’est l’école, les élèves,

F le furet, féru de grec,

G la grive grisant la grève,

H c’est la hache et l’homme avec.

[...]

 

Ils se sont amusés à le continuer : voici leur production !

I une idée idéale,

J un jeu japonais,

K un karting sans kart,

L un long lit.

 

M un modèle modelé,

N une note notée,

O un oiseau obéissant,

P un papa poule.

 

Q un questionnaire sans question,

R une route routière,

S une saucisse qui saute,

T une tomate toute troublée.

 

U un uniforme universel,

V un voyage voyant,

W un wagon WC,

X un xylophone xénophobe,

Y un yacht yellow,

Z un Zorro avec un zèbre.

Pierre et Sara-Halina.

 

I ce sont les idées d'Idefix,

J comme jouer au jet-ski,

K c'est le kangourou qui fait du karaté du karaoké,

L c'est Léa qui lit un livre.

 

M c'est Molière qui mâche des macaronis,

N c'est Noémie qui est née à Nantes,

O c'est une oie qui observe un oiseau en octobre,

P c'est un papy qui prépare ses petits-enfants.

 

Q c'est un quadrilatère qui a quatre côtés,

R c'est une rose rouge,

S c'est un serpent qui slalome entre les sapins,

T c'est une tasse sur une table à côté d'un tableau.

 

U c'est Ulysse qui s'urbanise,

V c'est Valentin qui va à Valence,

W c'est un wagon qui va à Wallis,

X c'est un xylophone de Xian,

Y c'est Yassine qui va à Yalta,

Z c'est un zèbre qui zigzague.

Maëlle et Amel.

 

I comme  l’idée pour impressionner,

J c'est jouer joyeusement,

K c'est un kit de kilomètres,

L c'est la lettre de la lune.

 

M c'est la maman maternelle,

N la nature négociable,

O comme une orange obscure,

P c'est une promenade en paix.

 

Q la quantité est une quête,

R une rivière de rigolade,

S c'est un saumon qui saute dans la semoule,

T la technologie télescopique.

 

U l’urne est une usine usagée,

V Valentin vit une vie dans une voiture,

W Washington aime les sites Web,

X X-men fait du xylophone,

Y il aime les yaourts Yogourt,

Z un zèbre qui zozote.

Dorian et Valentin.

 

I l’invention est importante,

J c’est jouer la joie,

K le kiwi aime le kayak,

L la ligne est longue et libre.

 

M ma maman m’aime,

N le noir est nomade,

O oublier, c’est obscur,

P pourquoi perdre ?

 

Q une quantité qualitative,

R le rôti est rudement raide,

S le serpent fait un serment,

T tout est terrible.

 

U les urbains sont utiles,

V viens voir vite,

W le waterpolo est white,

X le xylophone est xénophobe,

Y Yalta et York,

Z Zavatta et Zeppelin.

Joël-Antoine et Axel M.

 

I c’est l’igloo immaculé,

J c’est le jaguar qui jette un jambon,

K c’est le kiwi kidnappé par un kangourou enragé,

L c’est la loi du lieutenant lion.

 

M c’est la mangue mangée par ma maman,

N c’est le nid sur un nénuphar,

O c’est l’obligation d’une opération,

P c’est le père Noël qui parait parti.

 

Q c’est la question qui questionne,

R c’est du riz qui rit,

S c’est sa sœur qui sauve le serpent,

T c’est le texte que je traduis.

 

U c’est l’unanimité pour les U. V.,

V c’est le voyage en voiture,

W c’est le wagon muni de trois WC,

X c’est le xylophone qui torture,

Y c’est le yacht conduit par Yann,

Z c’est Zorro qui sème le zinzin.

Mario et Kyllian.

 

I l’imperfection est invisible,

J c’est jouer, joliment,

K c’est le kangourou qui fait du karaté,

L c’est lire une lettre.

 

M c’est le maître qui m’enseigne,

N nerveux n’existe pas,

O c’est l’ordinateur orange,

P c’est papa qui part dans un palace.

 

Q c’est questionner : « qu’est-ce que tu fais ? »,

R c’est rougir de rage,

S c’est sucer une sucette,

T c’est tomber dans un trou.

 

U c’est urbaniser une ville,

V les vacanciers vont en vacances,

W sur le Web avec le wifi,

X c’est jouer au xylophone,

Y les figurines Yoshi sont au port de Yokohama,

Z c’est Zorro qui signe un Z à l’épée.

Bastien et Esteban.

 

I comme  l’idée pour impressionner,

J c'est jouer joyeusement,

K c'est un kit de kilomètres,

L c'est la lettre de la lune.

 

M c'est la maman maternelle,

N la nature négociable,

O comme une orange obscure,

P c'est une promenade en paix.

 

Q la quantité est une quête,

R une rivière de rigolade,

S c'est un saumon qui saute dans la semoule,

T la technologie télescopique.

 

U c'est Uranus qui est usagé,

V c'est le vampire qui vend ses vacances,

W c'est le wapiti qui part en week-end,

X le xylophone de Xénus,

Y les yeux de la yourte,

Z c'est Zorro qui zigzague entre les zèbres.

Aliénor et Enora.

 

I c'est l'image imaginée,

J c'est le journal du jour,

K c'est le kilomètre kidnappé,

L la lance en laine lancée.

 

M la machine mangée,

N le niveau noir nivelé,

O l'ordinateur qui offre des oignons,

P le pâtissier qui est patricien.

 

Q les quelques questions en quarantaine,

R le robot réfrigérateur qui range les râteaux,

S le sel qui est sacré,

T le téléviseur qui tolère les trains.

 

U l'urne qui est usée,

V le Vésuve qui est visé,

W le wagon dans le Web,

X le xylophone qui est xénophobe,

Y le yéti sans yo-yo,

Z le zèbre qui est zinzin.

Axel T.

 

 

I une installation interminable,

J jette un jouet,

K fait du karaté sans kimono,

L un lézard laissé sur un lacet.

 

M le meilleur mécanicien du monde,

N Noël n’est pas nouveau,

O l’ogre mange des oranges,

P a plaqué un piranha.

 

Q dans sa quête, il se questionne de questions,

R rassemble des raquettes,

S c’est un scandale : plus de saucisson,

T travaille ton tableau.

 

U l’uniforme universel,

V va en vacances en train à vapeur,

W a vu un wapiti en week-end,

X a un xylophone,

Y c’est un yéti sur un yacht,

Z c’est un zèbre zinzin.

Nollan et Nathan.

 

I c’est imagine des images,

J c’est jouer tout le jour,

K c’est un kiwi qui fait du karaté,

L c’est la limace du laurier.

 

M c’est maman qui m’aime,

N c’est la nourrice qui nourrit,

O c’est l’oiseau qui ouvre la gueule de l’ours,

P c’est papa qui part.

 

Q c’est le qatari qui questionne,

R Rémi rit,

S le serpent sort du sentier,

T c’est le train traînant.

 

U c’est l’usine qui use,

V le vent ventile,

W le wapiti dans le wagon,

X c’est le xylophone qui joue,

Y c’est Yves qui mange du yaourt,

Z le zèbre est zébré.

Adélaïde et Gyno.

 

I l’iguane sans image,

J la jolie jeune Julie joue,

K le kangourou fait du kayak,

L la lune lumineuse.

 

M la marmotte sans museau,

N le nandou niche dans son nid,

O l’orang-outan mange des oranges,

P la peinture sans pinceau.

 

Q quelques fraises, sans queue,

R le renard rampe dans son repaire,

S en sortant la serpillère, on sent le serpent,

T la tortue mange des tomates toutes rouges.

 

U l’ultime univers,

V la vache va dans le verger,

W le wallaby est dans le wagon,

X Xavier joue du xylophone,

Y le yack fait du yoga,

Z le zèbre zozote.

Alison et Léa.

 

I c’est l’image indiscrète,

J le joli jouet,

K le koala dans un kayak,

L c’est le lilas plein de libellules.

 

M c’est la manière de manipuler,

N la nuit noire,

O c’est l’oiseau qui vole au-dessus de l’océan,

P le programme de la progression.

 

Q le quadrillage à qualifier,

R c’est raconter, en raccourci,

S c’est sauter comme une sauterelle,

T le tableau teint.

 

U c’est uniquement urgent,

V le volet vert,

W le wagon roule le week-end,

X la xylographie sur un xylophone,

Y c’est un yaourt, en forme de yourte,

Z le zèbre dans le zoo.

Adèle et Louise.

 

I c'est irrégulier et inouï,

J c'est un joli jet-ski,

K c'est un kamikaze qui fait du karaté,

L c'est un lion lâche.

 

M mange des macaronis,

N est né à Noël,

O est un océan sans os,

P pense à son pépé.

 

Q a une grosse quantité de quartz,

R regarde rarement du rap,

S savoure la salade du Sacré Cœur,

T c'est très technique.

 

U Ursule habite en Ukraine dans l'université,

V  se venge de la vache,

W  boit toujours du whisky dans les WC,

X c'est un xylophoniste qui a un xylophone,

Yc'est un professeur de yoga qui joue au yo-yo,

Z c'est le Zorro du zoo de Zibo.

Mathurin et Antoine.

 

I c’est un igloo invocateur d’esprit,

J c’est le jardin japonais,

K c’est le koala qui chante au karaoké,

L le labyrinthe long.

 

M la machine mortelle,

N c’est le nouveau numéro,

O c’est l’organe orageux,

P c’est la peluche en pelote.

 

Q c’est le quartier en quart,

R c’est le raffoler de radis,

S ce sont les souvenirs dont on se souvient,

T c’est le tuteur de la tomate.

 

U c’est l’uniforme urgent,

V c’est la victime vivante,

W c’est un wagon de wasabi,

X c’est le xylophone qui hurle,

Y c’est un yacht du Yaoundé,

Z c’est le zèbre de Zorro.

Raphaël et Justin.

 

 

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 09:45

Les élèves de sixième ont étudié Alice au Pays des merveilles de L. Carroll. Ils ont écrit des textes par imitation du début du conte. Alice rencontre d'autres animaux...

Bonne lecture et n'hésitez pas à laisser des commentaires.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » Mais quand l'écureuil doré sortit un calendrier de sa veste, se dépêcha puis tomba en s’emmêlant les pattes, Alice se leva d'un bond car elle n'avait encore jamais vu d'écureuil doré avec un calendrier. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa maison.

     Le grand chêne se présentait d'abord droit comme un arbre sans fin, avec une branche par centimètre ; Alice se trouva en train de monter jusqu'à la cime du grand chêne.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers des cadres accrochés dans l'arbre, représentant cet écureuil doré.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, BOUM ! BADA ! BOUM ! Elle arriva enfin assise en haut de la cime du chêne.

Nina.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil dorée passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire renvoyer de mon poste de photographe ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un appareil photo d'une veste en jeans, l'alluma puis prit une photo, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec un appareil photo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans un jardin.

     Le grand chêne se présentait d' abord comme une échelle montant très haut dans le ciel ; Alice se retrouva en train de monter dans l'arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le jardin ; enfin ; elle tourna son regard en haut du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, crack ! Crack ! Elle se trouva maintenant à la cime du chêne.

Sorenza.

 

      Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d’entendre un écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais être tout sale ! » ; Mais quand l’écureuil doré sortit un miroir de sa poche, se regarda puis le rangea, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil avec un miroir. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter le long du tronc, sur un grand chêne.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme une règle ; Alice se retrouva entrain de grimper le long du chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les feuilles du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, cric, crac ! Elle tomba sur la cime de l’arbre.

Laure.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

      Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis désorienté ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa veste, regarda l'aiguille, puis  partit vers le sud,  Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait droit comme un soldat. Alice se retrouva en train de monter vers le haut du grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voire en haut ; ensuite, elle regarda une des branches enfin, elle tourna son regard vers un oiseau.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, crac ! Crac ! Elle arriva à la cîme du chêne.

Amélie.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de sa chemise, regarda l'aiguille, puis chercha le nord, Alice se leva d'un bond car elle n'avait  jamais vu d'écureuil doré avec une chemise et une boussole. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le chêne se présentait d'abord comme un grand vigile. Alice se retrouva en train de grimper dans un arbre, sans fin.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cime de l'arbre ; enfin, elle tourna son regard  vers une corde qui pendait de couleurs « bleu, blanc, rouge ».

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain «  Boum bada boum ! ». Elle tomba sur le haut du chêne, en forme de nid.

Jules L.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais appeler mon ami pour lui dire que je serai en retard » ; mais quand l’écureuil doré sortit son portable de son pantalon, appuya sur les touches puis parla très fort, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, au milieu d’un bois touffu.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme une longue chenille qui se tordait. Alice se retrouva en train de courir vers l’arbre à glands, au milieu du bois sombre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d’elle ; enfin elle tourna son regard vers l’endroit où l’écureuil était monté.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Voh ! Voh ! ». Elle fut téléportée à la cime du chêne.

Romane.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

    Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais me faire couper la tête ! », mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de sa veste, regarda le sable qui tombait puis bondit plus haut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’un étang.

     Le nénuphar se présentait d’abord avec une grosse fleur blanche et un rond vert. Alice se retrouva en train de sauter sur un autre nénuphar.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la taille de l’étang, enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba au fond de l’étang.

Léo.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je fume trop, aussi certain qu’un éléphant est un éléphant ! » Mais quand l’écureuil doré sortit une pipe de son jean, fuma puis se dirigea vers un grand chêne, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une pipe. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter dans l’arbre, dans le pré.

     Le grand chêne se présentait d’abord petit puis quand on le contemplait, on le voyait toucher les nuages. Alice se trouva en train de grimper jusqu’aux cieux.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda les branches ; enfin elle tourna son regard en bas.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! » Elle heurta une branche, en haut du chêne.

Luc.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice  ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : «  Oh !  Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois écrire mon livre ! » mais quand l’écureuil doré sortit un stylo de son pantalon, l’ouvrit puis écrit sur sa main, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un stylo. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le passage secret d’un grand chêne, au milieu de la forêt.

     Le grand chêne se présentait d’abord droit comme un piquet ; Alice se retrouva en train de monter par l’échelle du grand arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers l’intérieur du chêne qui était violet enfin elle tourna son regard vers le sol qui lui était jaune.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva sur une branche, à la cime du chêne.

Adèle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil ; quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner: « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois rentrer ou les noisettes seront trop cuites ! » ; mais quand l’écureuil sortit son sablier de sa cape, le retourna puis se hâta, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier. Brûlante de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne, derrière le pré, à la lisière d’une forêt.

     Le chêne se présentait d’abord droit comme un gratte-ciel puis se penchait vers sa cime ; Alice se retrouva en train de monter dans l’arbre.

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda une branche enfin elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain, « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime du grand chêne.

Kyllian.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « OH ! Là ! Là ! Là ! OH ! Là ! Là ! Là ! Je suis en manque de noisettes ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un portable de sa poche, l’alluma puis regarda l’heure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un portable. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter à toute vitesse dans un grand chêne, au milieu de petits buisson.

     Le grand chêne se présentait d’abord comme un immense arbre bien droit avec de belles branches, couvertes de feuilles marron.

     Alice se retrouva en train de réfléchir devant l’immense arbre. D’abord elle essaya de voir en haut ; elle regarda derrière le chêne ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Boum ! Badaboum ! ». Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Mario.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller casser des glands ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une cuillère de son pantalon, cassa les glands puis les emporta pour les manger, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une cuillère. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir entrer dans le trou d'un chêne, au milieu d'un champ.

     Le chêne se présentait d'abord immense, il avait énormément de feuilles ; Alice se retrouva en train d'observer le passage de l'écureuil doré.

     D'abord elle essaya de voir en haut, ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin, elle tourna son regard vers le trou du chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « clac ! Clac ! ». Elle échoua à la cime du chêne.

Félix.

 

     Alice  commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là !  Je dois rentrer, il ne faut pas que je laisse brûler ma tarte aux fraises des bois ! »; mais quand la grenouille vert pomme sortit un sablier de la poche de sa veste, courut puis tourna à droite, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un sablier dans une poche de veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, dans une mare.                                                                                

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grosse feuille verte ; Alice se retrouva en train de plonger dans la mare.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite, elle regarda autour de la mare ; enfin, elle tourna son regard vers le ciel.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Glou ! Glou ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Baptiste.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vois la reine au loin ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa longue-vue de sa salopette, cria de peur puis s’enfuit vers un arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une longue-vue. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir jongler sur le grand chêne, à la cime de l’arbre.

     Le grand chêne se présentait d’abord entortillé comme un ressort ; Alice se retrouva en train de sauter sur les branches.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le champ ; enfin, elle  tourna son regard vers le sol.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain  « Bing !  Bing ! » Elle atterrit sur la cime de l’arbre.

Dorine.     

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : «Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois rentrer rapidement à la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit le cadran solaire de son chapeau melon, observa le soleil puis se hâta de rentrer, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un cadran solaire, à l'intérieur d'un chapeau melon. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans une mare, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d'abord comme un tapis de nénuphars vert pomme très sombre ; Alice se retrouva en train de plonger dans une mare très profonde.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau; ensuite elle regarda vers les rives ; enfin, elle tourna son regard vers les nénuphars de la mare et s'aperçut qu'ils cachaient une grande quantité de grenouilles.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « BOUM ! BOUM ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Quentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir  à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil,  quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle,  en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je me suis perdu ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de sa veste, regarda l’aiguille indiquant le nord puis partit vers la forêt,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu  d’écureuil doré avec une boussole.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper sur un grand chêne, à côté de sa balançoire.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de très longues branches, des feuilles vertes et brillantes et un gros tronc ; Alice se retrouva en train de monter sur chaque branche, vers le haut de l’arbre.  

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda vers les petites branches ; enfin, elle tourna son regard vers le tronc du chêne, qui était plein de trous.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait quand soudain « Badaboum ! Badaboum ! ». Elle tomba assise sur la cime de l’arbre.

Maïwen.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à coté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne peux pas déposer cette mallette à temps ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une petite mallette de son costume, la regarda, puis commença à courir, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une mallette et un costume. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir  disparaître dans l'eau.

     Le nénuphar se présentait d'abord assez large avec une belle fleur ; Alice se retrouva en train de sauter sur les autres nénuphars.

     D'abord, elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda autour d'elle ; enfin elle tourna son regard vers l'étang.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain, « Plouf ! Plouf ! ». Elle tomba brusquement dans le fond de la mare.

Axelle.

     Alice commençait à se sentir lasse d'étre assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré  passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! La ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois aller au club lecture ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit un livre de sa veste, l’ouvrit puis lut la première page, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste d'où il pouvait sortir un livre. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans le grand chêne, dans la forêt.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme un arbre gigantesque avec plein de glands ; Alice se retrouva en train de grimper sur le grand chêne.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda une drôle de bibliothèque accrochée à des branches ; enfin, elle tourna son regard vers des casiers où étaient rangés des livres.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quant soudain « Cric ! Crac ! ». Elle arriva à la cime de l'arbre.

Jeanne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais manquer mon rendez-vous ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit son agenda de sa veste, le regarda pour l'heure du rendez-vous puis hurla qu'il est très en retard, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une veste et un agenda. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans le trou du chêne, dans la grande forêt, loin de sa sœur.

     Le grand chêne se présentait d'abord très haut, tout droit et des branches poussaient dans tous les sens ; Alice se retrouva en train de rentrer dans le grand chêne immense.

     D'abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers le tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle montait, montait, montait.

     Elle montait, montait, montait, quand soudain, « Ouille ! Ouille ! ». Elle se cogna à la cime de l'arbre.

Louise.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis à la porte ! »; mais quand l’écureuil doré sortit ses clefs de son pull, chercha la bonne clef puis disparut dans l’arbre,  Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pull avec des poches. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans sa maison, dans un grand chêne.

     Le grand chêne permettant d’entrer dans la maison par une petite porte se présentait d’abord avec un escalier en forme de spirale ; Alice se retrouva en train de monter dans le grand chêne.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers les branches du chêne ; enfin, elle tourna son regard vers la cime de l’arbre.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Waouh ! Waouh ! ». Elle réussit à atteindre la petite porte, en haut du chêne.

Enola.

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois activer l’ascenseur ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit la télécommande de son pull, appuya sur une touche puis avança d’un saut de géant, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une télécommande. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir rentrer dans l’ascenseur, au milieu du grand arbre.

     Le chêne se présentait d’abord en faisant une boucle de trois cent cinquante sept mètres ; Alice se trouva en train de faire les cent pas devant l’arbre.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda vers la cabine dans l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers une drôle de maison à oiseaux, accrochée au chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait !

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain : « Frac ! Frac ! ». Elle tomba la tête contre les branches de la cime de l’arbre.

Etienne.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

      Alice ne trouva pas ça étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! » Je vais être pauvre ! » ; mais quand il sortit son billet de sa veste en or, repartit à la recherche d’argent puis acheta des objets de valeur, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un billet et une veste en or. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir sauter sur le grand chêne, dans un grand trou.

Le chêne se présentait d’abord haut comme une girafe avec des petits coffres-forts accrochés à l’écorce ; Alice se trouva en train de monter vers le haut..

     D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda vers les coffres enfin elle tourna son regard à gauche, vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

    Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Pliiif ! Pliiif ! ». Elle arriva à la cime du chêne, qui sembalit tout doré.

Estèphe.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas pouvoir passer à la maison ! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit un sablier de son pantalon, écarquilla les yeux puis détala, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un sablier et un pantalon. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps, pour le voir monter dans l’ascenseur, dans le chêne.

Le grand Chêne se présentait d’abord comme immense ; Alice se trouva en train de regarder à l’intérieur de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda autour du tronc ; puis, elle tourna son regard vers les branches les plus hautes.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait, quand soudain « Pslatch ! Pslatch ! ». Elle s’arrêta, assise à la cime du chêne.

Gabrielle.

 

     Alice commençait à se sentir très lasse d’être assise à côté de sa sœur sur le talus, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un Ecureuil Doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’Ecureuil Doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je n’ai pas lu le livre de Jacko ! » ; mais quand l’Ecureuil Doré sortit ses lunettes de sa veste, prit un livre puis le lit, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’Ecureuil Doré avec une veste et des lunettes. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le prè, arrivant juste à temps pour le voir monter dans son chêne, pour aller dans son ascenseur.

   Le grand chêne se présentait d’abord très grand en forme de vague ; Alice se retrouva à monter dans l’arbre dans un ascenseur.

    D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle tourna son regard vers les boutons.

    Elle montait, montait, montait.

    Elle montait, montait,  montait quand soudain « Rrr glou glou boum pffffff ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Evan.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien n'avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup un écureuil doré passa près d'elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois me dépêcher ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit ses clés de son pantalon, courut puis ouvrit sa voiture, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des clés. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant  juste à temps pour le voir courir dans la forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d'abord comme  un arbre qui possédait beaucoup de glands et qui était immense ; Alice se retrouva en train de grimper le long de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite ; elle regarda par terre ; enfin elle tourna son regard vers le haut du grand chêne.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Bam ! Bam ! ». Elle tomba au pied du chêne.

Louis.

 

Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vois rien ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit des lunettes de la veste, les enfila puis les ajusta, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec des lunettes et une veste. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans une forêt.

Le grand chêne se présentait d'abord tordu comme une branche ; puis Alice se retrouva en train de monter dans un tronc.

D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda autour d'elle ; enfin ; elle tourna son regard à travers les branches.

Elle montait, montait, montait.

Elle montait, montait, montait quand soudain, « Crac ! Crac ! Elle s'accrocha à la cime  du chêne.

Elisa.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus, à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois démêler les nœuds » ; mais quand l’écureuil doré sortit une corde de son pantalon, la démêla puis marcha à vive allure, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec une corde et un pantalon.  Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré arrivant juste à temps pour le voir grimper sur une branche, vers le haut d’un grand chêne.

Le grand chêne se présentait d’abord comme immense et couvert de petits glands ; Alice se retrouva en train de grimper vers le haut de l’arbre.

D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite elle regarda la cime de l’arbre ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle grimpait, grimpait, grimpait.

Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Hourra ! Hourra ! ». Elle arriva au sommet de l’arbre.

Axel.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Les branches de cet arbre ne sont pas droites du tout !!! » ;  mais quand l’écureuil doré sortit de sa salopette un niveau à bulle, trembla pour l’ajuster, puis le posa sur une branche, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un niveau à bulle. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans le chêne, à l’entrée de la forêt.

Le chêne se présentait d’abord tout biscornu portant une échelle sans fin ; Alice se retrouva en train de monter au milieu de l’arbre.

D’abord elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda l’horizon ; enfin, elle tourna son regard vers le bas.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours.

Elle regardait, regardait, regardait les alentours quand soudain « Splash ! Splash ! ». Une branche catapulta Alice à la cime du grand chêne.

Romain.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je vais courir chez moi, car je n’ai pas fermé ma porte à clé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa clé, l’accrocha à la poche de sa veste puis courut, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un veston et une clé. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir grimper dans un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec des feuilles multicolores, des glands rouges et verts et de multiples branches ; Alice se retrouva en train de grimper tout en haut de celui-ci.

     D’abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda ce qui se passait à terre ; enfin elle tourna son regard vers la forêt.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait, quand soudain, « Boum ! Boum ! ». Elle atterrit à la cime du grand chêne.

Laura.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.      

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : «  Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je dois faire mon plongeon ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit des lunettes de plongée, les mis puis sauta sur un nénuphar, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec des lunettes de plongée. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un autre nénuphar au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d’abord comme un nénuphar normal, puis il se mit à bouger puis à descendre comme un ascenseur ; Alice se retrouva en train de descendre au fond de la mare.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite elle regarda à la surface, enfin elle tourna son regard sur les rives.

     Elle descendait, descendait, descendait.                                                        

     Elle descendait, descendait, descendait quand soudain « Bip !  Bip !  Bip !  Bip !  Bip ! Bip ! ». Elle arriva au fond de l’eau, dans un monde étrange.

Romuald.

 

Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle en sautant.

 Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je suis très en avance pour le repas dînatoire ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un réveil de son veston en tissu noir, observa si l’alarme allait sonner puis se mit à ralentir, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un réveil qui sortait d’un veston en tissu. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu d’une mare.

Le nénuphar se présentait d’abord sur l’immense mare qui s’étendait à des centaines de kilomètres ; Alice se retrouva en train de l’observer non loin de cette étendue d’eau.

D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda au fond de celle-ci ; enfin, elle tourna son regard vers la grenouille vert pomme qui d’engouffrait dans le liquide verdâtre.

Elle nageait, nageait, nageait.

Elle nageait, nageait, nageait quand soudain, « Glouf ! Glouf ! ». Elle se retrouva aspirée, au fond de la mare.

Maëva.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa prés d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré marmonner : « Oh! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Un prisonnier s’est évadé ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit un pistolet de sa tunique de policier, le chargea puis tira, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pistolet. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter dans un grand chêne, dans la forêt.

     Le chêne se présentait d’abord comme très grand et très haut ; Alice se retrouva minuscule, devant le chêne.

     D’abord, elle essaya de voir la cime, ensuite elle regarda la forêt ; enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crack ! Crack ! ». Elle arriva à la cime de l’arbre.

Valentin.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, un écureuil doré passa près d’elle en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre l’écureuil doré murmurer : « Oh ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Je dois donner à manger aux oiseaux ! » ; mais quand l’écureuil doré sortit sa boussole de son pantalon, s’orienta avec son objet puis courut jusqu’à son arbre, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu d’écureuil doré avec un pantalon et une boussole. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir courir dans la sombre forêt, vers un grand chêne.

     Le grand chêne se présentait d’abord avec de grandes branches énormes et sèches ; Alice se retrouva en train d’observer le grand chêne, qui se cachait dans la sombre forêt.

     D’abord, elle essaya de voir en haut, ensuite, elle regarda la cime du chêne, enfin elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain, « Pif, Paf, Pouf ! ». Elle tomba assise, à la cime du chêne.

Jules E.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien à avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil quand tout à coup, un écureuil doré passa près d'elle, en courant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre l'écureuil doré marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je suis perdu ! » ; mais quand l'écureuil doré sortit une boussole de son jean déchiré, la regarda puis commença à stresser, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu d'écureuil doré avec une boussole et un jean déchiré. Brûlant de curiosité, elle le suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour le voir monter sur un grand chêne, dans la forêt

     Le grand chêne se présentait d'abord droit, puis, il était de plus en plus sinueux ; Alice se trouva en train de gravir vers le haut de l'arbre.

     D'abord, elle essaya de voir en haut ; ensuite, elle regarda le long du tronc ; enfin, elle tourna son regard vers les branches.

     Elle grimpait, grimpait, grimpait.                                                       

     Elle grimpait, grimpait, grimpait quand soudain « Crac ! Crac ! ». Elle fut assise sur la cime de l'arbre. 

Angelique.

     Alice commençait à se sentir très lasse d'être assise sur le talus à côté de sa soeur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmoner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je ne vais pas voir mon émission préférée ! » ; mais quand elle sortit un programme télé de sa veste, regarda les horaires puis se dépécha, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un programe télé et une veste. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré,  arrivant  juste à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare

     Le nénuphar se présentait d'abord comme une grande feuille verte sans tige, Alice se retrouva en train de monter sur un autre nénuphar, au milieu de l'eau.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau ; ensuite elle regarda au loin, enfin elle tourna son regard vers le pré.

     Elle regardait, regardait, regardait.

     Elle regardait, regardait, regardait, quand soudain « Plouf, plouf ! ». Elle vit qu'elle était sous l'eau, au fond du lac.

Jules C.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d'être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans rien avoir à faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup une grenouille vert pomme passa près d'elle en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d'entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là Là ! Oh ! Là ! Là ! Là ! Je vais le lui offrir ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit un collier de son gilet, le regarda puis le rangea, Alice se leva d'un bond car elle n'avait jamais vu de grenouille vert pomme avec un collier. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant à temps pour la voir sauter sur un nénuphar, au milieu de la mare.

     Le nénuphar se présentait d'abord rond comme un ballon ; Alice se retrouva en train de sauter sur le nénuphar.

     D'abord elle essaya de voir sous l'eau, ensuite elle regarda la surface limpide enfin elle tourna son regard vers les poissons.

     Elle coulait, coulait, coulait.

     Elle coulait, coulait, coulait quand soudain « Schplouf ! Schplouf ! ». Elle arriva au fond de la mare.

Manuela.

 

     Alice commençait à se sentir lasse d’être assise sur le talus à côté de sa sœur, sans  rien avoir faire. Elle plongeait dans un étrange sommeil, quand tout à coup, une grenouille vert pomme passa près d’elle, en sautant.

     Alice ne trouva pas étrange d’entendre la grenouille vert pomme marmonner : « Oh ! Là ! Là ! Là ! Oh ! Là ! Là !  Là ! Je dois aller vite ouvrir le coffre dans la mare ! » ; mais quand la grenouille vert pomme sortit une clé de sa veste, la nettoya puis ouvrit un coffre dans l’eau, Alice se leva d’un bond car elle n’avait jamais vu de grenouille vert pomme avec une clé. Brûlant de curiosité, elle la suivit à toutes jambes à travers le pré, arrivant juste à temps pour la voir disparaître dans un coffre, sous un nénuphar.

     La mare se présentait d’abord très grande ; Alice se retrouva en train d’observer les abords de l’étang.

     D’abord, elle essaya de voir sous l’eau ; ensuite, elle regarda la surface de l’eau ; enfin elle tourna son regard vers un coffre, sous un nénuphar.

     Elle nageait, nageait, nageait.

     Elle nageait, nageait, nageait  quand soudain « Boum ! Boum ! ».  Elle se cogna la tête contre le coffre, au fond de la mare.

Inès.

    

 

 

       

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25 juin 2015 4 25 /06 /juin /2015 14:40

Après avoir étudié Les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont imaginé leur métamorphose, en dauphin, en cheval ou en paon... Certains textes ont été écrits à deux.

 

Soudain, je vois mes bras et mes jambes se transformer en nageoires. Ma voix fait des sifflements merveilleux et magnifiques. En n'allant me baigner, je commence à nager comme les dauphins. Le lendemain matin, en me regardant dans un miroir, je m'aperçois que je suis bien devenu un dauphin.  

Maxime.

 

Soudain, mon corps s'allonge et grandit. Ma peau s'adoucit, s'affine et s'obscurcit. Puis, mes bras et mes jambes disparaissent et laissent place à d'élégantes nageoires. Mes oreilles se volatilisent et deux trous prennent leur place. Ma bouche s'allonge et prend une forme de bec. Ma voix se transforme en un sifflement aigu.

Mon ouïe se développe. Je suis stupéfait. Peu à peu, mes yeux s'écartent de chaque côté de ma tête. Une multitude de dents petites et pointues apparaissent enlevant mes anciennes dents. Le dieu Poséidon a exaucé mon rêve. Il m'a métamorphosé en dauphin.

François.

 

Soudain, ma peau durcit et rosit. Je suis  stupéfait. Mon poil devient un pelage de couleur isabelle et mes cheveux deviennent une crinière blanche et noire. Mes jambes grandissent et mes ongles se transforment en sabots. Ma bouche devient une énorme mâchoire. Mes oreilles s’allongent. Ensuite une queue apparait.  Ma voix se transforme en un hennissement. Ma vue s’améliore tout comme mon ouïe et mon odorat. Je me comporte comme un cheval. Je considère que c’est un miracle du dieu Poséidon.

Samuel et Alban R.

 

Soudain, ma peau durcit, devenant lisse, brillante et grisâtre. Mes bras se rapetissent laissant place à de souples nageoires. Mes jambes se rapprochent et disparaissent en une magnifique nageoire. Mes pieds s'aplatissent. Ma bouche s'allonge, se raidit et son bout s'arrondit. Mes oreilles disparaissent. Un fin évent se forme dans mon dos. Mon corps s'arrondit légèrement. Je me mets à émettre de magnifiques sifflements. Je persiste et ces cris me semblent familiers. Mon nouveau corps fuselé me permet de nager rapidement dans les merveilles eaux de l'océan : je suis devenue un dauphin.     

Méliane.

 

Soudain, mon corps s'élargit. Ma peau s'adoucit pour laisser place à un léger pelage. Mes bras et mes jambes s'allongent et se munissent de sabot. Ma bouche grossit et devient un museau. Mes oreilles s'assouplissent et se dressent au-dessus de ma tête. Une crinière et une queue apparaissent tout doucement. Ma voix disparaît et je hennis. Mon ouïe et mon odorat se développent.

Après ma transformation, je galope dans les prés, tout en sautant par dessus les barrières.

Je suis devenue une jument !

Rachel et Magella.

 

Soudain, ma taille diminue et de gigantesques plumes poussent sur tout mon corps. Mes bras se transforment en ailes multicolores et ocellées ; mes jambes se terminent par des peids palmés. Une longue queue apparaît dans mon dos. Ma bouche se transforme en un bec pointu et mes oreilles deviennent des ouïes. Ma voix s'arrête et je pousse un braillement. Je fais la roue de temps à autre en déployant mes grandes plumes. Je repère très bien les objets ou les gens grâce à ma vue extraordinaire. Je suis devenu un paon.

Axel.

 

Soudain mon corps rapetisse et se couvre de plumes. Mes bras se métamorphosent en bec orangé. Mes pieds s’affinent, s’assèchent et deviennent trois petits doigts de pieds. Ma voix disparaît et se transforme en braillement. Mes oreilles rapetissent jusqu’à en devenir minuscules. Une gigantesque queue apparaît pleine de plumes multicolores. Je n’entends presque plus mais par miracle ma voix et ma vue doublent. Emerveillée, je fais la roue et je me montre majestueusement. Je suis devenue un paon.

PAULINE.

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11 juin 2015 4 11 /06 /juin /2015 12:00

Durant un travail effectué en groupes de compétences, sur les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont tout d'abord écrit un texte individuellement ; puis, nous les avons lus ensuite, nous en avons rédigé un collectivement.

 

 

La métamorphose de Zeus en cygne.

 

Tout d'abord, Zeus rétrécit et maigrit. Son corps s'arrondit et sa peau s'adoucit, s'affine et se recouvre d'un plumage blanc. Puis, son cou s'allonge. Sa tête se déforme et ses yeux bleuissent et s'arrondissent, en se décalant de chaque côté. Ensuite, sa bouche se rigidifie en un bec orange. Ses bras s'allongent et deviennent des ailes. Ses jambes se solidifient et se transforment en des pattes palmées. Enfin, Zeus est un cygne.

 

 

 

 

Durant un travail effectué en groupes de compétences, sur les Métamorphoses d'Ovide, les élèves ont tout d'abord écrit un texte individuellement ; nous les avons lus puis nous en avons rédigé un collectivement.

La métamorphose de Zeus en cygne.

Tout d'abord, Zeus rétrécit et maigrit. Son corps s'arrondit et sa peau s'adoucit, s'affine et se recouvre d'un plumage blanc. Puis, son cou s'allonge. Sa tête se déforme et ses yeux bleuissent et s'arrondissent, en se décalant de chaque côté. Ensuite, sa bouche se rigidifie en un bec orange. Ses bras s'allongent et deviennent des ailes. Ses jambes se solidifient et se transforment en des pattes palmées. Enfin, Zeus est un cygne.

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27 mai 2015 3 27 /05 /mai /2015 11:06

Les élèves de sixième ont lu et étudié Le Petit Prince d'Antoine de St Exupéry. A la fin de la séquence, je leur ai demandé d'exprimer leur avis sur cette lecture. Il devait s'adresser directement à l'auteur ! De jolis textes, débordant de sincérité et de spontanéité ! En les lisant, peut-être vous donneront-ils envie de lire ou de relire le Petit Prince.

 

N'hésitez pas à laisser votre avis ou votre commentaire !

 

Je trouve votre livre très intéressant surtout les personnages comme l’allumeur de réverbère qui a un très « joli » métier, comme le dit le petit prince. J’ai vu et appris surtout qu’il existe plusieurs choses sur la Terre comme l’amitié, l’amour …. J’ai fait de mon mieux pour comprendre vos mots et votre texte était quand même assez simple à lire. Même si je ne lis pas beaucoup, ce genre de livre, je l’ai très bien aimé.

Amélia.

 

J'ai aimé votre histoire car le petit prince part sur d'autres planètes. Les personnages sont très imaginaires et leurs métiers sont originaux. Les constructions de phrases sont bien parce qu'elles donnent l'impression qu'on remonte le temps. Les dessins sont vraiment bien faits. J'ai aimé la planète du petit prince, de l'allumeur de réverbère, et celle du businessman. Il y a juste un défaut, à la fin : je ne sais pas si la rose meurt ou si elle dit au petit prince « je t'aime ».

David.

 

J'aime votre livre car il est émouvant, j'y ai appris des choses, comme lorsque le renard donne la définition du verbe « apprivoiser ». C'est un livre qui me fait penser encore plus aux autres. On y trouve des moments tristes et merveilleux comme lorsqu'il quitte sa planète et que sa fleur lui dit tout ce qu'elle a sur le cœur. Je me pose parfois des questions au sujet de certains passages. Ce livre est l'un des meilleurs que j'ai lu.

Méliane.

 

J'ai bien aimé votre livre car il y avait de l'aventure. J'ai bien aimé les dessins et l'aventure qu'a vécue le petit prince. Les amis qu'il a rencontrés, sont étranges. Aussi, je l’ai apprécié parce que c'était drôle et fantastique.

Samuel.

 

Je n'ai pas beaucoup aimé votre livre car il ne m'a pas inspiré. L'histoire n'était pas très intéressante, pour moi. Cependant, j'aime bien les personnages car ils sont très étranges et drôles. La couverture est jolie et les dessins aussi. Je trouve que certains dessins manquent de couleurs.

Clémence.

 

Je n'aime pas votre livre parce que ce genre de littérature ne me passionne pas malgré la popularité de votre ouvrage. Mais j'aime les illustrations de votre conte.

A mon sens, il n'y avait pas assez d'actions, le monde imaginaire de votre récit ne m'a pas passionnée car je préfère les histoires qui racontent des actions qui se rapprochent de la réalité.

Romane.

 

J'ai bien aimé le petit prince car votre livre est très poétique et très instructif ; il m'a permis d'ouvrir les yeux sur certaines choses auxquelles je n'aurais peut-être pas pensé ou alors même pas remarqué.

Apolline

 

Pour moi, Le Petit Prince est un livre que je relirais plusieurs fois dans ma vie. Un livre parfait ressemble à çà. La première de couverture donne envie de le lire ; les dessins sont bien dessinés et merveilleux. Les dialogues sont amusants et bien écrits. Pour moi, votre livre a donc toutes les qualités. Votre histoire est extraordinaire.

Rachel.

 

J’aime beaucoup votre livre car il exprime l’art d’écrire pour les enfants pour que dans leur tête, il s’imagine volant avec le Petit Prince de planète de planète, en découvrant à chaque chapitre, une histoire nouvelle.

Les personnages sont bien choisis car on peut trouver une différence, quelque chose qui les différencie dans chacune de leur personnalité : le vaniteux qui se vante ou l’allumeur de réverbère qui a une activité qui ne sert pas mais qui est jolie car on peut penser que le réverbère est une fleur ou une étoile qui naît chaque jour ou chaque nuit quand il allume ou qu’il éteint son réverbère.

Les dessins sont magnifiques, très bien dessinés : ils décrivent parfaitement le Petit Prince et chaque chapitre du livre.

Le titre est très approprié au livre car le personnage principal est le Petit Prince.

Bravo !

Mahaut.

 

J’ai bien aimé le petit prince, car votre livre est instructif. En effet, il m’a permis de connaître des mots nouveaux et il m’a fait comprendre de nombreuses choses.

Vous avez fait des dessins qui sont pour moi pas très beaux mais nous ne pouvons pas être bons partout. Les personnages sont bien pensés.

Sérieusement, votre livre m’a beaucoup plu et je ne suis pas la seule si je puis me permettre, un grand bravo à vous !

Emma.

 

Je trouve que votre livre est très intéressant car les personnages sont bien imaginés. J’ai aimé le buveur ou le géographe : ils sont très recherchés. J’ai aussi aimé le dialogue entre le renard et le petit prince. Ces paroles m’ont transporté dans votre monde. Le vocabulaire reste simple, et vos dessins sont à votre image, plein d'imagination.

Tim.

 

Je pense que votre livre du petit prince est formidable car il est agréable à lire ; l'histoire est positive. J'aime le caractère exigeant de la rose. Et grâce au renard, je peux mieux comprendre la signification des mots « apprivoiser » et « vaniteux ». J'en conclus donc que le petit prince est un livre merveilleux et surprenant.

Julien.

 

J’ai bien aimé votre livre car l’histoire est intéressante et elle peut convenir à des enfants. Les rencontres du petit prince sont passionnantes .Les personnages sont très étranges mais aussi très amusants. Le vocabulaire est simple mais pas trop. Les dessins sont, je trouve assez bien faits. La fin est mystérieuse mais c’est quand même une belle fin. Merci pour cette agréable lecture.

Enola.

 

J’ai apprécié votre livre Le Petit Prince. Je l’aime bien car il reflète la personnalité des enfants (le boa fermé ou ouvert). C’est un livre fantastique et merveilleux car il reste dans l’imaginaire sans trop déborder dans les histoires magiques ou irréelles. J’aime surtout le passage du renard car le petit prince trouve enfin un véritable ami à qui se confier, et c’est ce qu’il cherchait.

Tom.

 

Monsieur St Exupéry, j'ai beaucoup aimé votre livre Le Petit Prince car votre livre est émouvant, passionnant et merveilleux.

J'aime aussi que cette histoire ne soit pas violente car vos personnages sont tous gentils, ils ont tous leur passion, leur caractère et surtout leur savoir-faire qu'il partage avec le petit prince.

La construction des phrases est très bien simple.

Axel.

 

Je n’aime pas votre histoire car elle ne m’intéresse pas. Il n’y a pas assez d’actions. Je ne me suis pas attachée aux personnages. Je n’étais pas pressée de savoir la suite de l’histoire. Je n’ai pas envie de relire ce livre.

Pauline.

 

J’aime beaucoup votre livre. Je trouve qu’il raconte une très belle histoire.

C’est un livre qui m’a marquée, puisqu’il parle des grandes personnes autrement que nous. Pour le petit prince, les grandes personnes ne comprennent jamais rien, alors que pour nous, c’est tout le contraire.

Le passage que j’ai surtout préféré, c’est celui entre le petit prince et le renard qui se rencontrent. Le renard lui apprend des choses à propos de sa rose qui vont permettre au petit prince de réaliser qu’elle est unique.

Magella.

 

Je n’ai pas trop aimé votre livre car je le connaissais déjà mais je l’ai relu. Grâce aux questions vues en classe, elles m’ont permis de mieux le comprendre. L’idée de la rencontre entre le renard et le petit Prince est bien imaginée. Les planètes sont drôles ; par exemple, celle de l’allumeur de réverbères qui éteint et qui rallume les réverbères toutes les minutes. Je ne trouve pas vos dessins très beaux mais ils sont plutôt originaux.

Alban R.

 

J'aime votre livre, car il y a des passages qui font rire et que je trouve que vous faites preuve d'une grande imagination. Je n'ai encore jamais lu un livre où l'auteur se met dans son histoire. Je trouve que pour quelqu'un à qui on a gâché la carrière de dessinateur étant petit, vous dessinez très bien. Je trouve fantastique et très étrange la manière dont le petit prince rentre chez lui.

François.

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24 mars 2015 2 24 /03 /mars /2015 18:43

Aujourd'hui avait lieu un concours organisé par le professeur de mathématiques en réunissant les classes de CM2 et de sixièmes. Pendant qu'un groupe concourait, deux autres groupes écrivaient des textes.

Les élèves ont commencé par trouver des noms communs, puis des adjectifs qualificatifs. Ils ont constitué des GN, puis ils les ont échangés avec leur voisin ; des phrases ont été construites... et de drôles de textes très courts sont sortis de leur imagination, sans aucune contrainte d'écriture !

 

Un cheval rose vole sous la mer violette ; des moutons blancs broutent puis digèrent leur succulent repas.

Gabrielle

 

Des moutons blancs broutent à côté d'un éléphant rose, près d'une voiture bleue. Pendant ce temps, un lion tigré mange un bonhomme qui voulait monter dans la voiture puis il repart.

Bastien.

 

Un cheval rose vole sous une voiture bleue, juste à côté des moutons blancs qui broutent.

Louise

 

Un mouton blanc broute puis digère deux éléphants roses du rayon des surgelés. Des voitures bleues roulent vers les chiens verts et jaunes.

Luc

 

Dans une voiture marron, un lion étrange mange des crêpes bretonnes. Son ami, le chat tigré fait de même. Un chat noir regarde la belle voiture partir. Une autre voiture bleu foncé vers un chien vert.

François

 

Un bonhomme étrange habite dans une maison tigrée, avec son cheval marron et son éléphant violet ainsi que son chien noir qui mange des chatons jaunes.

Enola

 

Dans une voiture marron, un chat tigré fait des galipettes ; à côté de lui, son ami le lionétrange mange des crêpes bretonnes.

Tom

 

Un éléphant tigré lance de l'eau sur le chien noir qui mange un chaton jaune.

Ethan

 

Un chien marron court dans la rue Henri Proust, après un chaton jaune. Mais le chaton est trop rapide et il se réfugie dans une maison étrange, derrière une fenêtre coulissante. Le chien ne voit rien et se tape la tête contre la fenêtre.

Maxime

 

Des moutons blancs broutaient à côté d'un éléphant rose. Quand ils n'eurent plus de quoi brouter, ils mangèrent puis digérèrent l'éléphant rose. Plus loin, ils rencontrèrent un cheval mauve qui s'amusait à voler entre les voitures. Dans l'une d'elles, se trouvait un cahton jaune qui faisait des galipettes en étant dévoré par un chien noir.

Méliane

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 17:17

Je rassemblai mes ouvriers et je leur dis :

« Nous allons construire une nouvelle Tour de Babel, pour rassembler tous les judokas et faire les meilleures entraînements du monde entier. Ma tour élevée devra mesurer quatre-vingt dix mille kilomètre de longueur et six cent mille kilomètres de hauteur. Liez-la avec plusieurs milliers de tatamis colorés de noir et de blanc. Sa forme sera rectangulaire. »

Aude.

Je rassemblai mes ouvriers sur le terrain et je leur dis :

« Nous allons construire une nouvelle Tour de Babel, pour apprendre à aimer les mathématiques. Il faudra qu’elle mesure cinq cents mètres de hauteur. Assemblez des règles en plastique, des compas en fer, des cubes à six faces, des équerres en bois et des pierres. Colorez-la en couleur sable. Vous devrez la monter en forme de pyramide. »

Amandine.

Je rassemblai mes ouvriers sur le terrain et je leur dis :

« Nous allons construire une nouvelle tour de Babel pour rassembler tous les jeunes sapeurs pompiers. La tour mesurera 300 kilomètres de large et 3000 kilomètres de longueur et de hauteur, elle aura donc la forme d’un rectangle. Vous assemblerez des cubes en vous aidant de la grande échelle et vous les attacherez avec des tuyaux usés. Pour votre sécurité, vous aurez des casques. En vous aidant du camion citerne, vous peindrez la tour en rouge et noire. »

Marie C.

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10 février 2014 1 10 /02 /février /2014 13:51

Cette année, les élèves des deux classes de sixième ont visité le château du Rivau et ses jardins de contes de fées. A la suite de cette visite, ils ont réalisé plusieurs travaux d'écriture dont des contes. Les situations initiales et finales ont été créées par l'ensemble de la classe.

Voici leur création :

   Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança près du roi et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Hervé, s'assit près du roi.

   C'était un jour, au château du Rivau, je décidai d'aller chercher dans le labyrinthe un serpent très rare. Le roi voulait le chasser mais personne n'avait encore osé l'attaquer. Je savais qu'il s'y trouvait plein de pièges. Je partis vers le labyrinthe. En chemin, je rencontrai une fée à qui je proposai de m'aider pour franchir les pièges. Alors, j'entrai dans le dédale à la recherche de ce serpent qui était très dangereux ; je vis tout de suite les pièges : une porte qui se refermait, des couteaux qui chutaient, un lac plein de crocodiles et un trou de lave. A la porte qui se refermait, la fée l'ouvrit pour que je puisse passer ; aux couteaux qui chutaient de tous les côtés, elle les transforma en poussière ; elle mit dans le lac aux crocodiles du poison et elle solidifia le trou de lave.

   En arrivant devant le serpent, je voulus l'attaquer mais il me mordit avec ses crocs. La fée intervint en m'injectant un antidote et elle m'enveloppa d'une grande couverture pour que je n’aie pas froid. Je me mis à trembler, à gémir et enfin j'ouvris les yeux. J'étais rétabli. Je capturai le méchant serpent. Je le mis dans une cage et l'emmenai au roi.

   Le roi trouva que j'avais été très courageux et très malin. Comme convenu, il me donna la main de sa fille et la moitié de son royaume. Ce fut un beau mariage.

Amandine.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit. « Sire je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme nommé Rémi, s’assit près du roi.

"C’était un jour, au château du Rivau,  je vis une fée prénommée Marion qui vint me prévenir que dans la nuit des ennemis allaient encercler le château du Rivau. Je la crus tout de suite car je la connaissais bien. A cet instant, je me rappelai de votre annonce ; alors je pensai que les bottes géantes pourraient m’aider. Tout d’un coup, j’eus une idée : je sortis du château avec les bottes géantes et de l’argent pour me rendre au village. Mais comme j’étais en dehors du château, bien décidé de vous sauver, vous, votre famille et les villageois, j’achetais du pain, de l’eau, de la viande et des légumes avec l’argent. Il me restait cependant un problème à résoudre : je n’étais pas transparent !

Trois jours plus tard, la fée me rejoignit à l’auberge. Celle-ci pourrait me rendre transparent avec ses pouvoirs magiques, pour que je vienne déposer la nourriture au château ; je le lui demandai et elle accepta. J’enfilai les bottes géantes pour y arriver plus facilement. Je passai auprès des gardes sans problème et je donnai la nourriture au roi qui me donna beaucoup d’argent. Et grâce aux bottes, je commençais ainsi rapidement des allers-retours jusqu’à ce que les ennemis partent."

Le roi trouva que le jeune homme avait été très courageux et très malin. Comme promis, il m’offrit la moitié du royaume et sa fille.

Aude.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé.». Le jeune homme, nommé Jules, s'assit près du roi.

"C'était un jour au château du Rivau, je me promenai dans le jardin et trouvai un arrosoir géant tout rouillé, avec plein de trous ! Je pensai que ce serait bien d'en fabriquer  un autre pour que le géant puisse arroser toutes les fleurs en même temps. Je pris de la terre que je mélangeai avec de l'eau. Je connaissais beaucoup de recettes magiques sauf celle pour transformer la terre en caoutchouc. Alors je continuai ma promenade dans le jardin mais impossible de trouver cette recette. A force de me promener et de réfléchir, une nouvelle idée me vint à l'esprit : demander de l'aide à ma marraine, la bonne fée. J'allai donc la trouver dans le jardin des fées. Je lui exposai mon problème.

Elle alla près de ma préparation en terre, prononça une formule incompréhensible et transforma l’arrosoir de terre en un en caoutchouc."

Après la fabrication de cet arrosoir, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.  

Mathilde.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé François, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, j’arrivai dans le jardin lorsque j’entendis votre message. Je réfléchissais toutes les nuits à ce que je pourrais faire. Et là, j’eus une idée. Comme je savais que la reine avait disparu depuis plusieurs années, je partis à sa recherche. Je réfléchis où elle pouvait se trouver et qui avait pu l’enlever. L’ogre aurait pu le faire car il était grand et fort. Mais où pouvait-il se cacher ? Je partis à sa recherche en commençant par le labyrinthe d’Alice au  pays du Rivau. En chemin, je rencontrai les grandes jambes rouges. Je leur demandai de me guider jusqu’au labyrinthe et si elles n’avaient pas une idée où la reine se cachait. Mais elles ne savaient pas. Je grimpai  tout en haut d’une des grandes jambes rouges qui me conduisit au labyrinthe. Elles me prévinrent qu’il était piégé. J’observai tous les pièges et je m’aventurai dans le dédale. Grâce à mon intelligence et à mon courage, j’évitai chacun des pièges. Je cherchai partout mais je ne vis ni ogre, ni reine. Je continuai ma recherche et m’arrêtai dans la Forêt Enchantée. Je demandai aux nains s’ils savaient où la reine se cachait. Mais ils ne savaient pas. Je continuai ma recherche quand j’eus une nouvelle idée. Normalement, l’ogre se cachait dans une grotte. Alors, je partis à sa recherche quand j’aperçus une tour avec une natte qui y pendait. Je crus que c’était la reine, mais une jeune fille se retourna et me vit. Je reconnus votre fille. Alors, je repartis à la recherche de la reine. Et là, je vis une grotte ! J’y courus. L’ogre m’entendit et sortit de son antre. Je pris mon épée, m’élançai et la lui enfonçai dans le cœur. La reine criait au secours à l’intérieur de la grotte. Je la délivrai et je vous la ramenai. »

Après cet exploit, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard je me mariai avec la princesse.

ALICE

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier prétendant s’avança et commença son récit : “Sire je vous ai obéi , j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé.” Le jeune homme, Thomas, s’assit près du roi.

"C’était un jour au château du Rivau, je me promenai dans le jardin quand j’aperçus qu’une personne avait déposé des diamants, dans La Forêt qui court. Plus tard, je fis la rencontre d’un géant, si grand que j’eus peur. Je voulus savoir si ces pierres si brillantes étaient à lui. Comme je les voulais pour les offrir au roi, il fallait que je le combatte d’une façon spéciale. Je m’élançai et d’un bond, je grimpai le long d’une grande Jambe rouge et je le tuai."

Après cet exploit, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume.

Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.

THOMAS H.

 Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Jules, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau, je me promenais quand je vis de très gros trous dans la terre mais je ne trouvai pas ce que c'était. Le lendemain, je revis un autre gros trou et je trouvai une galerie ; je pénétrai dans celle-ci quand tout à coup, je vis une taupe géante qui creusait un tunnel, j'essayai de la rattraper mais elle allait trop vite.Trois jours après, je revis cette taupe géante. Je voulais la tuer parce qu'elle faisait trop de dégâts dans les jardins.  Elle dormait ; elle ne m'entendit pas marcher mais soudain elle me sauta à la gorge ; aussitôt je lui plantai mon épée dans le cou et la taupe géante tomba morte. J'apportai l'animal géant devant le roi. »

Après cet exploit, le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la princesse.

ARMAND.

 

Autrefois, un roi promit à sa fille et la  moitié de son royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Jean, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château de Rivau, je me promenai dans les jardins et je vis une grande prairie. Je trouvais cette zone vide et je voulais y placer une construction qui la mettrait en valeur, tout en accomplissant une chose incroyable car j’aimais la princesse et le château était magnifique. Je réfléchis longtemps ; lorsque le soleil se coucha, j’eus une idée. Je savais que la fille du roi avait un chat qu’elle adorait et qu’elle aimait les labyrinthes : je pourrais donc lui en créer un en forme de tête de chat. Cette construction plairait au roi car il aimait tout ce qui faisait plaisir à sa fille. Je me souvins d’un vieux jardinier qui était un de mes amis. Je pensai qu’il pourrait m’aider car il était un peu magicien. Malheureusement il y avait un inconvénient, il habitait très loin et j’avais du travail à faire. Je décidai donc d’aller  jusqu’au Pot rouge, là où vivaient les fées, pour leur demander si elles pouvaient m’aider. Quand je fus arrivé là-bas, les fées acceptèrent et me fabriquèrent une boule magique qui me permit de me rendre chez mon ami en moins de trois minutes. Après les retrouvailles, je parlai de la situation à mon ami. Il se dirigea vers un placard où il prit un pot. Le jardinier m’expliqua que cette boîte contenait des graines magiques qui produisaient un maléfice une fois qu’elles seraient plantées. Quand je le quittai, je ne me souciai plus de l’inconvénient des graines.

Lorsque je fus de retour dans le jardin du Rivau, je me précipitai vers la prairie où je plantai mes graines. Une fois terminé, je rentrai chez moi, je posai le pot sur une étagère et j’allai me coucher.

Le lendemain, je fus réveillée par d’horribles cris. Je me précipitai et je regardai par la fenêtre d’où je vis un ogre monstrueux. Il détruisait tout sur son passage et ne prenait pas pitié des pauvres gens affolés qu’il dévorait tout crus. Sans réfléchir une seconde, je saisis le pot, qui pourrait me servir et je m’échappai le plus vite possible. Je trouvai une cachette où je m’installai. J’observai mon pot en espérant trouver une chose pour arrêter cette catastrophe. Je ne trouvai qu’un vieux papier jauni par le temps. Je le dépliai et je pus lire ceci : « Si un mauvais sort est jeté, seul, un geste d’amour sincère pourra l’annuler. »

Je pris alors la décision d’aller au Jardin des Filtres d’amour où je pourrais peut-être trouver une idée. Quand je fus arrivé, je vis la princesse en pleurs avec son chat. Lorsque je lui demandai ce qui la rendait si triste, elle me répondit que son père, le roi, avait été mangé par l’ogre. Je n’eus pas le temps de réagir que l’ogre apparut. Je pris la main de la princesse et la tirai derrière un buisson où nous nous cachâmes. Quand nous relevâmes la tête pour voir ce que l’ogre faisait, la fille du roi hurla et je vis le monstre se saisir du chat de la jeune fille. En voyant cette scène, courageusement je sortis du buisson. Je me glissai le long de ses jambes et de son corps. Quand je fus sur ses épaules, je courus jusqu’à ses mains et j’attrapai le chat. Je glissai sur le sol et rendis le félin à sa maîtresse. Pour me remercier, elle m’embrassa. C’était le plus beau jour de ma vie. Comme ce bonheur était grâce à l’ogre, je décidai de le remercier. De la même manière que pour sauver le félin, je grimpai sur ses épaules puis je l’embrassai. Mais au même moment, il disparut et je tombai, fort heureusement, sur un gros tas de feuilles. Quand je relevai la tête, je vis des pépites d’or tomber du ciel, qui, à leur passage, réparaient les dégâts causés. Je repensai alors au vieux papier du pot ; je me dirigeai vers la prairie, quand j’aperçus le roi devant un labyrinthe en forme de tête de chat. Cette journée était vraiment la plus belle de ma vie. »

Après la fabrication du labyrinthe, je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.

DARINA.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit  «  Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Henri, s’assit près du roi.

« C’était un jour au château du Rivau, je cueillai des pommes dans un pommier, près du château, avec mon échelle mais tout à coup une gigantesque lumière bleue jaillit dans les airs ; de peur, je tombai. La créature eut aussi peur et elle partit en laissant une potion magique et une lampe. Alors, je les posai sur la table de la cuisine et je les regardai. Une nouvelle lueur bleue jaillit une seconde fois. Je compris que la créature était un coq aux yeux bleus, aux ailes en or, au corps en poterie, et aux ergots en fer. Je me demandai pourquoi il était là ; il me répondit que j’avais un cœur vaillant et que j’étais sage et courageux. Je ne comprenais pas ce que voulait cet animal étrange. Durant la nuit, j’étais dans mon lit quand j’entendis un bruit qui surgit de la cuisine.

 « OH OH OH ! Henri tu auras droit à trois voeux ». Là, je compris que c’était la lampe magique ; en me rendant dans la cuisine, je dis mes trois vœux. Je fabriquai donc un coq en poterie comme celui que j’avais rencontré ; je continuai à créer toute la famille Pot de Terre et je les disposai sur un damier, pour que le roi puisse jouer au soleil, aux échecs. »

Après cet exploit, je revins au château ; le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune fille.  

LUIS-ANTONIO.     

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Claude, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château de Rivau, je m’étais promis de construire un labyrinthe. Je me demandai en quoi j’allais le faire : en métal ? En bois ? En feuillage ? En carton ? Mais je ne pouvais pas le faire en métal car cela m’aurait couté trop cher ! Ni en carton car il n’aurait pas été solide. J’avais le choix entre la beauté du feuillage et la solidité du bois. J’ai demandé de l’aide à un ami qui utilisait la magie. Il se nommait Eliase. Il me conseilla un labyrinthe en feuillage. Je lui demandai où j’allais trouver toutes ces haies. Et là, il fit apparaître les feuillages, mais je devais encore les installer ! Je devais aller chercher des pieux dans la Forêt Enchantée. Une fois arrivé au bout de la forêt, je me trouvai face à une vipère qui était juste devant les pieux. Elle me sauta dessus et me mordit.

Eliase me soigna, il dut utiliser la magie. Je me relevai une ou deux heures  après. Je me rendis sur les lieux de ma future oeuvre, j’installai les pieux et les haies. Mais il me restait un pieu dans la main quand un monstre apparut. Aussitôt je le lui envoyai dans l’œil et il mourut. »

De retour au château, le roi offrit la main de sa fille et la moitié de son royaume à ce prétendant. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants qui jouaient dans le labyrinthe.

MATHIS.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme, nommé Joseph, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau.  Quelques semaines plus tôt, le château avait été attaqué par un dragon qui avait enlevé la princesse. Comme j'étais courageux et vaillant, je décidai de la délivrer du dragon.

Je me mis en chemin vers la tour. En arrivant, je pris mon arc avec des flèches empoisonnées pour tuer la bête féroce. Je m'en approchai mais il dormait encore. Je me mis donc à grimper dans la tour et j'aperçus la princesse qui sommeillait. Soudain l'animal ouvrit un l'oeil, il me vit mais je redescendis pour me cacher. Le dragon me chercha mais il ne me trouva pas. Lorsque qu'il eut le dos tourné, je pris une flèche et je tirai. Je réussis à toucher le dragon en plein cœur. Je pus grimper le long de la tour par la natte qu’elle avait confectionnée. Je la délivrai. »

Nous fîmes un grand festin pour le retour de la princesse qui était très contente. Le roi m'offrit une partie de son royaume et sa fille en mariage.

JOSEPH.

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Martin, s’assit près du roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, j’allais dans la forêt quand j’eus une idée ; je pris une feuille et des outils pour fabriquer de grandes jambes pour que le roi puisse aller rapidement visiter son royaume. Je m’installai dans l’herbe et je fis des plans. Mais je n’arrivai pas à les construire ; je me levai, marchai puis m’assis au pied d’un arbre ; je me mis à pleurer. Soudain une branche me tapa sur l’épaule ; je bondis et partis en courant. Mais je sentis que je ne touchai plus le sol ; je me retrouvai assis sur une branche de l’arbre. Je criai puis le chêne me posa par terre et je compris qu’il ne voulait pas me faire de mal.

Je lui expliquai que je voulais : fabriquer de grandes jambes rouges pour le roi ; l’arbre me donna une partie de ses branches pour les construire. Je me mis au travail avec mes outils : je coupai, ponçai et peignis en rouge les branches qui se transformèrent en jambes géantes. Je les mis aux pieds et là, dès le premiers pas, j’arrivai directement au château. J’appelai le roi pour lui montrer mon invention. Il les essaya à son tour et il les trouva merveilleuses. »

Après cet exploit, la fabrication des jambes, je revins au château. Le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard je me mariai avec la jeune fille.

AMELIE.

 

Autrefois un Roi promit sa fille et la moitié de son royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé ». Le jeune homme nommé François s'assit près de moi.

« C'était un jour au château du Rivau, j’allais dans les jardins et là, je vis un petit terrain vide ; je pensais que pour satisfaire le roi, je pouvais construire quelque chose qui ravirait le roi. Je cherchai pendant des heures ; j'allais demander à Jacqueline, la fée qui trouvait toujours des idées. Je la contactai ; comme d'habitude elle trouva une idée formidable : elle me proposa de fabriquer de grandes jambes rouges, pour que le roi puisse se déplacer rapidement, dans son royaume. Je les fis donc et je les posai dans la Forêt qui court. Je les offris au roi qui fut très content. »

Après cette élaboration, Jaqueline, la fée disparut. Je revins au château : le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et la moitié de son royaume. Plus tard je me mariai avec la jeune fille.

ASSIM.

 

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l'action la plus incroyable. Le premier des prétendants s'avança et commença son récit : « Sire, je vous ai obéi, j'ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j'ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Luc, s'assit près du roi.

« C'était un jour, au château du Rivau, je m'ennuyais quand une idée me vint pour épouser la princesse, j'allais accomplir un exploit qui plairait au roi. Je m'y mis dès le matin suivant. A la fin de la semaine, il me restait une jambe à construire et à peindre. Je cherchai un endroit dans la fôret du Royaume pour installer les grandes jambes rouges. Enfin, je trouvai un endroit magnifique. J'arrivai à mes fins. Le roi attendait ma visite. Après la construction des jambes géantes, je revins au château. »

Le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie du royaume. Plus tard, je me mariai avec la jeune princesse.

CLEMENT.

Autrefois, un roi promit sa fille et la moitié du royaume à celui qui accomplirait l’action la plus incroyable. Le premier des prétendants s’avança et commença son récit ! « Sire, je vous ai obéi, j’ai accompli une chose incroyable. Voici ce que j’ai réalisé. » Le jeune homme, nommé Michel, s’assit prés du Roi.

« C’était un jour, au château du Rivau, je me promenais dans le jardin, quand j’eus une idée pour obtenir votre fille. Je voulais passer par les quatre chemins du labyrinthe pour accéder à la maison de l’ogre afin de le tuer. Mais je ne le vis pas. Puis j’aperçus une tour. J’y montai et je vis les quatre sentiers. Je passai par le troisième en découvrant par terre, un, deux, trois outils ; je les ramassai, je les pris et je fabriquai un piège pour vous débarrasser de l’ogre. Ce fut vite fait car le géant fut pris et je l’emmenai loin du royaume. »

Après cet exploit, je revins au château et le roi fut impressionné par mon aventure. Il me donna donc la main de sa fille et une partie de son royaume. Plus tard, je me mariai.

JESSICA.

 

 

                                                                                                                     

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

D'étranges aventures dans les jardins du Rivau.
D'étranges aventures dans les jardins du Rivau.
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20 octobre 2013 7 20 /10 /octobre /2013 12:40

 

Les élèves de sixième ont créé des poèmes en imitant le texte d'Eugène Guillevic "J'ai vu le menuisier", Terre à Bonheur.

 

 

J'ai vu le menuisier

Tirer parti du bois.

 

J'ai vu le menuisier

Comparer plusieurs planches.

 

J'ai vu le menuisier

Caresser la plus belle.

 

J'ai vu le menuisier

Approcher le rabot.

 

J'ai vu le menuisier

Donner la juste forme.

 

Tu chantais, menuisier,

En assemblant l'armoire.

 

Je garde ton image

Avec l'odeur du bois.

 

Moi, j'assemble des mots

Et c'est un peu pareil.

 

Voici leur création :

 

J’ai vu le charpentier

J’ai vu le charpentier

Choisir du bois.

 

J’ai vu le charpentier

Couper les poutres.

 

J’ai vu le charpentier

Prendre la plus solide.

 

J’ai vu le charpentier

Assembler les madriers.

 

Tu chantais, charpentier,

Sur le haut du toit.

 

Je garde ton image

Avec l’odeur du bois.

 

Moi, j’assemble des mots

Et c’est un peu pareil.

Amandine

 

J'ai vu l'électricien

J’ai vu l’électricien

Dérouler plusieurs fils.

 

J’ai vu l’électricien

Contrôler plusieurs machines.

 

J’ai vu l’électricien

Brancher l’ampèremètre.

 

J’ai vu l’électricien

Mettre les gants isolants.

 

Tu chantais, électricien,

En réparant l’installation.

 

Je garde ton image

Avec le bruit du compteur.

 

Moi, j’assemble des mots

Et c’est un peu pareil.

Marie

 

J'ai vu la coiffeuse

J'ai vu la coiffeuse

Observer les cheveux.

 

J'ai vu la coiffeuse

Démêler la chevelure.

 

J'ai vu la coiffeuse

Couper la frange.

 

J'ai vu la coiffeuse

Approcher le séchoir.

 

J'ai vu la coiffeuse

Tresser les mèches.

 

Tu chantais, coiffeuse

En coiffant le chignon.

 

Je garde ton image

Avec l'odeur des cheveux laqués.

 

Moi, j'assemble des mots

Et c'est un peu pareil.

Aude

 

J'ai vu le peintre

J'ai vu le peintre

Préparer les crayons.

 

J'ai vu le peintre

Esquisser sur la toile.

 

J'ai vu le peintre

Déposer sa gouache.

 

J'ai vu le peintre

Prendre les pinceaux.

 

J'ai vu le peintre

Colorer le tableau.

 

Tu chantais, peintre,

En terminant ton œuvre.

 

Je garde ton image

Avec l'odeur de peinture.

 

Moi j'assemble des mots

Et c'est un peu pareil.

Thomas

 

J'ai vu le boulanger

J'ai vu le boulanger

Choisir la farine.

 

J'ai vu le boulanger

Assembler les ingrédients.

 

J'ai vu le boulanger

Pétrir la pâte.

 

J'ai vu le boulanger

Cuire le pain.

 

Tu chantais, boulanger,

En regardant la baguette dorée.

 

Je regarde ton image

Avec l'odeur du pain chaud.

 

Moi, j'assemble des mots,

Et c'est un peu pareil.

Amélie

 

J'ai vu le maçon

J'ai vu le maçon

Mélanger le ciment.

 

J'ai vu le maçon

Choisir les pierres.

 

J'ai vu le maçon

Tailler les plus belles.

 

J'ai vu le maçon

Prendre la taloche.

 

J'ai vu le maçon

Assembler les blocs.

 

Tu chantais, maçon,

En bâtissant le mur.

 

Je garde ton image

Avec l'odeur de la pierre.

 

Moi, j'assemble des mots

Et c'est un peu pareil.

Baptiste     

 

J’ai vu le pâtissier

J’ai vu le pâtissier

Mélanger les ingrédients.

 

J’ai vu le pâtissier

Lisser la crème anglaise.

 

J’ai vu le pâtissier

Ajouter le cacao.

 

J’ai vu le pâtissier

Beurrer le moule.

 

J’ai vu le pâtissier

Cuire le gâteau.

 

Tu chantais, pâtissier,

En sortant le moelleux au chocolat.

 

Je garde ton image

Avec l’odeur du chocolat.

 

Moi, j’assemble des mots

Et c’est un peu pareil.

Léa.

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