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9 septembre 2012 7 09 /09 /septembre /2012 14:12

Me voici de retour pour cette rentrée 2012-2013 !

 

Je souhaite à tous les élèves du collège une très bonne année scolaire. Qu'elle soit sereine et couronnée de réussite !

 

A vos plumes !

 

Toutes les créations, en vers ou en prose, sont les bienvenues ! Laissez aller votre imagination pour le plus grand plaisir des lecteurs !

 

F. L. D.

 

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25 avril 2012 3 25 /04 /avril /2012 14:32

Les élèves de sixième sont allés visiter les jardins de contes de fées du château du Rivau : ils ont écrit des contes merveilleux.

 

Laissez-vous guider dans leur imaginaire ! Bonne lecture !

 

DSCN1772

 

Il y avait une fois une princesse qui se nommait Laurine ; elle était fort belle et fort intelligente, mais elle était retenue prisonnière par le plus laid et le plus sot des ogres de la Forêt enchantée. Seule, une fée avec sa baguette magique pouvait la délivrer. Mais comme l’ogre avait volé la baguette magique de la seule fée du Royaume, il lui imposa deux épreuves si elle voulait la récupérer.

La première consistait à traverser le labyrinthe d’Alice en trente secondes. Puis la seconde était de lui construire une cabane beaucoup plus jolie et plus grande. La fée Rose ne se laissa pas déstabiliser et elle accepta ce défi.

Tout d’abord, elle chantonna une douce mélodie qui fit apparaître un balai magique ; elle monta dessus et elle parcourut le labyrinthe aussi vite qu’un avion à réaction. 

Ensuite, elle appela tous ses amis animaux de la Forêt enchantée. Les castors s’occupèrent des morceaux de bois, les biches et les cerfs construisirent les murs avec des rondins, les oiseaux cherchèrent des fougères et des brindilles que les lapins disposèrent sur le toit. La fée Rose les remercia tous.

Comme la cabane était terminée, elle demanda à l’ogre sa baguette magique. Elle l’agita et prononça une drôle de formule magique ; aussitôt la princesse Laurine fut délivrée.  

Enfin Laurine remercia sa bonne fée et elle repartit dans son château, tandis que l’ogre malheureux se réfugia dans sa nouvelle cabane.

Alizée.

 

Il était une fois, une princesse nommée Laurine qui depuis une ou deux décennies, était emprisonnée dans la tour Poivrière d'une magnifique demeure, aux jardins magiques. Cette jeune fille était d'une grande bonté. Elle était aussi très belle. Le château dans lequel cette jeune fille était retenue prisonnière appartenait à un bien méchant homme qui n'était autre que le seigneur Malfait. Cet horrible personnage promettait de délivrer la fille du Roi en échange d'un opuscule.

Or un beau jour, le père de Laurine envoya le chevalier Arnaud, un des plus forts du pays, délivrer sa fille. Le preux chevalier arriva chez le seigneur Malfait sur son majestueux destrier. L'ensorceleur lui promit de délivrer la belle enfant à condition qu'il retrouve le précieux grimoire en accomplissant deux épreuves. Le seigneur maléfique remit au chevalier un petit parchemin sur lequel on pouvait

lire :

« Promène-toi, dans le potager de Gargantua et tu trouveras là, en-dessous de toi, celui qui t'aidera. Si tu veux un indice demande conseil à la botte magique. »

Aussitôt celui-ci s'y rendit et la botte lui dit :

« Celui que tu cherches a des écailles écarlates. »

Arnaud se promena et trouva la solution : dans un miroir d'eau ondulait une ombre rouge. Celle-ci sortit de l'eau et dit :

« Bravo à toi mon cher ! Va rejoindre le seigneur de ces lieux dans la Forêt Enchantée mais surtout n'oublie ni ton épée, ni ton destrier. »

Dans son armure étincelante, Arnaud galopa sur les chemins de l'immense propriété. Il finit par arriver dans la Forêt Enchantée. Au moment même où il y pénétra, sept nains coururent se cacher derrière des buissons ; mais la chose la plus impressionnante fut le seigneur Malfait au centre de la Forêt. L'ensorceleur lui annonça un combat d'épée. Le duel commença : Malfait lâcha son épée à terre. Arnaud se demanda pourquoi mais il comprit très vite. Le laid personnage utilisait la magie ! A la moitié du combat, le chevalier exigea une pause qui lui fut accordée. Découragé, il s'adossa à un arbre et réfléchit. Comment pouvait-il gagner ? Il ne le pouvait pas car il n'avait aucun pouvoir magique. Soudain, sept nains de jardins tenant une épée arrivèrent. Le plus joyeux de tous annonça que cette épée était magique ! Réconforté, le chevalier retourna combattre et après quelques efforts, le preux chevalier gagna le duel ! Le seigneur Malfait s'avoua vaincu. Alors, un elfe et une fée arrivèrent et annoncèrent à Arnaud :

« Nous allons t'offrir cet opuscule grâce à ton courage. »

Le chevalier remit le petit livre à Malfait qui libéra aussitôt Laurine. Celle-ci accourut remercier son sauveur.

Ils revinrent tous deux chez le père de Laurine. Ils furent accueillis par une véritable fanfare et on donna en leur honneur un banquet. Lors de ce somptueux repas, le chevalier Arnaud demanda la princesse Laurine en mariage et très heureuse, celle-ci accepta. Le mariage fut une très belle fête. Ils eurent trois enfants et se réconcilièrent avec Malfait qui désormais, grâce à l'opuscule, savait changer le charbon en rose, le plomb en perle et la méchanceté en amour !

Inès G.

 

Il était une fois une princesse qui s’appelait Laurine ; elle était très belle et elle était vêtue d’une robe bleue. Mais un ogre cruel la retenait prisonnière dans la cage du Phénix. Seule, une fée pouvait la délivrer si elle accomplissait deux épreuves exigées par l’ogre qui était vêtu d’un costume noir. Or, une fée qui se nommait Rose vint par là. Elle possédait une baguette magique, que  l’ogre  lui avait malheureusement volée. Elle devait la récupérer pour délivrer la princesse. Elle dut donc affronter les deux épreuves.

 D’abord elle traversa la Forêt Enchantée mais elle dut se cacher et se glisser sous les feuillages pour ne pas être attrapée par les sept nains. Elle réussit. Mais en sortant de ce lieu, elle combattit la gueule du dragon magique. Elle prit son épée et elle transperça le cœur de l’animal, cracheur de feu. Ensuite la fée  n’eut pas trop de mal à traverser la Forêt Enchantée.

 Enfin Rose récupéra sa baguette magique, la princesse apparut. La fée formula une phrase incompréhensible et aussitôt l’ogre mourut. Rose et Laurine n’eurent plus jamais d’ennuis.

Sarah.

 

 

Il y avait autrefois la princesse Laurine qui était enfermée par le seigneur d’un château, depuis cent ans. Le roi et la reine pleuraient énormément. Un jour, le roi envoya le chevalier Arnaud pour la libérer. Alors il lui dit : « Si tu veux la délivrer, il faudra trouver un opuscule, que tu devras remettre au seigneur du château. »

Tout d’abord le chevalier parcourut tout le pays mais il ne trouva aucune trace de l’opuscule. Alors il chercha directement dans les jardins du château. Mais pour accéder à l’endroit où se trouvait le petit livre, le jeune homme devait accomplir deux épreuves.

D’abord il arriva près de la cage du Phénix. Il combattit vaillamment contre cet oiseau légendaire qui fut rapidement vaincu. Le seigneur, pour le punir de cette victoire, transforma le chevalier en castor. Ensuite sa seconde épreuve fut de traverser le labyrinthe. Le dédale était facile mais à la fin, le chevalier dut affronter un dragon noir. Mais le pauvre Arnaud transformé en castor ne pouvait rien faire d’autre que de couper des arbres. D’un coup, il lui vint une idée : faire tomber des arbres sur le dragon. Alors, à la vitesse de la lumière, il fit tomber tous les arbres sur l’animal cracheur de feu. Aussitôt la bête mourut et recracha l’opuscule. Alors le chevalier castor prit le petit livre et sans raison, il fut téléporté devant le seigneur. Sans hésiter, il tua le seigneur à coup de dents, il prit les clefs, ouvrit la cellule de Laurine et retourna au château du roi.

Comme un castor et une princesse ne pouvaient pas se marier, ils ne se marièrent pas. La princesse Laurine trouva un beau prince intelligent. Et Arnaud fut le premier chevalier castor !              

Valentin.

 

Il était une fois, une princesse d'une très grande beauté nommée Laurine qui était retenue prisonnière dans une Tour poivrière par un seigneur d'une contrée lointaine.

Un jour, le père de la jeune fille demanda à un chevalier nommé Arnaud d'aller la sauver de son sort. D'abord Arnaud se rendit au château du seigneur. Le chevalier se trouva devant un étrange labyrinthe. Il déambula dans ce dédale et il découvrit un bouclier et une épée. En  continuant sa route, il se trouva devant un dragon rouge qui bloquait le seul passage pour se rendre au château du seigneur. Le seul passage possible pour sortir était la gueule de l'animal. Courageusement et astucieusement, le chevalier utilisa le bouclier trouvé précédemment; il se protégea donc des flammes que le dragon crachait. Quand le chevalier fut à l'abri du feu, il trouva un opuscule qui contenait de la magie blanche. Après avoir pris le petit livre, le chevalier Arnaud  tua le dragon, délivra la princesse Laurine et il tua, grâce à l'opuscule, le seigneur qui n'était qu'un méchant ogre.

Le chevalier et la princesse se marièrent mais n'eurent jamais d'enfants.   

Baptiste. 

 

Il était une fois, une princesse qui s'appelait Laurine. Elle était retenue prisonnière par un ogre dans une Forêt enchantée. Seule, la fée Rose pouvait la délivrer grâce à sa baguette magique mais l'ogre la lui avait volée quelques jours auparavant.  Alors elle courut voir le géant de la Forêt enchantée et elle lui demanda de l'aider. Il accepta mais elle devait accomplir deux épreuves.

La première épreuve se déroulait derrière l'échiquier de la famille Pots de fleurs. Quand Rose s’y rendit mais elle eut peur des créatures en terre. Tout à coup, le Phénix arriva et lui dit : « Ne reste pas ici, c'est trop dangereux ! » Le Phénix la prit sur son dos et il l'emmena plus loin. Une fois qu'elle fut à l'abri, elle lui raconta tout ; l'oiseau magique alla donc chercher les bûches à sa place ; la fée put les rapporter au géant.

Ensuite le géant proposa la seconde épreuve : Rose devait rassembler toutes les affaires du géant. La fée alla demander de l'aide au Phénix qui refusa. Alors, découragée, elle abandonna ; elle était triste quand survint une grande jambe en bois. La Forêt qui court fut convaincue par son histoire et elle l'aida. Une fois les objets rassemblés, le géant partit tuer l'ogre et la fée récupéra sa baguette.

Elle put donc délivrer la princesse Laurine qui vécut heureuse toute sa vie.

Rémi.

 

 

Il était une fois un seigneur qui avait fait prisonnière une fille charmante et très jolie qui s’appelait Laurine. Elle était amoureuse du chevalier Arnaud. Le gentilhomme voulut la délivrer  mais le méchant seigneur le lui refusa.

Le lendemain, Arnaud retourna au château où Laurine était prisonnière mais il n’obtint rien de plus sauf accomplir deux épreuves. La première était de monter au sommet d’un arbre dans les jardins de Gargantua et la seconde était de créer un parfum uniquement avec des plantes rouges cueillies dans le jardin des Senteurs. Le chevalier accepta. Il alla donc dans le jardin de Gargantua avec le seigneur qui lui ordonna :

« Voici cet arbre sur lequel il faut que vous montiez jusqu’au sommet. »

Arnaud, courageusement,  monta au sommet mais il n’arriva pas à redescendre. Il rechercha donc un moyen : au bout de quelques minutes, il vit qu’un pivert avait creusé des trous pour y placer ses pieds. Ensuite il se dirigea vers le jardin des Senteurs.

Avec ses plantes, il fallait donc créer le parfum exceptionnel avec une très jolie odeur. Quelques heures plus tard, après avoir mélangé mille plantes, le gentil chevalier apporta sa création au seigneur  qui lui dit :

« Très bien ! Maintenant tu peux récupérer Laurine. »

Laurine et Arnaud rentrèrent heureux chez eux et ils n’eurent plus de problème jusqu'à la fin de leur vie.

Gabriel.

 

Il était une fois une belle princesse qui s’appelait Laurine. Elle était retenue prisonnière dans la Forêt Enchantée par l’ogre qui était le plus laid et le plus méchant des ogres ! Seule, la fée Rose pouvait la délivrer. Malheureusement le mangeur d’enfants lui avait volé sa baguette magique. Pour la récupérer, elle devait accomplir deux épreuves. Pour la première, elle alla dans le Potager de Gargantua pour y retrouver un livre gris et magique. Pour l’aider, elle appela le Phénix qui était son ami et qui l’aida à retrouver l’opuscule. Ensemble, ils cherchèrent parmi les nombreux légumes, même dans le pédiluve. Ils le retrouvèrent finalement dans la Botte enchantée.

La seconde épreuve se déroula dans la Forêt qui Court ; l’enchanteresse devait retrouver la clef du livre en échange de sa baguette. Elle chercha très longtemps, mais en vain, car la forêt était très dense. Pour se reposer, elle s’adossa à une des gigantesques jambes rouges de la Forêt qui court. Mais celle-ci bougea. Ces grands membres appartenaient en fait à de grands sages. Elle les questionna sur son épreuve. Sans attendre, ils l’aidèrent à accomplir sa tâche. Elle retrouva la clef cachée dans l’un des trous fabriqués par des nains.

Elle réussit ces deux épreuves brillamment. Rose donna à l’ogre le livre et la clef, en échange de sa baguette aux mille pouvoirs.

Grâce à cette arme puissante, elle put délivrer Laurine de la Tour Poivrière. Puis, pour se venger la femme maîtresse de la magie tua l’ogre.

Pour rentrer dans son château, la fille du roi passa par le chemin du Petit Poucet et elle vit un magnifique prince charmant dont elle fut amoureuse immédiatement.

Quelques années plus tard, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

Apolline B.

 

Il était une fois, une belle princesse, toute jeune encore, qui vivait dans un château. Un jour, elle fut retenue prisonnière par un ogre, qui la mit dans une Forêt enchantée. Seule, la Fée Rose pouvait la délivrer avec sa baguette. Malheureusement l'ogre du Royaume qui était laid et sot la lui avait volée. Pour récupérer sa baguette, il lui fallait accomplir deux épreuves : l’une dans les Bottes géantes puis l’autre dans le potager de Gargantua. Aussi l'ogre avait jeté un sort à la princesse pour qu'elle soit aussi laide et aussi sotte que lui. 

Le lendemain, l'enchanteresse commença d'abord par l'escalade des Bottes géantes. Pour ce défi, il fallait traverser une forêt dans laquelle elle serait confrontée à de nombreux obstacles. Elle dut donc lutter contre des trolls et des elfes qui voulaient l'empêcher d'aller plus loin. Elle réussit l'épreuve de la Forêt. Ensuite il lui fallait  trouver la plume d’un paon le plus rare au monde, " le paon blanc". Elle réussit à trouver cette plume. Quand elle eut terminé ces deux épreuves, elle alla jusqu'à la Forêt enchantée où se trouvait la jeune fille. 

L'ogre était mécontent car Rose avait réussi ses deux épreuves. Maintenant la fée délivra la belle princesse et récupéra sa baguette. Mais le mangeur d'enfants voulut d'abord que la jeune fille et lui se marièrent ensemble. Mais la fée voulait aussi récupérer sa baguette pour annuler le sort. Alors le géant la lui rendit. Elle put donc annuler le sort et la princesse retrouva toute sa beauté. L'ogre ne se marierait jamais avec elle. 

Laurine put retourner chez elle, dans son château. Son père fut surpris en  la voyant mais il fut très content. Plus tard elle épousa un seigneur avec qui elle eut beaucoup d'enfants.  

Angèle.

Il y avait une fois une jeune fille fort belle, qui était retenue prisonnière dans la Tour poivrière d’un château, qui appartenait à un seigneur laid et méchant. Le père de la jeune fille, très inquiet, demanda de l’aide au chevalier Arnaud afin que celui-ci la délivre. Mais la quête ne fut pas simple, car deux épreuves l’attendaient….Il devait retrouver un petit livre et le remettre au seigneur des lieux, pour obtenir la liberté de l’éblouissante princesse.

Arnaud entreprit sa mission avec espoir et amour. Il avait emporté avec lui le nécessaire. Il traversa une partie de la cour du château et il aperçut au loin un étrange caillou avec deux yeux, une bouche et des oreilles qui surveillait l’entrée d’un étrange labyrinthe. Celui-ci l’intrigua et il se dirigea droit vers lui. Son instinct lui dicta que l’épreuve qui l’attendait devait se trouver devant lui. Il évolua à travers ce dédale qui était semé d’embuches : de nombreux sentiers différents s’entrecroisaient. Mais heureusement le parfum des fleurs le guida naturellement. Soudain il aperçut au loin, un coffre rempli de bijoux, de pièces d’or et un tas de pierres précieuses, mais il n’était pas là pour s’enrichir, il passa son chemin. Plus loin il aperçut une lumière étincelante. Sans le savoir, il venait de réussir la première épreuve. Après quelques minutes de marche, il réussit enfin à atteindre cette lanterne : il était enfin arrivé au bout du labyrinthe. Tout d’un coup, surgissant de nulle part, un petit homme avec de grandes oreilles et des grands pieds lui remit une grande clef, Arnaud la déposa dans son sac.

Quelques instants plus tard, un lapin vint s’assoir près d’Arnaud. Le jeune homme ramassa toutes ses affaires et suivit l’animal dans un drôle d’endroit. Le lieu ne lui semblait pas inconnu. Ils avancèrent. Après quelques minutes, il reconnut le chemin du Petit Poucet ! Il marcha et sans s’en rendre compte, il avait accompli sa seconde épreuve : il avait traversé le sentier maléfique en se laissant guider par le mystérieux lapin. Ensuite, il aperçut une grande porte ainsi qu’une grande serrure. Cette dernière était fermée, mais pourtant il pensa que quelque chose d’étrange l’attendait. Soudain il se rappela d’une grande clef que lui avait remis le petit homme. Il essaya la clef et la porte s’ouvrit. En entrant, il aperçut des milliers de livres : celui qu’il cherchait, devait être là. D’un seul coup d’œil, il aperçut le petit livre qu’il cherchait car il dépassait du lot. Arnaud pensa à la princesse si fort que le livre se mit à parler : « Arnaud, vous êtes un jeune homme d’une grande générosité, vous êtes un homme sur  lequel une femme peut compter. Rendez-vous à la Tour poivrière du château. »     

Aussitôt  il courut aussi vite qu’il put et en un temps record, il arriva devant la porte de la Tour. Il s’aperçut que le père de la princesse l’attendait. Le chevalier remit le livre parlant au père de la princesse qui était aussi le Seigneur des lieux. Le roi lui dit : «Le livre que vous tenez dans vos mains est celui que je lisais à ma princesse quand elle était petite. Arnaud, je vous accorde la main de ma fille si elle est d’accord. »

Le prince content de sa quête épousa la princesse ; ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leur vie.

Anaëlle.

 

Il était une fois une belle princesse nommée Laurine qui  était retenue prisonnière par un Ogre, un monstre effrayant et méchant.

Un jour, la fée Rose, qui était une fée intelligente voulut délivrer la princesse, mais elle ne le pouvait pas, car l’Ogre avait volé sa baguette magique. Il lui dit que si elle la voulait, elle devrait accomplir deux épreuves. Déterminée, la fée partit chercher la première épreuve.

Tout d’abord, elle écouta le Vent qui lui désigna le lieu où se déroulerait la première épreuve : c’était dans la Forêt qui Court. La fée arriva et rentra. Les arbres couraient dans tous les sens à part un qui n’avait qu’une jambe.

« Pour accomplir la première épreuve, tu devras réparer la deuxième jambe », lui souffla le Vent.

Alors la fée courut chercher du miel. Elle s’arrêta devant des ruches. Les abeilles ne voulurent pas donner leur miel, alors Rose expliqua pourquoi elle en avait besoin. Les insectes acceptèrent de lui offrir un peu de leur nourriture. La fée prit ce qu’on lui donna et elle retrouva l’arbre cassé. Elle utilisa le miel pour coller les morceaux. Elle finit vite cette épreuve. L’arbre la remercia et il lui indiqua que la seconde épreuve se déroulerait devant la cage du Phénix.

Quand la fée arriva dans ce lieu, elle vit le Phénix la regarder. Elle sursauta quand il poussa un cri triste. Elle se demanda ce qu’une bête aussi magnifique que celle-ci faisait dans une cage. Elle lui posa cette question et il lui répondit qu’on allait bientôt le mettre à cuire dans une casserole. La fée eut l’envie de le libérer en utilisant une pierre pointue. Dès qu’il sortit, il lui demanda de monter sur son dos et il vola dans le ciel. Rose entendit un cri derrière elle ; elle se retourna et elle vit un dragon qui portait des nains enragés sur son dos. Elle savait que c’était le travail de l’Ogre. Le dragon cracha du feu et le Phénix dut changer de direction pour ne pas être brûlé. Le monstre de feu les rattrapa et essaya de mordre le Phénix. La fée eut une idée. Quand le dragon s’approcha, elle déposa du miel sur ses dents. Il les serra et ses dents furent collées car le miel s’était transforme en caramel.  Les nains, fous de rage, lancèrent des cailloux sur la fée et sa monture. Mais le Phénix s’échappa et monta de plus en plus haut.

Ils arrivèrent dans les nuages et la fée sursauta de joie. Là, sur un nuage, elle vit sa baguette magique. Elle la prit et, avec le Phénix, descendit au sol. Elle le remercia et il s’envola dans le ciel. Aussitôt elle se dirigea vers la cabane de l’Ogre. Quand elle arriva, elle prononça une formule magique : l’Ogre s’envola immédiatement dans la cage du Phénix. Plus tard le cuisinier, qui n’avait jamais vu de Phénix, mit l’Ogre dans la casserole.

La princesse Laurine sortit de sa prison et elle remercia chaleureusement sa sauveuse. Puis, elle rentra chez elle. Quelques jours plus tard fut organisé un banquet auquel la fée et le Phénix furent invités. Quand le repas fut terminé, la fée et le Phénix partirent ensemble et ils furent heureux  jusqu'à  la fin des temps.

Alexandra.

 

Il était une fois une princesse qui s’appelait Laurine ; elle était prisonnière dans la Tour poivrière d’un château. Seul, le chevalier Arnaud envoyé par le père de la jeune fille pouvait la délivrer

Mais pour réussir à la délivrer, il devait retrouver un opuscule après avoir accompli deux épreuves qui se dérouleraient dans deux lieux différents d’un jardin enchanté.

La première épreuve était de combattre avec le dragon de la Forêt enchantée. Le chevalier sortit donc son épée et il attaqua le dragon ; avec son bouclier, il se protégea des morsures de l’animal cruel et sortit vainqueur de ce combat. Mais le pire restait à venir car la seconde épreuve était de remplir le grand Arrosoir, avec l’eau du pédiluve afin de faire monter l’opuscule. Le chevalier réussit cette épreuve à la toute dernière minute grâce à sa force et à son courage.

Ce fut ainsi qu’il put retrouver l’opuscule et délivrer la princesse. Il remit le petit livre magique au seigneur qui libéra Laurine.

Elle remercia le chevalier en se mariant avec lui et ils vécurent heureux.

Quentin.

 

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14 mars 2012 3 14 /03 /mars /2012 18:12

Les élèves de sixième sont allés visiter les jardins de contes de fées du château du Rivau : ils ont écrit des contes merveilleux.

 

Laissez-vous guider dans leur imaginaire ! Bonne lecture !

 

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Le château du Rivau.

 

Et voici les premiers contes ; d'autres suivront !

 

Il était une fois une princesse nommée Laurine qui était retenue prisonnière par l'ogre, depuis deux jours dans le gros pot rouge. Seule, une fée pouvait l'en délivrer. Soudain, une fée vint à elle et lui demanda pourquoi elle était là. La princesse lui répondit ‘elle était retenue prisonnière par l'ogre et qu'elle pouvait peut-être la libérer. Elle se nommait Rose. Alors, celle-ci décida de l'aider; mais malheureusement l'ogre arriva et lui prit sa baguette. Pour pouvoir délivrer la princesse Laurine, elle devait passer deux épreuves.

La première était de réussir à escalader le grand arrosoir ; la seconde était de réussir à trouver le nom de chaque fleur du chemin des senteurs grâce à leur odeur, les yeux bandés avec un foulard. Aussitôt, elle accepta d'accomplir ces épreuves.

Elle débuta la première. L'ogre lui donna une corde et elle se prépara à escalader le pot. Elle dut accrocher la corde en haut de l'arrosoir puis l'attacher autour d'elle avec ce système ingénieux de levier, la fée réussit l'aventure.

Ensuite, Rose se prépara à accomplir la seconde. L'ogre lui fit sentir une rose dont elle trouva aussitôt l'odeur. Puis il lui demanda de sentir de nombreuses autres fleurs. Rose réussit à nouveau l'aventure ; le mangeur d'enfants lui redonna donc sa baguette et aussitôt Rose lui jeta un sort : il fut transformé en crapaud pour le reste de sa vie. 

La princesse Laurine fut délivrée par la fée Rose. Le crapaud disparut dans l'étang du château pour toujours.  A partir de ce jour, la princesse fut remplie de beaucoup de bonheur. 
Méline.

Le grand arrosoir

 

 

 Il était une fois une princesse qui s’appelait Laurine. Elle était retenue prisonnière par un ogre, dans la forêt enchantée. Lorsqu’une fée qui se nommait Rose arriva, elle lui demanda pourquoi elle était là. La jeune fille répondit qu’elle était prisonnière du mangeur d’enfants. La bienfaisante voulut la libérer avec sa baguette, mais l’ogre la lui avait volée. La fée fut ennuyée sans sa baguette, alors elle décida d’aller chez l’ogre pour lui demander de la lui rendre. Il accepta mais elle devait accomplir avant deux épreuves.

La première épreuve fut de courir plus vite que les jambes de la Forêt qui court. Elle réussit l’épreuve avec du mal. Ensuite l’ogre lui expliqua la seconde épreuve qui était de planter des roses grises magiques dans le gros pot rouge. Elle commença à planter de jolies roses féériques comme le lui avait recommandé l’ogre. Après cette activité fatigante, l’ogre lui rendit sa baguette.

Elle alla donc délivrer la jeune fille.

Plus tard, la princesse se maria avec un prince qui avait un magnifique cheval blanc et ils eurent beaucoup d’enfants. Quant à l’ogre lui aussi il rencontra une ogresse et ils eurent une jolie ogresse.

Julie. 

 

Il était une fois une princesse qui se nommait Laurine. Elle avait été capturée par l’ogre car elle voulait le tuer ou le transformer. Cependant, seule une fée qui se prénommait Rose pouvait la délivrer avec sa baguette magique. Mais au moment où elle voulut la libérer, l’ogre surgit et il lui vola sa baguette. Le vilain géant dit que si elle voulait la retrouver, elle devait répondre à une énigme et participer à une épreuve physique. Le défi consistait à entrer dans la gueule du dragon et à lui arracher une dent. La fée réfléchit et elle accepta.

La nuit vint et Rose partit avec une corde en direction de cet animal impressionnant. Elle arriva et elle attendit que le dragon s’endorme. Enfin il s’endormit ; elle entra dans sa gueule, accrocha la corde à une de ses dents et tira mais elle n’arriva pas à tirer la corde assez fort. Elle réfléchit un moment et décida d’aller dans la Forêt qui court chercher les jambes rouges. Avec leur aide, ils tirèrent et ils arrachèrent enfin la dent du dragon. Elle rapporta la dent à l’ogre qui lui dit :

« Maintenant tu dois répondre à l’énigme suivante en te rendant sur le chemin des fées : " J’ai un chapeau mais pas de tête. J’ai un pied mais pas de chaussure. Qui suis-je ? "»

La fée répondit : « Un champignon. » C’était la bonne réponse. En récompense, l’ogre redonna la baguette à la fée. Rose attendit que le mangeur d’enfants s’endorme et elle alla à côté du pot rouge où était retenue prisonnière Laurine ; d’un coup de baguette Rose la délivra.

Enfin la fée élimina l’ogre en le transformant en grenouille verte. Laurine et la fée vécurent heureuses et eurent beaucoup d’amis.

David.

 

Il était une fois, une princesse qui se nommait Laurine et qui était prisonnière de l'ogre dans un arrosoir géant. Pour la délivrer, seule, une fée le pouvait mais elle devait accomplir deux  épreuves : la première était de courir plus vite que les grandes jambes rouges. La seconde était d’escalader les bottes géantes de l'ogre. La fée fut d'accord pour accomplir ces épreuves.

Tout d’abord, elle commença la première épreuve : elle se mit à courir plus vite que les jambes rouges. Elle réussit car elle avait enfilé des chaussures magiques à ressorts. L'ogre n'était pas content mais il pensa que la fée perdrait la seconde aventure.

Ensuite, Rose commença son second défi : elle escalada les bottes géantes sans problème à l'aide de la natte de Raiponce. L'ogre était vraiment fâché car il devait lui rendre sa baguette magique. Alors la fée Rose se rendit chez l'ogre pour récupérer sa baguette : il la lui rendit. Aussitôt l'enchanteresse alla dans la Forêt enchantée jusqu’à l'arrosoir géant et elle dit : « Es-tu ici princesse Laurine ? Ne bouge pas, je vais te délivrer ! Abracadabra ! » et la princesse Laurine fut délivrée.

Ensemble elles allèrent punir l'ogre de ce qu'il avait fait à la fée et à la princesse Laurine. Elles l'enfermèrent dans la cage du phénix. Plus tard, la princesse épousa un prince charmant et ils eurent beaucoup d'enfants.

Jennifer.

 

Il était une fois une princesse prisonnière d’un ogre. Elle s’appelait Laurine. Celui-ci avait enlevé la princesse car elle voulait que tous les ogres partent de la région. Une bonne fée habitait à proximité de la maison du mangeur d’enfants. La bienfaisante se prénommait Rose. Celle-ci possédait une baguette magique qui aurait pu sauver la belle enfant, mais l‘ogre la lui avait volée car il avait craint qu’elle ne délivre Laurine. Cependant, un jour, la bonne fée voulut essayer de la lui reprendre pour sauver la princesse. Mais avant tout elle devait réussir deux épreuves.

Rose pour récupérer sa baguette magique passa d’abord par la Forêt qui court. De sa cabane, l’ogre la vit et prévint les grandes jambes rouges de ce que Rose voulait faire. Au milieu des grands arbres, la bonne fée s’arrêta cinq minutes pour se reposer. Cependant les jambes en profitèrent pour s’approcher de Rose afin de la capturer ; mais elle avait entendu les pas du géant, alors la petite fée s’envola aussi vite qu’elle put pour que les jambes ne l’attrapent pas ; maintenant la petite fée savait que l’ogre l’observait. Elle continua à avancer quand elle croisa un papillon d’or qui lui dit :

« Je sais où est ta baguette ; il faut que tu te rendes à l’arrosoir géant, pour résoudre une énigme ».

A ces mots, Rose se mit en route mais le mangeur d’enfants se rendit aussi à l’arrosoir géant. Quand elle y arriva, l’ogre l’attendait. Mais comme elle était maligne, elle passa entre les jambes du vilain géant, rentra dans l’arrosoir et ferma la porte.

Une fois dans l’arrosoir, le papillon d’or réapparut et dit à Rose :

« Tu dois résoudre cette énigme en mettant les lettres et les mots qui manquent, “le ………… des s….teurs dans le m…oir”. Rose résolut tout de suite l’énigme et trouva “Le jardin des senteurs dans le miroir”. Elle vola aussi vite qu’elle put jusqu’à l’endroit indiqué. Une fois arrivée, la fée brandit une lance marron qu’elle lança contre le miroir et elle récupéra enfin sa baguette.

Maintenant Rose partit délivrer Laurine de la maison de l’ogre, qui l’attendait à la porte. Il ne se doutait pas que Rose avait réussi à retrouver sa baguette.

La fée se trouva donc en face du mangeur d’enfants qu’elle changea aussitôt en gant noir. Après cette transformation, elle alla délivrer Laurine.

A partir de ce jour, Rose et Laurine devinrent les meilleures amies du monde.

Marie.

 

Il était une fois une princesse qui s'appelait Laurine. Elle était prisonnière d'un ogre noir. Il était tellement gourmand, qu'il avait décidé de garder la jeune fille. Seule, une fée pouvait la délivrer de ce vilain personnage.

Un jour, que la fée Rose se promenait sans sa baguette, car l'ogre la lui avait volée, elle le rencontra. Il l'obligea à réussir deux épreuves pour récupérer son bâton magique et pour délivrer la princesse.

La première consistait à courir plus vite que l'ogre dans la Forêt qui court. Elle arriva devant la première étape et décida de s'accrocher à une de ces grandes jambes rouges ; celle-ci refusa. La bonne fée dut lui donner un légume du Potager de Gargantua. Cette jambe étant repue, elle accepta de la conduire jusqu'à la ligne d'arrivée, ce qui permit à la fée de réussir la première épreuve.

La second aventure consistait à trouver la baguette magique, qui était cachée dans le gigantesque pot rouge. Seul, le dragon connaissait l'emplacement exact de son objet magique. Malheureusement l’animal fabuleux avait un problème. Il ne pouvait plus cracher de feu ! L'enchanteresse conclut un pacte qui fut le suivant : elle lui donnerait un philtre de feu si en échange, il lui donnait l'emplacement exact de sa baguette. Le philtre fonctionna à merveille ; la bonne fée s'en retourna toute joyeuse, le plan en main vers le pot rouge. Elle trouva sans mal sa baguette.

Aussitôt la fée délivra la princesse Laurine. L'ogre était triste car il était devenu amoureux de la princesse. Rose décida alors de le transformer en prince. La princesse et le prince se marièrent et vécurent heureux jusqu'à la fin de leur jour.

Laura.

 

 

Il était une fois, dans un pays pauvre, une princesse nommée Laurine. Elle était la plus sage et la plus honnête de sa région. Comme d’habitude, elle donnait de l’argent aux pauvres gens mais un jour où elle faisait sa distribution, elle fut enlevée par un ogre. Il la mit dans sa cabane, dans la Forêt Enchantée.

Tout le pays se mit à sa recherche mais seule, une fée pouvait la libérer. Alors, la fée Rose sa tante décida de se mettre à sa recherche. Elle trouva la cabane, mais elle ne pouvait la délivrer car l’ogre lui avait volé sa baguette rouge.

Si elle voulait la récupérer, il lui fallait accomplir deux épreuves. La première était de rentrer dans la cage du Phénix pour lui prendre une plume et en ressortir sans se faire capturer. La seconde était de traverser le Labyrinthe d‘Alice, sans se perdre. La fée aimait tellement la princesse qu’elle accepta de faire les épreuves.

Tout d’abord l’enchanteresse rentra dans la cage du Phénix qui aussitôt l’attaqua ; grâce à sa voix magique, elle put l’endormir ; elle prit la plume et elle ressortit sans aucune égratignure. Puis elle accéda à la seconde épreuve. Elle devait traverser le Labyrinthe d’Alice. La magicienne fit deux tours du Labyrinthe sans en trouver la sortie. Elle se désespérait quand heureusement elle rencontra un cheval qui la guida vers la sortie.

Comme elle avait réussi les défis, Rose put récupérer sa baguette et délivrer la princesse Laurine qui vécut sans malheur jusqu’à la fin de ses jours.

Jeanne.

 

DSCN1772.JPG

 

Il était une fois une princesse nommée Laurine et qui lors d'une promenade avait été capturée par un ogre, qui l'avait enfermée dans une des bottes géantes dans la Forêt Enchantée tout près de sa cabane. Seule, la fée Rose pouvait la délivrer mais l'ogre lui avait pris sa baguette magique. Elle alla donc le trouver et elle conclut un pacte avec lui.

Le mangeur d'enfants lui proposa de passer deux épreuves pour retrouver sa baguette ; mais si elle ne les réussissait pas, il la tuerait ainsi que la princesse. Le monstre lui dicta donc la première aventure.

D'abord elle devait traverser la Forêt qui court pour rencontrer le Phénix qui lui poserait ensuite une énigme mais qui la brûlerait si elle ne répondait pas juste.

La fée, qui n'avait pas d'autre choix pour sauver Laurine sa cousine, s'aventura dans la Forêt. Elle faillit être écrasée par les grandes jambes rouges un grand nombre de fois, mais elle y arriva grâce à sa grande habileté. Le Phénix posa l'énigme : Rose devait aller devant le Pot géant rouge puis en observer l'intérieur. Elle s'y rendit. Là, elle y trouva un petit papier sur lequel était inscrit un indice. Grâce à cet indice, elle réussit à résoudre l'énigme. Ensuite elle alla retrouver l'ogre. Puisqu'elle avait réussi, celui-ci lui rendit sa baguette. La fée Rose prit son instrument magique et d'un coup, elle jeta un sort au mangeur d'enfants : elle le transforma en statue de pierre, puis elle alla délivrer la princesse Laurine.

Enfin elles rentrèrent toutes les deux au château et le roi leur fit préparer un banquet et des jeux.

Clémence C.

 

 

Il était une fois une princesse qui s’appelait Laurine et qui vivait dans un château avec ses parents.  Elle se promenait souvent dans la Forêt enchantée mais un jour, alors qu’elle y déambulait, elle se fit enlever par un ogre. Ce dernier, qui n’était pas d’humeur, la fit enfermer dans un petit endroit de sa cabane.

La fée Rose, la cousine de Laurine, voulut la délivrer avec sa baguette magique mais l’ogre la lui avait volée. Il lui proposa deux épreuves pour la récupérer.

D’abord, elle dut préparer une tisane composée de trois plantes : la citronnelle, la verveine et la menthe. Elle mélangea les plantes qu’elle fit boire à un paon du jardin.

Grâce à cette tisane, le paon lui permit d’accéder au labyrinthe en lui donnant un parchemin sur lequel un plan était dessiné. Elle lut son chemin jusqu’à l’endroit  où était cachée la baguette magique : « Dans le labyrinthe, prendre à droite, à gauche, à gauche, tout droit, à droite, tout droit, à gauche, tout droit, et à droite. Bonne chance. » 

La fée suivit les instructions et elle finit par arriver tout près de la sortie où elle trouva sa baguette noire.

Ensuite, elle alla à la cabane de l’ogre ; elle transforma le mangeur d’enfants en pigeon qui s’envola tout de suite et Laurine fut délivrée.

Enfin la fée Rose et Laurine n’eurent plus de malheur et elles vécurent heureuses jusqu’au restant de leurs jours.

Théophile.

 

 

Il était une fois une princesse qui s'appelait Laurine et qui était retenue prisonnière par un ogre. Il l'avait enfermée dans le grand Pot rouge ; elle était très triste. Seule, une fée pouvait la délivrer. Soudain une fée qui se nommait Rose passa dans la gueule du dragon pour rejoindre le grand arrosoir. Mais l'ogre lui prit sa baguette. Pour la lui rendre, il lui proposa un pacte : accomplir deux épreuves.

La première épreuve était de dormir dans les Bottes géantes pendant une semaine et d'en sortir sans utiliser ses ailes. Elle réussit sans problème.

Pour la seconde aventure, il fallait qu'elle s'installe à côté d'une jambe rouge de la Forêt qui court et qu'elle réponde à une énigme : « Quel est lieu où se trouvent des jambes rouges qui courent et qui sont immenses ? » Rose répondit qu'il s'agissait de la Forêt qui court.

Rose put donc récupérer sa baquette et elle délivra Laurine. Mais l'ogre était tout triste. Alors la fée le transforma en prince charmant.

Quelques temps plus tard, Laurine et le prince se marièrent et ils eurent beaucoup d’enfants. Et Rose vécut, heureuse auprès d’eux.

Laureen.

 

Il y avait autrefois, une princesse qui s’appelait Laurine. Un ogre l’avait enlevé par amour car elle avait refusé sa demande en mariage.

Quelques temps plus tard, l’ogre se doutant que la fée Rose viendrait délivrer la princesse, il se cacha derrière un buisson. A l’instant même où il fut tout près d’elle, il lui prit sa baguette et la dissimula. L’ogre s’approcha de Rose et il lui dit que pour récupérer sa baguette, elle devait accomplir deux épreuves.

La première était que la fée devait se rendre au Jardin des Philtres d’Amour afin de trouver le paon doré. Celui-ci possédait la plume de la beauté dont le pouvoir était de lui donner une belle apparence. Rose alla donc dans le Jardin et examina les paons. Elle remarqua que l’un d’eux avait une plume dorée. Surpris, le paon n’eut pas le temps de s’enfuir que l’enchanteresse la lui prit. Elle partit aussitôt la donner à l’ogre. L’affreuse bête lui prit et dit : 

« Mais ce n’est pas tout ! Tu vas devoir me défier à la course à pied dans la Forêt qui court ! »

Rose qui avait perdu toute force mais qui était courageuse, accepta. La vie de son amie était en jeu ! Elle courut plus vite qu’un lièvre en s’accrochant sur les grandes Jambes rouges et elle finit par rattraper l’ogre. Mais ce dernier avait prit la fuite en retournant dans son repère. Aussitôt il fit glisser la plume sur tout son visage et il devint beau tel un prince. Quand Laurine le découvrit, elle en devint éperdument amoureuse. Entre temps, Rose avait récupéré sa baguette rouge et elle avait couru jusqu’à la cabane pour le rattraper. Quelle ne fut pas sa surprise en découvrant le beau jeune homme. La princesse lui confia :

« Rose, je l’aime ! Marie-nous et soyons heureux jusqu’à la fin de nos jours. »

Heureuse la fée lui sourit et elle serra Laurine dans ses bras. A leur retour au château, Laurine et le prince organisèrent le mariage avec un grand banquet.

Le prince et la princesse se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

Louise.

 

 

Il était une fois, une princesse nommée Laurine ; elle était retenue prisonnière dans une Tour poivrière, par un seigneur. Un chevalier portant une armure pouvait la délivrer s’il trouvait un opuscule. Pour le récupérer, il devait accomplir deux épreuves.

D’abord, il traversa la Forêt qui court. Là, il rencontra le seigneur des lieux qui lui dit : « Quand tu auras franchi la Forêt qui court, tu avanceras tout droit pendant dix mètres et tu trouvas un morceau de papier sur lequel sera inscrite la seconde épreuve. »

Ensuite le jeune homme arriva au Chemin des Senteurs. Là, il attrapa un papillon d’or. Il le prit et il le mit sur une feuille de la même couleur.

Enfin, il remit sa découverte dans un Pot rouge et l’opuscule en sortit, comme par enchantement. Il donna le petit livre au seigneur.

Le chevalier délivra la princesse ; ils vécurent de belles années tous les deux. Le seigneur partit dans autre château car il ne supportait pas de voir le chevalier et la princesse heureux, tous les deux.        Samantha.

 

 

Il y avait autrefois une princesse nommée Laurine enfermée depuis bien longtemps dans la Tour poivrière du château appartenant au seigneur Clotaire. Ce sorcier l’avait capturé pour mettre main basse sur un opuscule magique, égaré dans sa forêt depuis des millénaires. L‘homme était clair : il ne délivrerait Laurine qu’en échange du livre. Depuis l’enlèvement le père de la jeune fille avait envoyé une foule de chevaliers mais aucun n’avait réussi à dépasser seulement les murailles sauf un. Il s’appelait Arnaud et après deux jours de marche à cheval, il arriva devant le sorcier.

Après un long conciliabule, le chevalier accepta le marché et se mit en quête du livre.    Tout d’abord, il arriva devant une gueule de dragon qui lui dit :

« Résous cette charade ou je te dévore ! ».

La charade était : « Mon premier est le contraire d’ouvert ; mon second est le nom de notre planète et mon tout est le prénom de la personne qui m’emprisonne. »

Le chevalier s’empressa de répondre « Clotaire », et la gueule s’ouvrit. Il s’avança et voyant qu’il était dans une forêt enchantée, il replaça l’épée dans son fourreau. Tout était beau dans cette forêt : les arbres, les maisons pour les oiseaux et les nains, ces petits hommes débordant de gentillesse.

Par ailleurs, étrangement, les nains brillaient, s’illuminaient. La lumière était éclatante quand le chevalier fut projeté en arrière. Les nains n’étaient autres que des monstres qui déjà se jetaient sur lui. Arnaud coupa, trancha, découpa, pourfendit … La nuit tombait quand le chevalier sortit enfin victorieux de ce combat. Ensuite il traversa la Forêt qui court et il alla retrouver l’opuscule caché dans le pot rouge. Une fois le livre récupéré, il retourna voir le sorcier qui disparut au bout du monde dans une forteresse ensorcelée.

Enfin Arnaud gravit une à une  les marches de la tour. Il délivra Laurine et devint aussitôt amoureux d’elle, mais malheureusement elle ne l’aimait pas. Ils allèrent donc acquérir un philtre d’amour que Laurine but et ils vécurent heureux toute leur vie.

Hippolyte.

 

 

Il était une fois, une princesse qui s’appelait Laurine ; elle était enfermée dans la maison de l’horrible ogre. Seule une fée, qui s’appelait Rose pouvait la délivrer. Pour cela, elle rentra dans la gueule du dragon de la Forêt Enchantée mais l’ogre l’attaqua et en profita pour lui voler sa baguette. Pour la récupérer, la fée devait accomplir deux épreuves.

La première épreuve était de trouver une amulette et un parchemin qui se trouvaient dans le Jardin des Philtres d’Amour. Sur le parchemin, était tracé un dessin de l’arrosoir géant, où était dissimulée la baguette.

La seconde épreuve, elle dut se rendre à l’arrosoir géant, pour y récupérer sa baguette. Une fois les deux défis réussis, Rose alla libérer la princesse.

Séfora.

 

Il y avait une très belle princesse, qui s’appelait Laurine. Elle vivait dans un magnifique château avec son père. Un ogre qui était très laid possédait une petite cabane à l’entrée de la Forêt. Il avait capturé la princesse et il l’avait enfermée dans son taudis. Un jour, son père décida d’agir pour retrouver sa fille et il mit des annonces sur lesquelles était écrit :

« Libérez ma fille et vous pourrez l’épouser ».

Alors le chevalier Arthur se présenta pour délivrer la princesse. Mais pour la relâcher, l’ogre exigea d’Arthur qu’il accomplisse deux épreuves pour trouver un opuscule qu’il devait lui remettre. Le chevalier voulut réussir ces deux épreuves pour obtenir cet opuscule car il l’échangerait à l’ogre contre Laurine.

La première épreuve consistait à tuer le dragon. Alors le brave chevalier prit son épée magique et il se dépêcha d’aller à l’habitat du dragon, dans la Forêt Enchantée et il transperça le cracheur de feu d’un coup d’épée.

La seconde épreuve était de se rendre dans la Forêt qui court et de courir deux étapes. Le jeune homme devait aller plus vite que les Jambes géantes puis il devait casser le grand Pot rouge. Alors il monta sur son cheval, alla jusqu'à la Forêt qui court et il fit la course avec les Jambes géantes ; il gagna. Puis il alla jusqu’au Pot rouge et il le brisa d’un sel coup d’épée. Le chevalier retourna au château pour prendre son opuscule et il se dépêcha d’aller jusqu'à la cabane de l’ogre pour lui échanger le petit livre contre la liberté de la princesse Laurine. L’ogre prit sa prisonnière par la main et il la donna au chevalier.

Arthur et Laurine partirent retrouver son père. Il fut si content de revoir sa fille qu’il dit :

« Comme promis, vous épouserez ma fille, si elle y consent. »

Quelques jours plus tard, ils se marièrent ; ils vécurent heureux et ils eurent beaucoup d’enfants.

Mathias.  

 

Il était une fois une princesse qui s'appelait Laurine. Malheureusement le seigneur du château l'avait capturée et enfermer dans la tour Poivrière où elle vivait bien triste. Mais en enlevant la jeune, il avait fait tomber son opuscule.

Un jour, le père de la fille alla voir un chevalier qui se nommait    Arnaud, en le suppliant de sauver sa fille. Celui ci accepta et commença aussitôt sa quête.

Quand le chevalier arriva devant le belvédère, il y monta et vit la Volière du Phénix. Mais soudain le Phénix prit son envole et attaqua le chevalier qui brandit son épée pour le tuer. Malheureusement, l'animal la lui arracha des mains, grâce à ses pattes crochues. Le jeune homme riposta en attirant la redoutable bête dans la fontaine toute proche. Alors, il tira une flèche dans son aile et le Phénix s'écroula sur le sol. Au même moment un message tomba du ciel sur lequel était écrit "Tu trouvera un opuscule que tu me remettras en échange de la liberté de la princesse. IL te faudra accomplir deux épreuves: gagner une course contre les jambes de la Forêt qui court et affronter l'ogre." Le chevalier Arnaud arriva à la Forêt qui court; il vit les grandes jambes rouges qui lui proposèrent de courir contre elles s'il perdait, son aventure serait terminée. Arnaud releva le défi. Les jambes lui laissèrent deux secondes d'avance. Les jambes lancèrent le départ; le chevalier partit à toute vitesse. Mais cette avance ne suffisait pas car la paire de jambes était partie  à vive allure. Lorsqu’elles passèrent devant Arnaud, il monta sur un des pieds et attendit que les jambes atteignes presque l'arrivée; là, il se propulsa et gagna. Les jambes furent étonnées et comme prévu, le chevalier continua et partit vers la maison de l'ogre.

Alors que le chevalier arrivait chez l'ogre, ce hideux personnage dormait. Le brave garçon lui prépara un puissant poison. L'ogre se réveilla; Quand il vit Arnaud, il voulut l'attaquer. Courageusement, Arnaud prit le flacon du puissant breuvage et il le lui tendit afin que l'ogre en boive le contenu; une fois endormi, il l'acheva. Ensuite il alla dans la maison de l'ogre et il prit l'opuscule qui se trouvait sous le lit.

Aussitôt, le chevalier reprit sa route vers le château. Lorsqu'il y arriva, le seigneur avait fermé le pont-levis. Il dit à Arnaud: «Pour entrer, tu devras atteindre la cible qui se trouve sur le pont- levis grâce à une flèche". Le chevalier prit son arc bleu et il tira une flèche sur la cible mais il échoua. Alors il recommença et à ce moment précis, la flèche percuta la cible. Le pont-levis se baissa et Arnaud entra. Il échangea l'opuscule contre la liberté de la princesse.

Tous les deux ils s'en allèrent rejoindre le père de Laurine.

Plus tard, ils se marièrent et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leurs jours.

Richard.

 

Il était une fois une princesse qui s'appelait Laurine. Elle était prisonnière d'un ogre qui l’avait emmenée dans sa cabane, où elle était renfermée. Seule, la fée Rose pouvait la délivrer. Mais elle devait accomplir deux épreuves pour récupérer la baguette que l'ogre lui avait volée.

La fée devait d'abord nettoyer la cabane de l'ogre puis la lui ranger parfaitement. Pour nettoyer les lieux, elle prit le balai, la serpillère, un seau d'eau puis elle frotta les meubles, rangea les étagères, enleva la poussière et nettoya à grande eau du sol au plafond.

Ensuite Rose dut nettoyer les grandes Jambes rouges de la Forêt qui court. Pour les nettoyer, la fée prit un chiffon et elle grimpa tout en haut des grandes Jambes rouges. Puis elle se laissa glisser, le chiffon à la main. Elle recommença jusqu'à ce que les Jambes soient brillantes. L'ogre était très étonné de sa performance ; il lui rendit donc sa baguette. Tout de suite la fée donna un grand coup de baguette magique sur l'ogre qui devint tout petit.

Enfin la fée délivra la princesse. Elles rentrèrent au château de Laurine puis elles organisèrent un grand festin.

Léna

 

Il était une fois une princesse qui s’appelait Laurine. Elle était retenue prisonnière dans la Tour poivrière d’un château maléfique par le seigneur des lieux. Le père de la jeune fille appela le chevalier Arnaud pour qu’il aille délivrer sa fille. Mais il devait accomplir deux épreuves pour trouver un opuscule qu’il remettrait au seigneur, en échange de la liberté de la jeune fille. Aussitôt, Arnaud partit accomplir la première épreuve qui se passait dans le Jardin des Senteurs. Quelqu’un lui banda les yeux ; on lui fit sentir plusieurs sortes de parfums afin qu’il puisse retrouver à quelle fleur la senteur appartenait. Il dut en retrouver soixante dix ; il eut une note de soixante neuf sur soixante dix, ce qui était parfait pour lui car il avait réussi.

Ensuite, il se rendit au logis du seigneur pour accomplir la seconde épreuve. Là, il devait découvrir le prénom du seigneur ; mais ce dernier n’était pas très futé car il avait gravé son nom, son prénom et ses armoiries au-dessus de la porte d’entrée. Le chevalier n’eut donc aucun mal à énoncer ce prénom.

Arnaud avait donc réussi à trouver l’opuscule et à délivrer la princesse.

Le roi était si content qu’il donna la main de sa fille au jeune homme. Ils vécurent heureux jusqu’à la fin de leur vie.

Annie.

 

 

Il était une fois une princesse nommée Laurine qui était une des plus belles de ce temps. La fée Rose savait que la princesse avait été enlevée par l’ogre. Mais elle ne savait pas ni quoi dire ni quoi faire. Alors elle décida de jeter un sort à l'ogre pour qu'il relâche la fille du roi, mais malheureusement elle ne trouva pas sa baguette car le mangeur d'enfants la lui avait volée.

Au même moment, un mot apparut de nulle part ; il était de la part de l'ogre qui lui proposa des épreuves pour la récupérer. D'abord la fée dut aller dans le potager de Gargantua pour y chercher deux énormes citrouilles et dix gigantesque salades ; elle partit aussitôt. Rose récoltait les légumes quand le géant apparut. Il entra dans une terrible colère mais il était trop fatigué pour courir alors il la laissa s'enfuir avec ses légumes.

En arrivant près du Jardin des Senteurs, la fée lut un panneau sur lequel était marquée la seconde épreuve. Alors elle se rendit près de l’arrosoir géant car elle devait apporter de l'eau à l’ogre. Rose vit qu'il contenait beaucoup d’eau. En s'approchant elle était inquiète car elle ne savait pas nager. Courageusement, elle y plongea et elle se rendit compte qu'elle avait le don de nager. Ensuite, elle prit un seau et elle puisa de l’eau.

Une fois le travail terminé, elle donna l'eau à l'ogre qui lui rendit sa baguette. Elle put enfin délivrer Laurine.

Toutes les deux, joyeuses, elles quittèrent les lieux. Elles n’entendirent plus jamais parler de l’ogre et elles vécurent heureuses dans le château de Laurine.

Manon.

 

 

Il était une fois un Ogre qui avait fait prisonnière la princesse Laurine, dans l'arrosoir géant. Comme elle était la fille d’un roi qui l'aimait et qui prenait soin d'elle, il demanda à la fée Rose de la délivrer. Mais celle-ci s'était fait voler sa baguette lors de sa promenade de l'après-midi.
Un autre jour, la fée Rose tenta de récupérer sa baguette pour délivrer la princesse mais l'Ogre ne voulut lui rendre que si elle affrontait deux épreuves. Ces épreuves consistaient à trouver une courge, un artichaut et un chou-fleur dans le Potager de Gargantua, pour faire la soupe de l'Ogre ; ensuite elle devait cueillir les Roses Galliques dans le Jardin des Philtres d’Amour. Ces roses sont le symbole de la pureté et de la beauté.
Tout d'abord la fée se mit en route vers le Potager quand une vilaine sorcière l'arrêta. Elle voulut préparer une soupe et il lui fallait les mêmes ingrédients que ceux de la fée. La sorcière se mit en colère et lança un sort à la fée ; celui-ci était très important: Rose ne pourrait plus garder aucun secret.
Plus tard, Rose arriva dans le Jardin secret qui est juste à côté de celui du Philtre d'Amour. La bienfaisante prit une rose gallique et le jardin commença à chanter ; mais soudain un nuage d'abeilles arriva sur la fée ; elle fut piquée par l'une d'entre elles. Le Jardin lui confia un secret pour la piqûre d'abeille. La fée finit de cueillir toutes les roses puis elle alla chercher la plante secrète dont lui avait parlé le Jardin. Mais malheureusement elle avait déjà oublié le secret à cause du vilain sort de la sorcière.
Enfin elle arriva devant la maison de l'Ogre où se trouvait aussi le père de la princesse ; la fée lui donna les ingrédients. Ils repartirent heureux.
Plus tard Rose mourut à cause de sa piqûre. Le roi et sa fille organisèrent un grand banquet en l'honneur de la gentille fée qui avait sacrifié sa vie pour Laurine.
Lucille.

 

 

Il était une fois une princesse nommée Laurine. Elle était enfermée dans une Tour poivrière qui appartenait au seigneur d’un château. Le père de la jeune fille avait envoyé un chevalier du nom d’Arnaud pour sauver sa fille. Ce chevalier apprit qu’il lui fallait passer deux épreuves.

La première consistait à prendre une plume au Phénix qui se trouvait dans une cage au fond de la Forêt qui court. Le Phénix lui donnerait sa plume s’il pouvait résoudre une énigme. Il se rendit donc au fond de la Forêt qui court. Là, dans une cage se tenait le Phénix au plumage orangé. L’oiseau lui proposa cette énigme : «  Mon premier porte la tête. Mon second fait mal aux dents. Mon tout est une qualité de chevalier. » Arnaud trouva le mot « courage ». Alors le Phénix lui donna une de ses magnifiques plumes.

Pour la seconde épreuve, le chevalier devait construire en une journée une grande maison pour les nains de la Forêt Enchantée. En échange, il recevrait une petite clef finement sculptée qui ouvrirait un coffre. Il commença immédiatement le chantier. Il coupa, scia du bois, pour les murs et la charpente. Il couvrit le toit avec de la paille très serrée. A la fin de la journée, les nains, ravis, lui donnèrent la petite clef. Elle ouvrait le coffre où était  rangé l’opuscule. Les nains lui dirent que la boite se trouvait dans l’énorme Pot de fleur rouge à l’entrée du Jardin des Senteurs.

Arnaud chevaucha sur son cheval  jusqu’au Pot de fleur. A l’intérieur se trouvait le coffre. Il le prit, l’ouvrit avec la clef et posa sur le livre la plume du Phénix. L’ouvrage s’ouvrit. Il alla à la Tour poivrière et remit l’opuscule au seigneur qui relâcha immédiatement la princesse Laurine.

La princesse Laurine devint aussitôt amoureuse d’Arnaud. Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants.

Pierre-Louis.

 


 

 

 

 

 

 


 


 

  


 

 

 


 

 

 


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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 13:15

La Crise de la Toile blanche

 

Elle est là, je lui fais face,

Il n’y a rien au monde que je ne craigne

Elle résonne en moi, sinistre préface

De la désolation qui sur moi règne

 

Son poison s’insuffle dans mes veines,

Il dégage de moi une aura de douce folie…

Qui me détruit, cette dévastatrice haine,

Ou cette crise ? Cette infâme ignominie ?

 

O Mère, vides et ternes me semblent les astres,

C’est la panique de la décadence !

Je ne puis continuer seule face à ce désastre

Est-ce que je mérite si peu de condescendance ?

 

S’il est écrit dans les étoiles de tes yeux

Que je dois souffrir, je le ferai pour toi,

Mais viens plutôt m’emmener dans les Cieux,

Viens plutôt me prendre dans tes bras.

 

Claire G.

 

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28 février 2012 2 28 /02 /février /2012 14:13

Dans le cadre de la séquence "La poésie lyrique", les élèves des 3ème Balzac et 3ème Sorel ont écrit un poème intitulé "Lyrisme". Chaque élève devait écrire un distique (strophe de deux vers) en exprimant dans le vers 1, une sensation et dans le vers 2, un sentiment.

Voici leur création :

 

 


  "Lyrisme" par les élèves de 3ème Balzac.

 

Le souffle furieux du vent

La peur que je ressens.

 

La neige fraîche d'un hiver glacé

Le désespoir qui me paralyse.

 

La douce chaleur de l'été,

L'enthousiasme qui se glisse en moi.

 

Le souffle frais du matin,

Le désespoir que j'évacue soudain.

 

La douceur voluptueuse du velours est

La joie qu'exprime mon cœur.

 

La douceur de cette fleur,

Le bonheur qui envahit mon cœur.

 

La douceur estivale de la nuit

Le ravissement qui m'éblouit.

 

Le parfum délicat de cette fleur

La joie qui amplifie mon cœur.

 

L’odeur subtile d’une fleur

La joie qui envahit mon cœur.

 

Le doux parfum de cette fleur

La joie qui envahit mon cœur.

 

Les douces saveurs de la forêt

Le bien-être qui m'envahit.

 

Le regard furieux de mon ami

La crainte qui me paralyse.

 

La frêle lueur de feu

Un espoir qui me submerge.

 

Un simple regard d'inconnu

Un bel amour qui naît.

 

Le son mélodique de la poésie,

L’épanouissement qui me conquit.

 

Le puissant tonnerre dans le ciel,

La colère en moi qui s’éveille.

 

La voix horrible de cet homme,

La douleur qui m’envahit.

 

La confidence entendue de mon amie

La douleur qui me conquit.

 

Le cri glacé du vent

La douleur qui m'étreint.

 

 

Pierre, Noémie, Cécilia, Isold, Hélène, Aurélien, Louis, Lucas, Melvyn, Fabian, Marion, Chloé I., Marin, Camille, Chloé C., Charles, Baptiste C., Claire, Gaël.

 

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"Lyrisme" par les élèves de 3ème Sorel.

 

Le battement enflammé de mon cœur
Le bonheur comme une tendre douceur.

 

Le bruit assourdissant des canons,  

La tristesse qui fait vibrer mon cœur.

 

Le son aigu de la cloche                                        

La joie qui envahit la tête des élèves.

 

Les bruits frissonnants de cet endroit

Le bonheur qui me rappelle les bons moments.

 

La musique douce d'une romance

Une peur qui ne s'estompe pas.

 

Le va-et-vient incessant de la mer

Ma tristesse qui s'estompe.

 

Le parfum sucré de cette cerise
Cette euphorie que je retrouve après tant de détresse.

Le parfum magnifique de cette fleur
Le bonheur qui envahit mon cœur.

 

Le parfum inébranlable de l’acidité

La haine qui revient inaltérable me déranger.

 

Cette douce odeur d'orchidée

Une gaieté qui envahit mes pensées.

 

L’odeur agréable de ton parfum.

Le bonheur qui fait frissonner mon esprit.

 

Le sourire incroyable de l'enfant,

Le bonheur qui touche vraiment.

 

La vision perfide du néant,

Ma plénitude qui se perd lentement.

 

Le regard incessant de la peur

Cette douleur qui repart.

 

Les sourires radieux d'un ami

Le bonheur qui me comblera de joie.

 

La douce caresse d'une fleur,

La joie qui m'atteint en profondeur.

 

La douce caresse des alizés

L’allégresse qui me fait frissonner.

 

La coque douce d'une amande

La douceur qui est dans ma bouche.

 

Lise, Prescillia, Marjorie, Mélanie, Pauline, Baptiste M., Marion, Johanna, Clotilde, Fanny, Baptiste  R., Joséphine, Gabrielle, Antoine, Suzanne, Maximin, Alexandre, Louis B.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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31 janvier 2012 2 31 /01 /janvier /2012 13:23

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Cette année, le club lecteurs "Des livres à croquer" participe au

34ème Printemps des poètes, du 13 au 17 mars.

Le thème national retenu est "Enfances".

Vous pouvez participer à cette manifestation en apportant vos créations poétiques ou des poèmes que vous avez lus et que vous voulez partager !

Remettez-les à votre professeur de français, avant le 14 février.

Ils peuvent être manuscrits ou tapuscrits, en noir et blanc ou en couleurs. Ils peuvent être illustrés.

Ils seront exposés au collège durant la semaine prévue !

Alors à vos plumes !

 

> A lire pour le plaisir !

 

Les chercheuses de poux

Quand le front de l'enfant, plein de rouges tourmentes,
Implore l'essaim blanc des rêves indistincts,
Il vient près de son lit deux grandes soeurs charmantes
Avec de frêles doigts aux ongles argentins.

Elles assoient l'enfant auprès d'une croisée
Grande ouverte où l'air bleu baigne un fouillis de fleurs,
Et dans ses lourds cheveux où tombe la rosée
Promènent leurs doigts fins, terribles et charmeurs.

Il écoute chanter leurs haleines craintives
Qui fleurent de longs miels végétaux et rosés
Et qu'interrompt parfois un sifflement, salives
Reprises sur la lèvre ou désirs de baisers.

Il entend leurs cils noirs battant sous les silences
Parfumés ; et leurs doigts électriques et doux
Font crépiter parmi ses grises indolences
Sous leurs ongles royaux la mort des petits poux.

Voilà que monte en lui le vin de la Paresse,
Soupirs d'harmonica qui pourrait délirer ;
L'enfant se sent, selon la lenteur des caresses,
Sourdre et mourir sans cesse un désir de pleurer.


Arthur Rimbaud (1854-1891)

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16 janvier 2012 1 16 /01 /janvier /2012 12:35

 

Le premier jour au club lecteurs "Des livres à croquer", nous avons fait un jeu de phrases. A l'aide de nos quatre phrases, nous avons imaginé une histoire ; nous avons échangé nos idées à l'oral puis nous avons écrit ce conte !

 

Bonne lecture...

 

  Il était une fois, dans une classe un peu spéciale et extraordinaire, une maîtresse un peu sévère qui s'énervait beaucoup après ses élèves car ils avaient des comportements un peu étranges : soit ils dormaient sur leur bureau, soit ils riaient sans arrêt, soit ils chantaient, soit ils dansaient... mais ils n'écoutaient jamais les cours.

 

  Soudain, un matin, une grosse grenouille ouvrit la porte de la classe en sautant sur la poignée et elle rentra. Elle poussa un cri : "Bouac ! Bouac ". Son croassement réveilla les élèves endormis, qui avaient trop ri, trop chanté et trop dansé ... Ils crièrent, hurlèrent et coururent dans tous les sens. La grenouille qui eut mal aux oreilles, se cacha donc dans le tiroir du bureau de la maîtresse. La vie dans la classe ne serait plus jamais pareille !


   A chaque fois que l'institutrice ouvrait le compartiment coulissant, la grenouille poussait son "Bouac ! Bouac !" ce qui effrayait la jeune femme. A chaque fois, elle sursautait mais ce jour-là, énervée,  elle dit aux enfants :

"Disparaissez ou je vous transforme en animal."

Ils sortirent tous en se bousculant.


   Plus tard, la grenouille qui était désemparée par le comportement des élèves de cette classe et qui ne voulait plus être le seul animal, alla voir son grand-père le crapaud. Ce dernier était sorcier et il lui prépara une potion de transformation. Le *batracien avait décidé de métamorphoser quelques élèves...

 

   Le grand-père prépara donc la potion dont voici les ingrédients : un crachat de grenouille, des cheveux de trois élèves, une verrue de sorcière, des épines de roses, une plume de corbeau, une aile de chauve-souris, du lait, du poisson *avarié, une goutte de poison et de la bave de limace.


   Une semaine plus tard, un élève fêtait son anniversaire ; la grenouille trouva donc ce moment idéal pour verser la potion orangée dans les verres. Mais comme elle n'en avait que pour trois personnes, elle mit du jus d'orange dans les autres gobelets.


   Cet après-midi-là, un élève insupportable se jeta sur le goûter et engloutit la potion. Au même moment une autre élève insupportable se jeta sur le gôuter et engloutit la potion. La maîtresse qui avait tellement soif, prit et but le jus d'orange magique. Aussitôt, chacun se transforma : le premier en éléphant, la deuxième en tigresse et la troisième en jument féerique. Quand les autres enfants découvrirent ces animaux, ils s'enfuirent de la classe. Les drôles d'animaux métamorphosés ne comprirent pas ce qui se passait. La grenouille leur expliqua ce qu'elle avait fait. Chaque animal bouda alors dans son coin.

 


   L'éléphant essaya d'écrire mais il ne put pas s'empêcher de manger les feuilles de papier de son cahier, ce qui eut pour effet de le transformer aussitôt en petite souris blanche.

   La tigresse ne pensa qu'à rugir, tout au long de la journée ; elle ne put donc plus apprendre ses leçons.

   Quant à la jument féerique, elle était tellement en colère qu'elle aurait voulu écraser la grenouille pour ne plus la voir. Comme elle était en colère contre cette vilaine grenouille, elle décida de s'en débarrasser. Elle devait donc fabriquer un piège rempli de mouches pour la capturer. Celle-ci se rendit dans un élevage de mouches (car elle savait que c'était le repas préféré des batraciens !) mais elle ne rencontra personne. Alors la jument magique aspira des bêtes volantes et alla se cacher ; elle les recracha, les attrapa avec ses rênes et les mit dans une sacoche accrochée à la selle. Puis elle retourna à l'école.

   Grâce au piège fabriqué et rempli de mouches, elle attrapa la grenouille qui hurlait " Bouac ! Bouac ! " et elle l'enferma dans un bocal !

 

  *L'équidé proposa un marché au batracien :

  " Donne-moi une recette pour nous transformer à nouveau en humains, en échange, nous t'adopterons dans notre classe.

  - Je suis d'accord, mais j'aimerais être un humain aussi ! Je dois aller trouver mon grand-père, le crapaud pour fabriquer une nouvelle potion, pour inverser les  rôles. "

  Elle alla donc trouver le sorcier. Celui-ci était mécontent mais il créa une potion dont voilà les ingrédients :

"Une pincée de farine, un centimètre carré de peau d'ours, du blanc d'oeuf, du lait, du jus de poubelle, des yeux de chauve-souris, de l'encre rouge, deux feuilles de classeur et du coca."


   Il les mit à bouillir dans une marmite puis il versa le jus récupéré dans un flacon qu'il remit à sa petite-fille, la grenouille. Elle le prit et elle retourna à l'école. Elle versa la potion dans un seau et dans une écuelle. Les animaux arrivèrent et burent le jus magique.


  Aussitôt ils se transformèrent en humains. Ils rentrèrent en classe et à partir de ce jour, ils devinrent les meilleurs élèves sages et attentionnés de l'école.

 

Alexandra, Séfora, Soizic et Laureen.


 

* batracien : grenouille, crapaud.

* avarié : périmé.

* équidé : les chevaux, les juments et les poneys appartiennent à la famille des équidés.


 

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2 janvier 2012 1 02 /01 /janvier /2012 19:04

 

 

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Bonne année à tous : réussite scolaire, santé et plein de petits bonheurs pour ensoleiller le quotidien !

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 19:07

 

Des articles de dictionnaire ont été écrits par les élèves de sixième ; à partir de la chanson de Boris Vian, "La Complainte du Progrès", ils ont relevé les machines inventées. De nouvelles machines ont été imaginées : lisez les définitions !

 

 

 

A

ANIMAL-CAR n.m. (XIIème lat. animal « souffle vie », 1873, « voiture sur rail » angl. car ; var. de char). 1. Moyen de transport en commun pour les êtres vivants doués de mouvements et de sensibilité domestiques ou sauvages. « Un chat est transporté vers une autre destination dans mon animal-car. » (Jeanne). 2. Véhicule terrestre à quatre pattes et à friction utilisé pour le transport de peluches représentant des animaux, jouet d’enfant.

 

AVION à CAPUCHE n. m. (1875, nom de l'appareil inventé par Ader, lat. avis «oiseau» et 1618 ; var. de capûce «coiffure de femme».) 1. Appareil capable de transporter pas plus de dix personnes portant des manteaux avec des capuches. «Mon avion à capuche» (Thibault). 2. Appareil volant capable de tenir chaud grâce à sa capuche imperméable chauffante.


AVION à VINGT ROUES  n.m. (1875, nom de l’appareil inventé par Ader ; lat. avis « oiseau » et lat. pop. vintinis ; a.fr rode ; lat. rosta). 1. Appareil qui roule à partir de certains kilomètres heures grâce à ses vingt roues et qui se déplace dans l’atmosphère à l’aide de moteurs à hélice ou à réaction « Mon avion à vingt roues ». (Lucille). 2. Appareil de locomotion à friction utilisé sur terre, sur mer ou dans les airs pour transporter vingt personnes au maximum.

B

BUREAU à TARTE n. m. (1495;  « bure » XIIIé « tapis de table » et p-ê. var. de tourte par infl. du lat. médièv. tartarum). 1. Meuble sur lequel on écrit ou on travaille et sur lequel on peut déguster une tarte aux châtaignes. «Mon bureau à tarte » (Léna). 2. Par ext. Meuble qui donne des gifles à chaque fois que je lui donne un coup.


C

CENTRE-ORANGE n.m (XIII ; lat. centrum gr. Kentron et 1511, pomme d’orenge, v.1300 ; anc. it. melarancia de l’arabe narandj). 1. Objet qui repère toutes les personnes du centre de la France qui aime la couleur orange « Le centre-orange a dénombré que 17000 personnes dans le Limousin aiment la couleur orange » (David). 2. Machine pour jouer à plusieurs concurrents afin de centrer des oranges. Ce jeu s’appelle le football centre-orange.

 

CHAISE à CALCUL n. f. (1380, var. chair lat. cathedra, « siège à dossier » et du bas lat. calculare, compter et au fig. « apprécier » du lat. calcules, caillou, jeton pour compter d'où compte). 1. Petit abri muni d'un siège dans lequel on calcule une opération numérique. « Ma chaise à calcul » (Yann). 2. Siège à dossier et sans bras pour effectuer une appréciation, une estimation pour arriver à un but.


CHAISE à PAIN n. f. (1380 ; var. chare ; lat. cathedra « siège à dossier » et 1050 ; pan, 980, lat. panis). 1. Siège à dossier avec un gros bac ou l’on pose les aliments obtenus par cuisson au four d’une pâte préalablement pétrie et fermentée. « J’ai mis le pain dans la chaise à pain ». (Annie). 2. Meuble à assise, fabriqué en pate à pains différents : pain de mie, pain aux céréales, pain complet… .


CHAISE à REBONDS n. f. (1380 ; var chaise ; lat. cathedra « siège à dossier » et de bondir « retentir » et « sauter » du lat. pop. bonbitare, bombire, résonner bonbus, bombe). 1. Siège à dossier sans accoudoir pour poser les bras et dont les quatre pieds sautent. «  Je joue avec la chaise à rebonds » (Mathias). 2. Chaise sur laquelle se trouve à la place de l’assise, une toile tendue qui permet de s’élancer brusquement de sursauter ou de tressaillir ; jouet pour enfants.


CHAISE à VIOLON n. f. (1380, var. chaire ; lat. cathedra « siège a dossier »  et it. Violone « grosse viole contrebasse »). 1. Siège à dossier et sans bras pour une personne qui  joue d’un instrument de musique à quatre cordes que l’on frotte avec un archet. « Je suis assise sur la chaise à violon. » (Méline). 2. Petit abri muni d’un siège et d’un dossier en forme de violon avec un archet qui une fois actionné, entame une mélodie douce et harmonieuse.

H

HORLOGE-à-CHAUSSURES n.f. (Oriloge, fin XIIè, du lat. d’o. gr. horologium et chauceüre, fin XIIIè ; lat. calceus, « soulier »). 1. Grand appareil qui sonne dès que l’on doit changer de soulier. « Mon horloge-à-chaussures. » (Clémence). 2. Horloge souvent muni d’une sonnerie et d’un mécanisme à ressort, qui indique l’heure d’ouverture  programmée d’un placard à vêtements qui protège les pieds.


L

LAVE-ORTEILS n.m. (980 ; lat. lavare lat. articulus et dimin. de artus, «articulation»). 1. Machine avec des brosses en poils de chameau permettant de laver la peau et les ongles de chacune des extrémités du pied. « Mon lave-orteils » (Théophile). 2. Savon ou crème moussante permettant de masser les orteils pour la détente et pour lutter contre le surmenage.


LIT-POSTERn.m. (fin du XIème siècle lat. lectus et en 1967, mot angl. «affiche».). 1. Literie en papier recyclé d'affiches décoratives sur lesquelles on peut s'étendre, dormir, rêver «Mon lit-poster.» (Laureen). 2. Matière, couche de papier d'affiches déposées par les eaux ou par l'érosion sur lesquelles on peut s'endormir ou se détendre.

 

M

MACHINE-A-FLEURS  n. f. (du lat. machina, du gr. dorien makhana et du lat. flos, floris). 1. Engin destiné à la transformation d’une saison froide en une saison au climat tempéré. « Grâce à ma machine-à-fleurs, j’ai pu transformer l’hiver en printemps. » (Louise). 2. Multiples pétales attachés ensemble, répandant un parfum donnant la bonne humeur.

O

ORDINATEUR  à  CHAUSSETTES n. m. (lat. ordinator; trix « mettre en ordre » et chalcete , fin XIIème ; chausse). 1. Machine électronique qui permet de scanner et de trier les vêtements de maille qui couvrent les pieds.  « Mon ordinateur à chaussettes. » (Jennifer). 2. Traitement de l’information qui exécute le tri des chaussettes.

P

PENDULE à MANGER n.m. (lat. pendulus, pendere, pendre et 1080 lat. manducare "mâcher"). 1. Petit mécanisme oscillant suspendu à un point fixe dont on peut utiliser les aiguilles pour manger. "Henri a mangé ses nouilles avec le pendule à manger." (Julie). 2. Pendule à deux aiguilles qui permet d'indiquer l'heure des repas.

 

PISTOLET à BROCOLIS  n.m. (1546  de  pistole  "petite  arquebuse",  all.  pistole,  tchèque  pischal,  « arme a feu » et 1560, it. brocoli "pousses  de  choux "). 1. Arme permettant de projeter  des petits choux fleurs verts pour faire manger les enfants.  « Il tire avec son pistolet à brocolis » (Mathieu). 2. Pulvérisateur pour militaire dont les munitions sont des choux verts. Jouet pour enfant.

R

RAQUETTE à MUSCLES (XVème, jeu de paume ; rachete "paume de main", 1314 lat. rasceta, de l’arabe râhat, râhet, "paume de la main" et 1314, lat. musculus, "petit rat"). 1. Instrument ovale qui stimule le tissu d'un organisme animal caractérisé par sa capacité de se contracter en réponse à une stimulation du système nerveux pour permettre de taper plus fort la balle. "La raquette à muscles est célèbre". (Richard). 2. Objet tendu de fils qui donnent du muscle et de la vitesse pour glisser sur la neige (seulement pour les professionnels).


ROULE-CHAUSSETTES n. m. (1409 ; roueller 1180 ; de rouelle « roue » et confondu  avec  dér. du lat. rotulare, du lat. rotella et chalcete, fin XIIè ; de chausse). 1.  Appareil permettant de rouler rapidement le vêtement de maille qui couvre le pied. « Mon roule-chaussettes » (Pierre-Louis). 2. Acrobatie consistant à effectuer  une roulade en avant et en  arrière, en serrant les jambes.

S

SECHE-CHEMINEE n.m. (1330 ; séchier, 1170 ; lat. siccare de siccus  « sec » et 1138 ; bas lat. caminata de caminus « âtre », gr. kaminos). 1. Appareil qui permet l’évaporation de gouttes d’eau qui tombent dans le conduit. « Papa utilise le sèche cheminée. »  (Laura). 2. Construction comprenant un conduit crachant de l’air chaud, pour gonfler les montgolfières, qui s’envoleraient directement des toits.

SIEGE à MIXEUR n. m. (1080, « lieu où l'on s'établit » et « place où l'on s'assied », du lat. pop. * sedicum du verbe sedicare, être assis et mot angl. « mélangeur »). 1. Objet fabriqué pour mélanger les aliments dans la position assise. « Mon siège à mixeur ». (Manon). 2. Outil de travail utilisé par les personnes qui passent de la musique de variétés à la radio, dans une discothèque ou qui composent de la musique sans se fatiguer.

T

TABLEAU-TRANSPORTEUR n. m. (tabliau « panneau de bois, de métal... portant des inscriptions, des images », 1285 ; de table et de transporter, lat. transportare, de portare, « porter »). 1. Panneau mural de peinture que l’on peut transporter où  l’on veut. « Mon tableau-transporteur » (Marie). 2. Par ext. Tableau qui nous transporte à n’importe quel endroit auquel on pense.


TELEVISION-PHOTOCOPIEUSE n. f. (1900 ; 1909, en angl. ; de télé et vision, du lat. videre, voir et fin XIXème « épreuve positive » ; 1966, copieur ; de photocopier) 1.Machine qui photocopie les diffusions d’informations et de spectacles qui passent à la télévision. « J’ai photocopié le téléthon avec ma télévision photocopieuse. » (Hippolyte).  2. Machine à photocopier réceptrice de télévision en couleurs qui reproduit uniquement les images en double.


TRESSE à LUMIERE n. f. (lat. pop. °trichia ; gr. tardif trikhia « filasse pour cordage » et lat. luminaria « flambeau »). 1. Assemblage de trois mèches avec des ondes électromagnétiques de couleurs différentes. « Véronique se coiffe avec des tresses à lumières ». (Samantha). 2. Entrelacement de fils de cheveux, de faisceaux lumineux destinés à la décoration.


TROUSSE à VIN n. f. (valise, poche de selle, et lat. vinum). 1. Etui compartimenté ou sacoche contenant une série d’instruments ou d’objets d’utilisation fréquente, pour transporter une boisson alcoolique obtenue par fermentation du jus de raisin. « J’emporte des bouteilles avec ma trousse à vin.» (Séfora). 2. Etui dans lequel on range vingt stylos dans lesquels est stocké du jus de raisin pour le goûter.

 

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19 décembre 2011 1 19 /12 /décembre /2011 18:42

Des articles de dictionnaire ont été écrits par les élèves de sixièmes ; à partir de la chanson de Boris Vian, ils ont imaginé des objets étranges, des machines un peu bizarres, des choses cocasses... à découvrir et à lire !

 

 

A

ARBRE à LAPIN n. m. (lat. arbor, oris et de lapereau préroman lapparo). 1.Tige ou tronc fixé au sol, chargé de branches sur lesquelles on élève des petits rongeurs, comme des lièvres, pour les cuisiner en civet ou à la moutarde. « Mon arbre à lapin. » (Jean). 2. Plante ligneuse, qui se trouve dans les régions montagneuses européennes et sous lequel  on donne rendez-vous mais sans que personne ne vienne.


ARBRE à CHEVREn.m. (1080 lat. arbor -oris et lat. capra).1. Végétal ligneux dont le tronc est fixé au sol par ses racines sur lequel on fait pousser des ruminants à cornes au printemps. « Mon arbre-à-chèvre » (Gabriel). 2. Arbre à fromages, produisant des petits cylindres blancs et verts au printemps.

 

ARMOIRE à GOMME n. f. (lat. armarium de arma «ustensile » et bas lat. gumma class. Gummi. gr. Kommi,d'o. Orient.).1. Grand meuble en caoutchouc fermé de portes en bois ou en métal servant à ranger les gommes domestiques, les gommes d'écolier... « Mon armoire à gomme » (Baptiste). 2. Meuble en cartons de n'importe quelle couleur qui fabrique des confiseries, des friandises plus ou moins dures, sucrées et aromatisées.


ASCENCEUR à BONHEUR n.m. (1867. rad. d'ascension lat. ascensum et début XIIè ; de bonet heur). 1. Appareil servant au transport vertical des personnes heureuses ; cabine où se tiennent par la main des passagers satisfaits. « Je suis allé dans un ascenseur-à-bonheur pour chercher le bien-être. » (Angèle). 2. Fenêtre permettant de faire défiler des affiches joyeuses.

 

ATTACHE-GARNEMENT n. f. (anc. fr. estachier "fixer" et de « ce qui garnit, ce qui  protège » puis "protecteur de femmes " et enfin "vaurien, voyou"). 1. Lanière en cuir ou en corde qui sert à retenir des enfants turbulents pour plus de tranquillité. « J'ai besoin d'une attache-garnement.» (Marion). 2. Lien affectif qui lie une personne à jeune enfant turbulent, à un galopin.

B

BOITE à LINGE n. f.  (Boiste, XIème ; lat. pop. °buxida ; class. pyxis et « de lin  » XIIème lat. lineus). 1. Boite aux lettres où l’on dépose le linge qui est enregistré dès son dépôt. «Je vais à ma boite-à-linge pour y chercher mon linge. » (Agathe). 2.  Récipient de matière rigide muni d’un couvercle servant à transporter un ensemble de pièces de tissu servant aux besoins domestiques.

C

CALENDRIER-PERROQUET   n .m. (bas lat.  calendarium  « livre d’échéances » et 1537 ; paroquet 1395; p-ê dimin. du lat. Petrus). 1. Oiseau au plumage coloré programmé pour répéter une date à une heure précise. « Anna écoute la date donnée par son calendrier-perroquet » (Annaëlle). 2. Tableau au plumage coloré en forme d’oiseau sur lequel sont inscrites des dates et qui est capable de prendre une voix humaine répétant plusieurs fois, la date du jour.


CANON à CHOCOLAT n. m. (1339 ; it. Canonne augmentatif de canna «tube» et 1666 ; chocolate 1598 ; de l’aztèque par les espagnols). 1. Pièce d’artillerie servant à lancer du chocolat sur les ennemis. « Le canon à chocolat vient de faire une victime. » (Quentin). 2. Pièce pour les pâtissiers afin de ramollir les graines de cacao pour confectionner du chocolat et des friandises.


CANON à MAISON n.m. (1339 it. cannonede canna « tube » et lat. Mancion, mansionem de manière « rester » a remplacé en gallo-rom. Casa). 1. Engin qui sert à projeter des maisons toutes faites. « Le maçon a fait avec un canon à maison une belle demeure. » (Rémy). 2. Ornement qu'on attachait au-dessus du foyer de la cheminée pour apeurer les invités ou pour allumer le feu.

 

CARABINE à BONBON n. f ; (« arme  du carabin » ; « cavalier » et 1604 ;  redoublement expressif de bon). 1. Fusil léger qui distribue rapidement des bonbons aux enfants très très gourmand.  «J’achète une carabine à bonbons ». (Anthony). 2. Fusil coloré léger utilisé comme lanceur avec un canon à bonbons, utilisé lors des fêtes, des anniversaires ou des carnavals…

 

CHAUSSE-MAINS n.m. (Chauceüre, fin XIIIe lat. calceus, « soulier » et 980 lat. manus). 1. Gants en cuir qui permet de marcher sur les mains, sans se salir et sans se blesser. « J'ai oublié mon chausse-mains. » (Soline). 2. Lame douce et courbée employée pour faciliter l'entrée de la main dans la chaussure.


I

INTERRUPTEUR à BONHEUR n.m (1572 ; bas lat. interruptor et début XIIè ; de bon et heur) 1.appareil qui sert à interrompre ou à rétablir un état de satisfaction « Pour chasser ma tristesse, j'ai actionné mon interrupteur-à-bonheur. » (Inès G.). 2. Appareil utilisable trois fois par an, qui en l'actionnant porte chance durant trois jours.

 

L

LIVRE-CRAYON n.m (1080 ; lat. liber « feuille de liber »  sur laquelle on écrivait et Croion « sol crayeux », 1399, de craie). 1. Crayon programmé pour l’écriture automatique d’un roman précis. « Ce livre-crayon ». (Apolline. D). 2. Assemblage broché d’un grand nombre de pages blanches invitant à l’écriture grâce à un crayon fixé à l’intérieur de l’ouvrage.

M

MACHINE à CALIN n. f. (1361, « assemblage de l’univers » du lat. machina ; du grec dorien makkana et 1598 « paresseux, mendiant simulé » empr. au  prov. Calina, chaleur, sans doute déverbal de caliner). 1. Ensemble complexe destiné à raconter des histoires et à endormir les enfants avec des caresses et des baisers. « Ma machine à câlin » (Sarah G.). 2. Objet de couleur rose et bleu, fabriqué qui sert à consoler quand on est triste et qui transforme la peine, la tristesse en joie, en rire et en douceur.


MAISON à GLACE n. f. (lat. mansion, mansionem de manere « rester » ; a remplacé en gallo-rom.cassa et lat. pop. glacia, class. glacies). 1. Edifice conçu à partir d'eau congelée afin d'y conserver différents aliments. « J'ai installé  une maison à glace dans mon jardin». (Clémence) 2. Pavillon construit tout en miroirs dans lesquels chacun peut se regarder de manière déformée. Lieu pour amuser les  enfants.

P

PENDULE à BULLE n. f. (lat. pendulus de pendere « pendre » et XVIème ; lat bulla). 1. Appareil horaire qui crache de petites sphères remplies de gaz parfumés. « Ma pendule à bulles produit une douce mélodie et parfume chaque heure mon salon (Apolline B.). 2. Appareil qui annonce l’heure par des bulles de bandes - dessinées.


PENDULE à CHAUSSURES n.m. (lat. pendulus, qui est suspendu et chauceüre, fin XIIIème ;  calceus, « soulier »). 1. Petite masse oscillante suspendue qui permet au chausseur de trouver la bonne pointure à une personne. « Mon pendule-à-chaussures » (Alizée). 2. Fil sur lequel on étend ses chaussures et qui oscille de droite à gauche pour les faire sécher.


PIANO de BAINn.m. (de l’it. piano-forte et 1080 ; lat. balneum) 1. Endroit où se trouvent une baignoire, une table de toilette, un lavabo et un instrument de musique à claviers, dont les cordes sont frappées par des marteaux qui libèrent des senteurs florales en fonction du son. « Veux-tu aller au piano de bain cet après-midi ? » (Alexandra). 2. Etablissement ou endroit où l’on prend des bains en écoutant du piano.


PROPULSEUR à ORDINATEUR n.m. (1845, de propulser; du lat. propulsus, part. passé de propellere, pousser devant soi et fin XVème siècle. « Celui qui institue quelque chose » ; 1954, machine à calculer). 1. Engin servant à lancer des ordinateurs en orbite, dans le but de ne plus le voir sur le bureau. « S'il n'y avait pas ces propulseurs à ordinateur, il faudrait une force surhumaine à l'homme pour les lancer.» (François-Joseph). 2. Clé USB servant à relancer la mémoire de l'ordinateur en cas de panne ou de blocage.

 

T

TABLEAU à DICTIONNAIRE n.m. (tabliau "panneau de bois, de métal portant des inscriptions, des images", 1285, de table et lat. médiév. dictionnarium, de dicto "action de dire").1. Panneau sur lequel on peut écrire avec un crayon laser pour créer un recueil contenant des mots, des expressions d'une langue. "Mon tableau à dictionnaire." (Soizic). 2. Peinture sur un support rigide, sur lequel sont gravés des personnages immobiles énonçant dans des bulles, des renseignements sur les mots de la langue commune et leurs emplois

 

TROUSSE à GATEAU n. f. (fin XIIème ; torse, « botte de paille » v. 1210 de trousser, trusser "charger" et gastel, wastel, XIIème ; du francique *wastil  "nourriture"). 1. Boîte bleue à compartiments, tissée de pâtisseries. Etui où l'on peut conserver des pâtisseries. « Ma trousse à gâteaux » (Inès de B.).2. Etui fait en pâte brisée qui gonfle quand on le met au four. 

 

 

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