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22 août 2013 4 22 /08 /août /2013 08:32

Profitons de ces jours ensoleillés pour lire pour le plaisir ! Quelques idées de lecture avant la rentrée :

La grammaire est une chanson douce, E. Orsenna

Fils de sorcières, Pierre Bottero

L’œil du loup ou Cabot Caboche, Daniel Pennac

Le Coupeur de mots, H. J. Schädlich

Enquête au collège, J. P. Arrou-Vignod

Ou si vous préférez vous reposer en admirant la mer, la campagne, la montagne... ou vos livres d'orthographe ou de grammaire...

 

Bonne fin de vacances !

 

 

Encore quelques jours...
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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 14:54

Comme tous les ans, les élèves de sixième "George Sand" ont écrit des contes, suite à leur visite au château du Rivau ! Cette année, les jardins ont subi quelques petites transformations inattendues...

Lisez leur production et laissez-leur des commentaires pour les encourager !

Le début de leur conte a été écrit par toute la classe.

 

 

 

Il était une fois, une vieille fée, ayant la vue un peu basse e et qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, un sort fut jeté par la vieille fée qui avait encore utilisé sa baguette, à tort et à travers, sur les bottes géantes qui marchèrent toutes seules.

Tout d’abord, les bottes cassèrent la porte du château et elles y entrèrent. La fée, qui vit les dégâts que les bottes avaient faits, leur jeta un autre sort : elle les transforma en un arrosoir géant pouvant contenir trois cents litres d’eau. L’arrosoir sortit du château, marcha vers la forêt enchantée et arrosa toutes les plantes du jardin. Comme il existait un second arrosoir qui se remplissait tout seul et qui arrosait déjà les jardins, ce fut bientôt l’inondation.

La vieille fée, après avoir remis ses lunettes, constata les nouveaux dégâts. Elle chuchota une nouvelle formule. Et comme il n’y avait plus d’eau dans le premier arrosoir, le second s’arrêta et redevint des bottes géantes qui retournèrent dans le verger.

Justine

 

DSCN1796

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu base, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Le matin-là, la fée se trouva dans la Forêt qui Court et elle aperçut d'immenses jambes rouges.

La vieille fée voulut leur lancer un sort pour les rapetisser mais comme elle n'avait pas mis ses lunettes, elle se trompa en agitant à tort et à travers, sa baguette.

Elle jeta donc son sort ; les jambes allèrent à droite et à gauche puis elles se dirigèrent vers la Famille Pots de Fleurs : les énormes jambes écrasèrent toute la famille.

Heureusement arriva la sœur de la vieille fée qui lui mit aussitôt ses lunettes ; sa sœur jeta un nouveau sort pour arrêter les jambes qui ne bougèrent plus ; elles étaient de nouveau à leur place, c'est-à-dire dans la Forêt qui Court. Et tout devient de nouveau normal.

Léa

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Un après – midi, la fée se trouva dans la Forêt enchantée. Puis elle alla en courant vers le labyrinthe. La créature se mit à dire une formule au hasard ; le joli labyrinthe resta normal. Alors la fée recommença à la prononcer, mais en bougeant sa baguette à tort et à travers et l'immense labyrinthe se métamorphosa ; les haies devinrent des arbres. Sa forme au lieu d'être un chat se transforma en une sombre forêt. La jolie fée partit tranquillement, ne s'étant aperçu de rien.

Heureusement, sa cousine sut rapidement que la vieille fée se servait de sa baguette sans raison. Alors elle alla la voir pour l'aider. Quand elle fut arrivée, elle vit le labyrinthe déformé en cette étrange forêt. Après l'avoir regardé, la petite fée courut voir sa cousine. La jeune créature remarqua toute suite que sa cousine ne portait pas ses lunettes car elle avançait sans savoir où elle allait. La jeune femme décida de l'obliger à les mettre mais têtue, elle refusa. La petite fée prit les binocles et les lui mit. La fée se regarda dans un miroir et elle accepta de les porter. Quand elle découvrit ce qu’était devenu le labyrinthe, elle agit rapidement pour qu’il reprenne sa forme initiale.

A partir de ce moment, sa cousine voulut vivre avec la fille de sa tante pour la surveiller. Les deux fées vécurent heureuse ensemble dans les jardins du château du Rivau. Quant à la vieille fée, elle ne faisait plus de bêtises car elle portait tout le temps ses lunettes.

Annabelle

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter ses lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée se trouva dans le labyrinthe et elle fit pousser et grandir les haies avec sa baguette au fur et à mesure de son parcours. Elle déforma ce labyrinthe en forme de chat en une gigantesque broussaille qui ne ressemblait plus à rien. Ensuite, les racines des haies se mirent à bouger et à se déraciner de terre. Hansel et Gretel se trouvaient dans ce dédale quand la vieille fée avait utilisé sa baguette à tort et à travers. Quand ils virent les racines bouger, ils eurent peur et ils se mirent à courir.

La vieille fée qui pouvait observer ce malheureux spectacle malgré sa vue basse, essaya de mettre fin à ce désastre mais elle se trompa et ordonna aux racines d’attraper les jeunes enfants par les pieds : ils étaient donc prisonniers.

Heureusement le cousin de la fée, Merlin, apparut et prononça la formule magique suivante : « Frapatapou poupépoupéïé elafrepeteu ! » Aussitôt, les racines lâchèrent les enfants qui tombèrent sur le sol et qui rentrèrent chez eux en courant. Pendant ce temps, Merlin dit à sa vieille cousine qu’il allait prendre sa place dans les jardins et qu’elle pouvait rester dans son château pour se reposer…

Grégoire.

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau  avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres. 

Cet après-midi-là, la fée se trouva dans les jardins des senteurs et elle vit un gros pot  rouge. Dans ce pot, se trouvait  une énorme fleur bleue et rose. La jolie vieille femme ne vit pas ce qu’elle faisait, elle donna plein de coups de baguette magique, à droite et à gauche.

Tout à coup, la fleur se mit à parler et elle perdit toutes ses belles couleurs. Choquée, la fleur décida de remettre les lunettes sur le nez de la fée pour qu’elle voie les dégâts qu’elle avait faits.

La jolie vieille femme découvrit le végétal tout blanc qui hurlait, alors elle répara ses erreurs en prononçant une formule de rétablissement de situation « Abracadabra». Aussitôt la fleur retrouva ses belles couleurs bleues et roses.

Ophélie

 La Varenne et le Rivau - 23 mai 2013 011

Il était une fois une vieille fée à la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Un après-midi, la fée se trouva dans le potager de Gargantua où se trouvait une taupe énorme. La fée la regarda et la trouva trop immobile à son goût. Elle prit sa baguette, la secoua à tort et à travers de sorte que la taupe fasse un geste de la patte mais à la place, la taupière se mit à vivre. Comme la gigantesque taupe  était installée au milieu du potager, elle se mit à tout dévorer.

Quand elle eut fini de manger, elle se promena dans les jardins mais elle écrasa les arbres en marchant. Quand la fée l’apprit, elle était très en colère après sa baguette, de s’être trompée.

Par colère, elle la jeta dans un puits et tous les sorts s’achevèrent. Se rendant compte de son erreur, la fée mit ses lunettes et se trouva encore plus belle qu'avant.

Mylène

 

 

 

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Un matin, la fée aperçut un arrosoir, elle prit sa baguette et se mit à lui jeter un sort. L'arrosoir se remplit, se leva et se dirigea vers le Phénix. Malheureusement, le Phénix venait de mourir et il aurait dû renaître de ses cendres.

Mais l'arrosoir surgit de nulle part, se renversa sur l'oiseau de feu. Comme il n'avait pas fini de renaître de ses cendres, il se désintégra complètement. La fée s'aperçut de son erreur. A partir de ce jour, elle voulut mettre ses lunettes pour que le Phénix renaisse et qu'il retrouve sa place sur la volière.

Benoit

 

Il était une fois une vieille fée, ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette magique pour admirer les œuvres.

Ce matin-là elle eut envie d’aller vers le verger. Elle aperçut des formes géantes qui devaient appartenir à l’ogre. Mais comme elle avait la vue un peu basse, elle prit les bottes pour des arbres. Elle se servit de sa baguette magique à tort et à travers et elle les fît grandir encore plus qu’elles ne l’étaient auparavant. Plus grande encore que le château. Elle pensait que les arbres étaient les plus beaux d’entre tous. Tout à coup les bottes prirent vie car les chênes sont vivants.

Elles se mirent à marcher et elles détruisirent tout sur leur passage. Quand l’ogre découvrit ce que la fée avait fait, il eut envie de se débarrasser des bottes car elles ne lui servaient plus à rien. Mais comme ces chaussures hautes couraient très vite, il eut du mal à les rattraper.

Pendant ce temps, le propriétaire du château du Rivau pleurait car tout était détruit dans les jardins, à cause de la fée. Il l’appela et elle revint directement au château. Le prince la supplia, en expliquant la situation ; il fallait qu’elle remette ses lunettes pour tout réparer. Pour convaincre la fée de les porter, il promulgua une loi : «Interdiction de se moquer de la fée avec ses lunettes sous peine d’amende. »

La fée remit donc ses lunettes, puis elle chercha les bottes, les trouva et les figea. Puis, elle leur redonna leur taille normale et elle remit tout le jardin en état.

Depuis ce jour, le prince et la fée vécurent heureux ; ils eurent beaucoup d’enfants mais chacun de leur côté.

Adrien

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie .Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Cet après midi-là, la fée se trouva dans le verger ; elle sortit sa baguette, elle en fit usage à tort et à travers et jeta un sort aux bottes pour les rapetisser, pour qu’elle puisse les essayer. Mais au lieu de les rapetisser, elle dit la mauvaise formule et les bottes bougèrent et s’agrandirent.

Les chaussures hautes saccagèrent tout sur leur passage. Le Pot Rouge fut cassé quand elles tapèrent dedans et les arbres furent écrasés sous leur poids.

Tout à coup, la fée vit les bottes s’avancer vers elle. Elle prit peur et courut voir son amie, Aline. Elle lui conta tout ce qui s’était passé. Son amie Aline lui conseilla de mettre aussitôt ses lunettes ou elle lui casserait sa baguette pour quelle ne puisse plus s’en servir. La fée décida donc de porter ses lunettes pour arrêter les bottes et pour réparer tout les dégâts causés dans le jardin. Elle prononça aussi une formule magique : «ABACICASOUMA » et tout se remit en place.

Comme elle avait mis ses lunettes, elle put se servir de sa baguette sans aucun problème.

Isabelle

 

 DSCN1792

   

Il était une fois une vielle fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée traversa le Forêt Enchantée puis elle vit un Arrosoir qu’elle trouvait bien triste. Elle décida donc de se servir de sa baguette magique pour lui donner vie. A peine eut-elle le temps de donner un coup de baguette que l’arrosoir se remplit d’eau. Son action la fit bien rire et elle poursuivit son chemin.

Tout-à-coup, l’enchanteresse se trouva les pieds dans l’eau. Quand un touriste s’aperçut de cette inondation, il vit la bienveillante et il lui demanda si c’était elle qui avait provoqué cette catastrophe avec sa baguette. La fée ne répondit pas. Mais elle se rendit compte qu’elle avait fait une grosse bêtise. Alors elle décida de remettre ses lunettes et de se servir une dernière fois de sa baguette pour réparer les dégâts, avant de s’en séparer .Dés le lendemain tout fut normal : les jardins avaient retrouvé leur splendeur.

Axelle.

 

Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes, par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, la fée se rendit près de la Volière où se trouvait le Phénix. Celle-ci fit usage de sa baguette à tort et à travers et le Phénix se mit à voler au-dessus du Château.

Au même moment un jeune homme apparut ; il s’appelait Merlin l’enchanteur. Il avait des dons magiques. Il portait tous les jours sur lui, son épée magique. Il alla vers la fée. Il s’avança doucement vers elle, et là, d’un coup, elle se retourna. Alors elle prit sa baguette et elle lui jeta un sort à Merlin. Mais au même moment, l’enchanteur lui jeta un sort encore plus fort que le sien ; il prit son épée et il la toucha. Aussitôt la fée tomba en arrière. Merlin lui vola sa baguette et il la lui cassa ; ainsi, elle ne pourrait plus l’utiliser.

Le Phénix reprit sa place au-dessus de la volière et tout rentra dans l’ordre.

Alice

 

 

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait dans les jardins du Château du Rivau, avec  sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce jour-là, la fée se rendit dans le Verger où des Bottes géantes s'y trouvaient. Ensuite, elle prit sa baguette enchantée et elle s'en servit à tort et à travers. Le sort envahit les Bottes géantes qui se mirent à bondir dans le Verger. Malheureusement, la marraine ne put pas les arrêter car elle ne voyait rien du tout sans ses lunettes.

Heureusement un nain réveillé par les multiples sursauts, sortit de la botte gauche. Alors, il attrapa un râteau merveilleux et il essaya d'hypnotiser les grandes chaussures. Mais son sort ne fonctionna pas : il ne savait plus quoi faire. Or, il eut une idée : prononcer une formule magique très connue : « ABRACADABRA ».  Quelque secondes après, un mur de pierres blanches apparut face à la vieille fée qui s'y buta. En tombant par terre, sa baguette se cassa. Aussitôt, les Bottes géantes s'arrêtèrent de sauter et le nain s'endormit tranquillement.

Les jardins retrouvèrent toute leur tranquillité.

Valentin S.

 

 

Il était une fois, une vieille fée, ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes, par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée pour admirer les œuvres.

Lorsqu’un jour, la fée donna un coup de baguette sur le Phénix  à coté de la volière. Ce sort fit craquer la chaîne qui empêchait l’oiseau immortel de s’envoler. Ce dernier s’envola au-dessus de la Forêt qui Court et l’enflamma. Heureusement, au même moment, un opticien arriva et dit à la fée qu’elle devait porter ses lunettes. Mais elle refusa ; alors l’opticien retourna chercher dans sa boutique et trouva des lentilles. Il revint auprès de la fée pour les lui montrer. Elle voulut bien les porter car elle se trouva plus jolie qu’avec ses lunettes. Malheureusement pendant tout ce temps, la Forêt qui Court continuait à brûler. Elle alla donc vite réparer  sa bêtise. La dame bienfaisante rattrapa l’oiseau de feu puis prononça une formule magique : « Abracadabra » pour arrêter l’incendie.

Le Phénix revint sur la volière et se raccrocha à sa chaîne. Avec une autre formule, elle replanta des arbres et sema de belles grandes jambes rouges. Ce soir-là, la fée organisa une grande fête à laquelle était invité l’opticien.

Brieuc.


Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du Château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres. Or, elle aimait aller dans le labyrinthe. Ce jour-là, elle y rentra ; désespérément, elle essaya de trouver la sortie : sans succès. Alors elle se servit de sa baguette à tort et à travers et transforma le labyrinthe en un gigantesque labyrinthe qui n’avait plus aucune sortie. A l’intérieur, elle avait en plus ajouté des pièges. Tous les visiteurs y étaient également tous prisonniers avec le gérant du château. La fée réussit à sortir en passant à travers une haie et à s’enfuir dans la Forêt Enchantée.

Or, de l’autre côté de la forêt, Tom Pouce marchait tranquillement quand tout-à-coup il entendit des cris. Alors il se précipita vers les cris et vit le gigantesque labyrinthe, dans lequel étaient prisonniers des gens qui criaient. Tom Pouce rentra dans le dédale et aida les personnes à en sortir. Mais il ne retrouva pas son chemin. Alors il passa sous les haies de trente mètres de haut et il alla chercher un taille-haie. Mais il y avait un problème… le taille-haie était trop lourd pour lui. Il réfléchit un instant et trouva une idée. Il sortit sa baguette magique pour faire lever le taille-haie et il prononça une drôle de phrase : « Bougaga Bobo Lamama, lève-toi ! » Alors l’outil se leva, suivit Tom Pouce qui le mit en route et qui tailla la haie. Trente minutes plus tares, il laissa passer les personnes dans le tunnel. Ils étaient sauvés et ils purent partir. Tom Pouce était fier de lui, mais il restait encore un problème à résoudre ; il devait retrouver la fée. Alors, il alla voir un paon à qui il demanda s’il l’avait vue. L’oiseau répondit qu’il l’avait aperçue dans la Forêt Enchantée. Arrivé dans la forêt, il vit la fée à qui il ordonna d’arrêter de transformer les éléments du jardin. Mais il comprit que la vieille femme ne le faisait pas exprès car il vit qu’elle ne portait pas ses lunettes. Il lui fabriqua donc avec un sort, de nouvelles lunettes. Mais l’enchanteresse ne voulait toujours pas les porter. Alors Tom Pouce prononça un sort pour la figer : « Abricabroca Tacabra Figera Galabo » et elle se statufia. Tom Pouce mit les lunettes sur la fée et prononça un autre sort pour la libérer : « Fifefofu Farfelu Défigeait Goloma ». Elle le remercia car elle voyait mieux ; elle partit.

Tom Pouce, tout fier de son exploit rentra aussi, chez lui. Si la vieille fée apprenait qu’elle avait des lunettes, Tom Pouce serait maudit.   

Lancelot.

 

Il était une fois, une vieille fée ayant la vue un peu basse qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans les jardins du château du Rivau, avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Ce matin-là, la fée se trouva dans le Potager de Gargantua où elle vit une taupe géante. Elle eut l’envie de la changer de couleur mais comme la vieille fée ne mettait pas de lunettes, elle se trompa de formule et la taupe rentra dans son trou.

Elle ressortit une dizaine de mètres plus loin en formant un autre trou. La fée s’aperçut qu’elle venait de faire une erreur mais elle ne sut pas comment l’arrêter. Elle agita sa baguette et se téléporta dans le Verger où elle s’assit sur une botte pour réfléchir. « Comment arrêter cette taupe avant qu’elle ne fasse des trous dans tout le jardin ? » Tout à coup, la vieille fée se sentit soulevée de terre. Elle perdit l’équilibre et tomba en s’exclamant « Saperlipopette ! » Sa baguette heurta à ce moment-là la taupe géante. Lorsqu’elle se redressa, elle se trouvait dans le potager de Gargantua en contemplant la taupe. L’enchanteresse se rendit compte qu’elle avait fait un retour dans le passé.

Claire.


Il était une fois une vieille fée ayant la vue un peu basse, qui refusait de porter des lunettes par coquetterie. Elle se promenait souvent dans  les jardins du Château du Rivau avec sa baguette enchantée, pour admirer les œuvres.

Tous les samedis matin, la reine du Rivau, Éléonore, venait arroser les plantes. Le samedi suivant, la reine aperçut les Bottes et l’Arrosoir géants qui était devenus tout petits. Elle ne comprenait pas ce qui c’était passé. Elle alla trouver la vieille fée et elle lui demanda pourquoi ses deux objets étaient devenus minuscules. Elle lui répondit que sa baguette était incontrôlable mais la reine comprit que c’était un mensonge.

Le samedi suivant, les objets étaient toujours aussi petits et la reine en colère chercha un personnage qui pouvait l’aider et qui habitait au Château du Rivau. Elle le trouva et elle lui demanda s’il savait pourquoi ces objets avaient rétréci. Il lui répondit que c’était la vieille fée qui les avait rapetissés car elle ne voyait plus rien. Aussitôt Éléonore alla trouver l’enchanteresse à qui elle ordonna de mettre ses lunettes pour réparer les dégâts. Mais la vieille fée refusa car elle se trouvait laide et vieille avec ses lunettes ; mais la reine ne céda pas et elle lui dit que c’était pour son bien. Résignée, la vieille fée accepta et elle mit ses lunettes. Éléonore retourna dans le jardin avec l’enchanteresse. L’arrosoir débordait et les bottes avançaient toutes seules. En les voyant, l’enchanteresse prit sa baguette et arrêta tout. Les bottes et l’arrosoir devinrent de nouveau géants.

Clémence.             

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 juin 2013 5 21 /06 /juin /2013 19:10

Comme tous les ans, les élèves de sixième "Pierre de Ronsard" ont écrit des contes, suite à leur visite au château du Rivau ! Cette année, les jardins ont subi quelques petites transformations inattendues...

Lisez leur production et laissez-leur des commentaires pour les encourager !

Le début de leur conte a été écrit par toute la classe.

 

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Le même jour, elle voulut laver quelques nains négligés par les employés et elle consulta donc son vieux grimoire qui traînait dans son grenier. Mais sa vue se brouilla et elle ne put voir que le début de la formule : « Abracadabra zut, zat, zot ... ». Elle pensa que la formule ferait certainement son effet ; elle descendit donc les marches quatre à quatre pour voir le résultat.

 Quand elle arriva, les nains n'étaient pas lavés mais ils avaient pris vie et ils se mirent à courir dans tous les sens ! Certains s'enfuirent dans le labyrinthe et d'autres ouvrirent la cage du Phénix ; tous les oiseaux s'envolèrent ! Quelle catastrophe ! La vieille fée était affolée ! Soudain elle eut une idée ; elle allait transformer les bottes de sept lieues à sa taille afin de pouvoir rattraper les nains.

Elle prit donc son grimoire et essaya de lire la formule magique mais elle ne vit toujours pas la formule : « Abracadabra ché pas cha ». Or comme elle vit que les bottes changeaient pour se mettre à sa taille, elle se dit que ce n'était pas grave. Mais à peine les avait-elle enfilées qu'elle ne put plus les contrôler. Les bottes marchèrent dans tous les sens ; elles écrasaient tout sans faire attention aux dégâts qu'elles causaient. Quand elles s'arrêtèrent, le jardin était complètement dévasté.

La fée était catastrophée ! « Que faire ? » se dit-elle. Heureusement, elle se souvint qu'elle n'avait pas lu toute la formule car elle ne voyait bien sans ses lunettes et que sans elles, elle ne pourrait plus pratiquer la magie.

Elle se rappela que dans sa chambre trônaient des montures avec des verres à sa vue, - toutes bonnes fées doivent les porter quand leur vue baisse ! La vieille fée mit alors ces binocles et se rendit compte qu'elle voyait beaucoup mieux. Elle fouilla dans sa bibliothèque à la recherche du « grimoire qui a réponse à tout » pour trouver la formule qui remettrait le jardin en ordre.

Quand elle trouva cette fameuse formule, elle put lire enfin le contenu sans problème : « Abracadabrut, remets tout en ordre, depuis le début ». Puis elle se coucha avant même de voir le résultat car elle avait eu une journée bien remplie.

Le lendemain matin, elle se dépêcha de s'habiller pour aller se promener dans le jardin et voir l'effet de la formule : tout était rentré en ordre. « Tout est bien qui finit bien finalement » se dit-elle en souriant. Depuis ce jour , elle porte ses lunettes !

 

Claire-Emmanuelle.

DSCN1751

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardin du Rivau .

Un jour, elle utilisa sa baguette magique à tort et à travers sans faire attention aux conséquences.

La fée essaya donc la baguette magique, mais elle a inondé le labyrinthe en remplissant l'arrosoir géant qui ne cessait de déborder. Alors elle voulut réparer les dégâts mais elle n'y arrivait pas. Elle prononça une première formule : «Abracadabrou » mais elle ne s'en rappela plus ;  « Abracadabrou » mais ce n'était pas la bonne. Heureusement elle eut une autre idée. Ce devait être « Abracadabri » : c'était enfin la bonne formule ! Le labyrinthe devint tout sec et tout les visiteurs purent de nouveau se perdre dans le dédale des jardin du Rivau.

A partir de ce jour-là, la vieille fée porta ses lunettes et nota ses formules dans un joli grimoire.

Mathilde.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences.

La fée marchait dans le jardin quand tout à coup une taupe géante lui fit un croche-pied. La vieille fée était très furieuse après la taupe qui ne l’avait pas respectée. 

La vieille fée décida de maudire l’animal et de la transformer en statue, au milieu du jardin. Elle avait eu sa revanche. Mais comme elle avait transformé la taupe, le jardinier qui l’avait vue, confronta la vieille magicienne. Elle se fâcha et elle transforma le vieil homme : il ne restait plus que ses bottes géantes, placées dans le verger.

Heureusement le jardinier avait un ami qui était l’ogre. Le jour de la transformation, l’ogre était dans sa maison et il avait vu ce qu’avait fait la fée. Il était très furieux et il obligea la fée à porter ses lunettes, pour donner vie de nouveau à son ami : ce qu’elle fit aussitôt.

Aujourd’hui, les bottes sont toujours dans le verger et la taupe dans le potager de Gargantua.

Sophie.

 

 

Il était une fois, une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers sans faire attention aux conséquences. Elle commença donc sa promenade tandis qu’un vieil homme l’observait avec attention. Soudain, elle transforma du bout de sa baguette le labyrinthe en vrai et grand chat.

Stupéfait, le vieil homme courut voir sa sœur qui était aussi une fée et qui lui conseilla de lui voler sa baguette pour que l’étourdie ne fasse pas d’autres dégâts. Il remercia sa sœur.

Le lendemain matin, il retourna aux jardins du Rivau mais l’immense chat avait déjà fait ses griffes sur les soldats de bois et il avait aussi dévasté la Famille Pots de Fleurs.

Or le vieil homme ne se découragea pas et il alla trouver la fée. Cette dernière commençait tout juste à s’endormir près des grandes jambes de la Forêt qui Court. Il lui prit doucement sa baguette et il regarda la fée : il ne put s’empêcher de l’admirer. Tout à coup, le chat miaula très fort et réveilla la fée qui s’aperçut qu’elle n’avait plus sa baguette. Confus, le vieil homme accepta de la lui rendre si elle portait ses lunettes. La femme acquiesça, les mit et en voyant les dégâts, elle remit tout en ordre.

Plus tard, ils se marièrent mais ils n’eurent pas d’enfants. Depuis leur union, la vieille fée passe son temps à tricoter assise dans les jardins du Rivau et  le vieil homme entretient le labyrinthe, les soldats de bois et la Famille Pots de Fleurs.

Eva.

DSCN1769-copie-1

 

 Il était une fois, une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle transforma un petit labyrinthe en un immense labyrinthe monstrueux. Les visiteurs du Rivau y entrèrent, heureux de se promener au milieu de la nature.

Les enfants partirent les premiers en sautant de joie. Les adultes avançaient tranquillement en discutant.

Tout à coup une plante les attaqua puis une autre puis encore une autre.

Les enfants crièrent en courant puis les adultes à leur tour commencèrent à hurler. Plus ils avançaient, plus ils se perdaient. C’était la panique. Les plantes les encerclaient sans qu’ils ne s’en aperçoivent, puis elles les attaquèrent en les griffant avec leurs branches. La fée cachée derrière un rosier entendit les cris. Elle voulut voir ce qui se passait. Elle mit ses lunettes et passa devant le miroir aux paons. Elle constata qu’elle était aussi coquette avec ses lunettes.

Soudain, le système d’arrosage se déclencha. Les plantes surprises lâchèrent leurs proies et retournèrent à leur place. Les promeneurs du Rivau sortirent du labyrinthe et remercièrent le jardinier qui les avait sauvés. Les visiteurs du Rivau se souviendraient de  leur mésaventure et la fée, depuis ce jour, porta ses lunettes.

Théo.

 

 

Une vieille fée à la vue un peu basse et refusant par coquetterie de porter des lunettes, faisait usage de sa baguette a tort et à travers.  

Un jour sans faire attention aux conséquences, elle transforma un des éléments dans le jardin du château du Rivau. Elle monta sur sa tour et elle jeta un sort aux bottes géantes qui avancèrent et qui détruisirent presque tout le jardin. Quelque secondes après, elle utilisa sa baguette sur le labyrinthe qui s'écroula. Tous les arbustes se déracinèrent, un à un.  

Heureusement un de ses amis vit se qu'elle avait fait et il alla la voir.  Après lui avoir parlé, comme elle ne voulait toujours pas porter des lunettes, son ami l’obligea de les mettre pour constater les dégâts. Elle accepta et elle transforma tous les objets qu'elle avait changés. Elle promit de ne plus jamais se servir de sa baguette magique quand elle n'aurait pas ses lunettes. 

Thomas M.

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent  elle se promenait avec sa baguette magique dans les jardins du Rivau. Elle utilisait sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences.

Un jour, où elle se promenait dans la Forêt qui Court, elle la trouva bien triste. Elle décida de faire vivre les jambes. Or, elle oublia que ces jambes étaient très grandes, et qu’elles couraient donc très vite. Elle prononça une de ses formules magiques et elle agita sa baguette. Les jambes bougèrent, marchèrent et se mirent à courir. Elles n’étaient pas contentes d’être réveillées, alors elles se mirent à poursuivre la vieille fée. Elle cria pour demander de l’aide ; la Famille Pots de terre l’entendit ; le grand père qui était sorcier prononça une formule «Frapadepoupou». Aussitôt les jambes firent demi-tour et retournèrent à leur place en courant.

La vieille fée remercia chaleureusement le grand-père et elle décida de porter des lunettes tout en restant coquette ! 

Manon.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour  rester belle. Souvent elle se promenait avec sa baguette magique, dans les jardins du château du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle transforma les immenses jambes rouges de la  Forêt qui Court de telle manière à ce qu’elles prennent vie. Elles détruisirent toute la végétation sur son passage.

La vieille fée comprit l’utilité de porter des lunettes car elle ne voyait pas correctement les choses qui l’entouraient. Elle dégrada tout le beau paysage qu’elle aimait tant.

Le lendemain, elle alla de nouveau dans les jardins, quand tout à coup un rayon de lumière se refléta sur sa baguette magique qui transforma les bottes géantes de la même taille que celle des jambes rouges. La vieille fée ayant mis ses lunettes, comprit qu’elle pouvait arrêter les dégâts en enfilant les bottes devenues magiques, pour arrêter de détruire la végétation. Ce fut un succès !

Après quelques minutes, le jardin reprit la beauté qu’il avait auparavant. La vieille fée garda ses lunettes et décida de les décorer pour se donner un peu de jeunesse.

Ruben

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa  baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Ce jour-là, elle coupa la grande natte de Raiponce qui tomba sur le Chemin des Fées et coinça les fées qui ne pouvaient plus sortir. Soudain, une autre enchanteresse apparut ; c’était la treizième petite sœur de la vieille fée qui avait entendu toutes les bêtises que son aînée avait faites. Elle décida donc de lui mettre ses lunettes de force. Dès que la vieille fée vit ce qu’elle avait fait, elle arrangea tout et remit tout en ordre. Elle garda ses lunettes pour toujours, même si elle ne se trouvait pas très belle quand elle les portait.

Maely.            

 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique dans les Jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers sans faire attention aux conséquences. Elle transforma l'Arrosoir géant qui se remplissait tout seul ; la vieille fée déversa l'eau dans le jardin qui fut tout inondé.

Heureusement, un gardien vint arrêter la vieille fée qui avait causé tout ce désordre. Mais comment allait-il faire ? Tout à coup il eut une idée : il suivit la vieille fée et la surprit par derrière puis il lui arracha sa baguette des mains.

Le gardien put transformer le Jardin du Rivau comme il était auparavant. Il accueillit de nombreuses personnes tandis que la fée décida de mettre ses lunettes pour ne plus faire de dégâts, dans ce si joli jardin.

Florian.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. La vieille fée marchait en sifflant dans le Verger, quand un jardinier passa. La vieille fée se cacha et pour qu'il disparaisse, elle lui jeta un sort ; mais au lieu de transformer le jardinier, elle changea les Bottes du Petit Poucet qui se couvrirent de boue et qui avancèrent dans le jardin. Peu à peu, une boue collante recouvrit tout le sol. La vieille fée ne voyait rien mais elle sut qu'elle marchait dans de la boue. Elle aperçut l'ogre qui se baignait dedans tandis qu'elle ne pouvait plus avancer. Alors elle entra dans la taverne de l'Ogre pour s’y reposer, mais elle se cogna contre les murs : elle décida donc de mettre ses lunettes. Quand elle vit toute cette boue, elle jeta un nouveau sort pour tout remettre en état. Les jardins devinrent de nouveau magnifiques et la fée mit toujours ses lunettes.

Léandre.

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes, pour rester belle. Souvent, elle se promenait, avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Soudain, une taupe géante apparut et elle vit la fée qui était toute triste. Elle se rendait dans le château quand elle entendit une voix derrière elle. Elle se retourna et vit la taupe qui ne pouvait pas bouger. Cette dernière lui demanda si avec sa baguette elle pouvait la déterrer du sol. Cette taupe était paralysée. La fée déterra l'animal du trou. La magie n'avait pas bien fonctionné car le rongeur était en train de tout dévaster sur son passage : la bête cassa les pommiers, arracha les buissons... Rien à faire, c'était un désastre. La fée voulut voir les dégâts alors elle mit ses lunettes et vit les jardins massacrés. A ce moment-là, elle vit un miroir brisé alors elle se regarda dedans et se trouva belle. Elle prononça donc une nouvelle formule en agitant sa baguette : la taupe retourna dans sa taupinière et les jardins retrouvèrent leur beauté.

Depuis ce jour, elle vécut heureuse jusqu'à la fin de ses jours.

Lucas. 

 

Il était une fois une vieille fée qui avait la vue un peu basse et qui refusait de porter des lunettes pour rester belle. Souvent, elle se promenait avec sa baguette magique, dans les jardins du Rivau.

Un jour, elle utilisa sa baguette à tort et à travers, sans faire attention aux conséquences. Elle jeta un sort pour agrandir Le Pot Rouge de la Petite Poucette : « Abracadabra »  et le pot grandit, grandit ! La fée voulut regarder à l’intérieur ; elle prit une échelle, monta tout en haut mais soudain elle tomba dans le pot. Elle cria de toutes ses forces pour obtenir de l’aide mais personne ne répondit.

Elle essaya de faire basculer le pot mais elle ne réussit pas, il ne bougea pas. Heureusement pour la vieille fée, le gardien passait par là ; il entendit du bruit, il regarda autour de lui et il vit l’échelle posée contre le pot. Il monta et y aperçut la vieille fée. Il la sauva mais comme la fée ne voyait pas qui l’avait aidée, elle décida de mettre ses lunettes. Avec l’aide du gardien, elle redonna aux objets leur taille d’origine et ils reprirent chacun le cours de leur vie.

Rachel.

                            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                            

                            

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

                                                                            

 

 

 

 

 

 


 

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7 avril 2013 7 07 /04 /avril /2013 20:46

Ce texte a été écrit par une élève de sixième, suite à l'étude du Petit prince de St Exupéry.

 

 

 

         Le petit prince se trouve dans la région des astéroïdes. Il est proche de l’astéroïde 331. Il s’y rend pour le visiter, pour y chercher une occupation et pour s’instruire. Le septième astéroïde est habité par un remplisseur de lacs. Cette planète a deux lacs : l’un presque vide et l’autre est plein. Le remplisseur de lacs porte un seau et court de droite à gauche puis de gauche à droite pour prendre et vider de l’eau.


« Bonjour », dit le petit prince.


          Mais le remplisseur de lacs ne répond pas ; il continue à courir.


« Bonjour ! crie le petit prince.

- Bonjour, répond le remplisseur de lacs.

- Pourquoi cours-tu d’un lac à l’autre ?

- Désolé, mais je n’ai pas le temps de te répondre. »


        Le petit prince ne renonce pas aussi facilement. Quand il pose une question, il veut une réponse :


« Pourquoi cours-tu ainsi ? » dit le petit prince.


          Le remplisseur de lacs soupire et dit :


« L’un des deux lacs est presque à sec. Je vais donc chercher de l’eau dans l’autre.

- Mais pourquoi vas-tu encore prendre de l’eau quand le lac qui est vide devient plein ? questionne le petit bonhomme.

- Le premier lac devient presque vide alors je fais le chemin inverse pour le remplir à nouveau. » lui répond-il, fatigué de devoir se justifier.


         Le petit prince ne comprend pas trop le raisonnement du remplisseur de lacs et il trouve son travail absurde. Il le salue et part.

                                                                                  Texte inventé et écrit par Claire D.

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 17:02

  Les élèves de sixième ont créé de nouveaux mots en mêlant des animaux et des végétaux ! Un nouveau dictionnaire a donc été créé par eux !

 

 

BLEUETFAUCON n. m. (1380, Invent. de Charles U (bluet) ; du bas lat. falco-.onis, dér. du lat. falx-.cis, faux d’apr. la courbure des ailes ou la forme du bec.) 1. Fleur-rapace carnivore, qui se nourrit essentiellement de vieilles viandes trouvées. Son corps est couvert de pétales bleus, gris et roux ; sa tête se termine par un bec court et crochu. Il porte deux petits pétales semblables à des serres au bout de ses tiges. Végétal-oiseau qui pousse en Amérique du Nord (Canada). Les aventures du Bleuetfaucon en Amérique. (Anne-Lise). 2. Partisan de la force dans le règlement d’un conflit entre végétaux. «Les Bleuetfaucons ont arbitré la guerre entre les variétés d’airelles. »

 

C

 

CHATIRIS n. m. (du lat. cattus qui a remplacé fele d’origine gauloise ou africaine ; du lat. iris, même sens, impr. du gr.) 1. Petit mammifère-fleur à poil doux, aux yeux oblongs et aux oreilles ornementales, qui vit en Euramérique. Grâce à ses tiges rétractiles, il peut se rendre plus petit et échapper à son prédateur le chiencueilleur. La vie du chatiris. (Eva) 2. Personne qui en poursuit une autre pour l’empêcher d’atteindre la pupille avant lui. Si le chatiris l’a empêché de la toucher, il y a un duel. Celui qui dessine le mieux un iris a gagné. « Les enfants doivent être forts en dessin et en course pour gagner au jeu du chatiris ».

 

 

 

CHAT-IRIS n. m. (du lat. cattus ; du lat. iris). 1. Petit animal-fleur à poils bleus, violets, blancs, jaunes et bruns, aux yeux brillants ; aux oreilles pointues et aux longues moustaches. Son corps se termine par une queue de pétales. Mammifère-plante qui vit dans les pays chauds et qui se nourrit d’iris. Trois chat-iris à la maison. (RACHEL). 2. Les jours d’été tous les chat-iris sont blancs. « Les chat-iris changent selon les saisons.»

 

 

 

CHATONORANGE n. m. (du lat. cattus, d’origine gauloise ou africaine « jeune chat » XIIème pume orenge de l’anc.. ital. melarancia, de l’ar. nãrandj, mot d’orig. persane). 1. Petit mammifère-fruit à poils jaunes ou rouges trouvé dans une forêt tropicale en Afrique. Son corps est recouvert d’une écorce épaisse orangée qui le protège de la chaleur et des prédateurs. Animal fruit qui vit dans un chatonoranger. L’arbre du chatonorange. (Maëly). 2. Avoir les yeux chatonorange, c’est avoir les yeux orange, jaunes ou rouges lors d’une éclipse de lune. « Ma mère a eu les yeux chatonorange lors d’une éclipse de lune. »

 

 

 

CHEVALHIBISCUS  n. f. (du lat. caballus , 1829, boiste mot lat. empr. au gr. hibiskos).1. Animal-arbre a quatre tiges, a la queue en forme de fleurs, aux oreilles en forme de feuilles de couleurs rouges et blanches. Il vit dans les centres équestres en France ou dans les prés sauvages .Le chevalhibiscus super héros (Pauline). 2. Cheval d'arçon servant à la gymnastique ou pour la voltige, muni de deux poignées en fleurs pour s'accrocher. « La gymnaste s'entraîne sur le chevalhibiscus. »

 

 

 

CHEVAL-POMME n. m. (du lat. caballus , cheval, avec valeur péjor. Mot gaulois pop.  a éliminé equus en lat. ; du lat. poma, pl. neutre passé au fém en lat. pop. de pomum, fruit, et en bas lat. de Gaule pomme.) 1. Grand mammifère-fruit végétarien équidé à crinière ronde, à pulpe ferme et juteuse, domestiqué par l’homme. Il se déplace sur des sabots ronds ; sa tête est ronde, colorée et son corps se termine par une petite queue. Cet animal vit en Europe. Le cheval-pomme sur une étoile (Sophie) 2. “Fièvre de cheval-pomme”. Elévation forte de la température qui fait tomber le malade dans les pommes. Cet enfant a la grippe: “Il a une fièvre de cheval-pomme”.

 

 

CHEVREAUFRAISE n. m. (du lat. capra, chèvre, 1265, (chevrel) ; du lat. pop. fraga, qui lui a donné l'anc. fr fraie, pl. neutre de fragum). 1. Petit mammifère-fruit de la chèvre-fraisier devenant un chevreaufraise, charnu, auquel sont fixés de nombreux akènes. L'aventure du chevreaufraise. (Ruben). 2. Outil en forme de fruit pour usiner le chevreaufraisier en bois. « Le chevreaufraise a été utilisé pour couper le bois ».

 

CHRYSANTHEME–FLAMANT n.m (Rab. du  pro. flamenc ; du lat. chrysanthémon, du mot grec.).1. Oiseau-fleur échassier au plumage multicolore, recouvert de fleurs orangées en boule, qui s’épanouit en  automne. Il vit uniquement en Russie. Sa particularité est de dormir en boule, le bec caché sous son plumage. Les aventures du chrysanthème–flamant (Mathilde). 2. Faux oiseau-fleur aux couleurs multicolores, aux énormes boules qui est souvent posés sur les tombe, à la Toussaint en novembre. « On dépose un chrysanthème-flamant sur la tombe  de notre grand-mère ».

 

 

E

 

ELEOTRAGUE-MANDARINE  n.m.  (de l'antilope des marais, du lat. méd., du lat. olopus, par l'ang. antilope, de l'anc. fr. « animal fabuleux » ; naranja,  mandarine orange). 1. Antilope-fruit qui vit en Afrique, en voie de disparition. Antilope-fruit des marais, ronde, dont le corps se termine par une queue ; des cornes poussent sur la tête en forme de boules orange. La vie de l'éléotrague-mandarine. (Thomas). 2. Ruminant cornu en forme de boule orange, destiné à être dressé pour nettoyer les marais. "L'agriculteur utilise un éléotrague-mandarine pour son étang".

K

 

KANGOUROUBANANE n. m. (1774, trd. de Mawlesworth, d’une langue indigène d’Australie ; 1602 ; du port. Banana, empr. au soussou de Guinée). 1. Marsupial-fruit d’Australie comestible, au museau allongé, à pulpe très riche. Mammifère-fruit rapide à peau jaune qui vit dans le centre de l’Australie. Il s’autonourrit de bananes qui poussent dans sa bouche, à chaque fois qu’il boit. Il pousse dans un kangourou- bananier. Le kangouroubanane mangé par une sauterelle. (Lucas) 2. fig. Sac banane marron ou jaune en forme de lune. « Aujourd’hui Charles prend son kangouroubanane ».

 

 

 

L

 

 

LOUP-TULIPE n. m. (du lat. lupus, i, loup ; 1600 du turc tülbend (lâle) proprem. « plante turban ») 1. Mammifère-fleur carnivore qui appartient à la famille des canidéliliacés, aux longues et belles oreilles jaunâtres. Le loup-tulipe se nourrit principalement de matière minérale. Il vit dans les régions chaudes de France. Le loup-tulipe en Chine. (Manon). 2. Masque en pâte de verre noir couvrant le pourtour des yeux des animaux. « Le cheval porte un loup-tulipe pour galoper. »

 

M

 

 

MAKIPECHE n. m. (Mot malgache : Madagascar ; fin XIIème. bot. du lat. pop. persica, pl. neutre, passé au fém. de persicum, ponum, "fruit du pêcher"). 1. Animal-fruit comestible,  mammifère lémurien au cœur dur à la chair jaune ou blanche se nourrissant uniquement de pêches jaunes ou blanches. Animal-fruit qui vit dans le makipêcher à Madagascar, menacé par l'homme ; cet animal-fruit est en voie d'extinction. Le seigneur des makipêches (Léandre) 2. Boisson énergisante dangereuse qui peut rendre fou. Boisson distillée à Madagascar. " A mon anniversaire, il n'y aura pas de makipêche , ce sera interdit." 


P

 

 

PIEUVREHORTENSIA  n. f. (1866, Hugo, forme dial. 1773, en l'honneur de la femme (Hortense). 1. Poulpe-fleur  à fleur bleues, roses ou blanches de grande taille, groupées en forme de grosses boules. Mollusque dont les tentacules sont armées de multiples pétales ventouses pour attraper ses proies. La pieuvrehortensia des bois. (Ange) 2. Petit objet en plastique à grosses fleurs qui permet de masser. « Le kinésithérapeute utilise une pieuvrehortensia pour masser son patient. »

 

 

 

PAON-ORCHIDEE n. m. (du lat., du gr. orkhis milieu du XVIII e siècle ; du lat. pawo, pouonis). 1. Oiseau-fleur de la famille des orchidacées originaire d’Asie avec une livrée bleutée à reflets. Gallinacée-fleur mâle à longue traîne de plumes qu’il relève et déploie en fleurs. Durant la parade, le paon-orchidée criaille et dégage une odeur agréable. L’ours et le paon- orchidée (Théo). 2 Sorte de parfum multicolore connu sous le nom de paon-orchidée. « Je me mets du paon-orchidée tous les matins après ma toilette. »

 

R

 

 

ROSE-LAPIN n. f. (du lat. rosa, la rose ; lat. lepus, lepous, lièvre). 1. Fleur-animal en voie de disparition, qui se trouve dans les hautes montagnes sur le continent Arctique. Elle pousse sur quatre tiges poilues ; sa peau est couverte de cent trente pétales dont se dégage une odeur douce et agréable. A la recherche de la rose-lapin. (Margaux)

2. fig. "Poser une rose-lapin", ne pas aller à un rendez-vous avec quelqu'un en l'envoyant sur les roses. " Louis a posé une rose-lapin à Léa".

 

T

 

 

TULIPE CHAT n. f. (1600 du turc, tiilbend, (lâle) prop. rem. "plante turban" ; du lat. cattus) 1. Fleur-animal a quatre pétales, avec de petits pistils poilus qui poussent au centre. Variété de plante très agressive, plante animal qui boit beaucoup d’eau et qui reste immobile. Ses griffes sont rétractiles. Redoutable prédatrice. Sa tige se termine par un bulbe moustachu. La tulipe chat cueillie par les femmes (Florian). 2. « Quand la tulipe chat n’est pas là, les souris dansent  », quand le patron est absent , les employés ne travaillent plus.

 

 

 

 

TULIPECHIEN n. f. (1600 du turc, tiilbend, (lâle) prop. rem. "plante turban" ; du lat. canis). 1. Plante-mammifère à bulbe carnivore, dégageant une odeur agréable, domestique en forme de vase, aux tiges de couleur marron et au flair développé, aux pétales en forme d'oreilles et aux racines poilues. Il en existe un grand nombre de races. Aux Pays-Bas, on cultive plusieurs variétés carnivores. La culture de la tulipechien. (Assil). 2. "Un temps de tulipechien". Temps très désagréable obligeant à porter un globe, en forme de fleur sur la tête. "L'hiver, il fait souvent un temps de tulipechien ".

 

 

 

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 00:00

Les élèves de sixième ont créé de nouveaux mots en mêlant des animaux et des végétaux ! Un nouveau dictionnaire a donc été créé par eux !

 

B

 

 

BANANEGIRAFE n. f. (1602, du port. banana, empr. au soussou de Guinée ; de l’ital giraffa, empr. à l’ar. zurâfa). 1. Fruit-animal très long à peau épaisse et rousse, aux tâches noires formant des dessins polygonaux. Fruit-animal qui pousse en Afrique sur un banagirafier, dont le tronc est très long et rigide. La compote de bananegirafe. (Claire). 2. Très long hélicoptère souvent jaune ou roux dont les pales sont en forme de polygones. « La bananegirafe surveille la réserve. »

C

 

CHAT-FRAISE n. m. (du bas. cattus ; du lat. pop. fraga qui a donné l’anc. fr. fraise). 1. Animal- fruit rouge avec des taches jaunes, à la queue en forme de tige avec des feuilles, aux poils doux, qui vit dans un chaton-fraisier. Le chat-fraise aux Etats-Unis. (Alice). 2. « Sortir de son chaton- fraisier, la nuit», aller chercher une roulette de dentiste. «Les enfants sortent pour trouver un chaton-fraise.»

 

CHATVIOLETTE  n.m.  (du lat. cattus ; du lat. pop. fraga  qui a donné l’anc. fr.  fraie) 1. Mammifère-fleur à cinq pétales, à poils fleuris, aux oreilles à fleurs triangulaires et aux griffes rétractiles. Les aventures du chatviolette.  (Ophélie). 2. Personne violette qui poursuit les autres à un jeu.  « Les enfants jouent à chat-violette. »

 

CHEVALORANGE n. m. (du lat. caballus, cheval ; de l'ar. nârrand, mot d'orig. persan.) 1. Grand mammifère-fruit domestiqué par l'homme pour transporter des agrumes, à la crinière orange, jaune ou rouge. Sa robe a l'odeur de l'orange. Le chevalorange est pressé. (Annabelle) 2. Personne dont la fièvre est très forte et dont le teint peut devenir orange foncé. «Ma grand-mère à la grippe, elle a la fièvre chevalorange. »

 

CHEVALLYS  n. m. (du lat. caballus ; 1175 Chr. de Troyes, pl. du lat. lilium) 1. Grand mammifère-vivace aux longues pattes en feuilles allongées et pointues, au corps recouvert de pétales blancs et à la tête se terminant par de belles fleurs blanches adorantes. Il était un Chevallys.  (Isabelle). 2. « Avoir une fièvre de chevallys » : être malade avec une fièvre très forte qui donne un teint très blanc. « Drizel a une fièvre de chevallys, elle ne pourra pas aller à l’école. »


CHIENBANANE  n. m. (du lat. canis, le chien ; 1602, du port. banana, empr. sousou de Guinée) 1. Animal-fruit domestique à peau épaisse, jaune et noir, à quatre pattes, aux oreilles tachetées de noir et de jaune. Le chienbanane en Guinée. (Justine). 2. Sac formant une pièce coudée d’une arme à feu, se nouant à la ceinture. « Mes parents portent un chienbanane à la ceinture. »

 

CHIEN-BANANE n. m. (1080. du lat. canis ; 1602. du port. banana empr au Sousou de Guinée.). 1. Animal-fruit au pelage jaune à la naissance et marron foncé quand il est adulte. Mammifère particulier qui se nourrit de cacahuètes. Sa taille se mesure en bananes empilées. Animal assez corpulent domestiqué pour être un chien de garde. Il vit dans les pays chauds, accroché dans un canin-bananier, la tête en bas. La véritable histoire du chien-banane. (Grégoire). 2. « Jouer comme un chien-banane ». Expr. fam. exprimant à la fois la difficulté de l’action et le plaisir à la réaliser, utilisée tout particulièrement dans le domaine musical. « Ce morceau est joué comme un véritable chien-banane ! »

 

CHIENTULIPE n. m. (du turc tubbend (lâle) proprem. « plante turban », tulipe ; 1080 du lat. canis, chien.) 1. Animal-fleur au pelage couvert de pétales jaunes qui sentent l’orange quand on les frotte, à la queue en forme de tige, qui vit dans l’eau et qui est vert. Animal plante domestique. Le chientulipe en Asie. (Clémence) 2. Animal-fleur méchant à la tête en forme de globe. « Le chientulipe garde le château. »  

 


CHIENROSE n. m (1080 du lat. canis ; du lat, rosa.)1. Mammifère-fleur de couleur marron et blanc, au pelage couvert de pétales et qui appartient à la famille des chienrosiers. Ils peuvent être de couleur très pâle ou rose bonbon. Son cri est l’aboiement-rosace. Le chienrose dans la montagne. (Léa) 2. Petite peluche rose bonbon, qui rassure les enfants grâce à sa douce odeur apaisante. « La petite fille câline son chienrose. »

 

COCCINELLEJONQUILLE n. f. (du lat. coccinus, écarlate, de coccum, de cochenille ; de l'esp. jonquillo, dimin. de junco. jonc.) 1. Insecte-fleur au corps rouge tacheté de jaune, aux ailes couvertes de pétales. Animal-fleur très odorante qui pousse dans les champs. Les aventures heureuses de la coccinellejonquille. (Valentin). 2. Petit objet jaune taché de noir qu'on accroche à son porte-clés pour porter bonheur à toutes les personnes. «Une personne malchanceuse accroche  une coccinellejonquille à son porte-clés.»

 

COCHONORANGE n.m. (1091, «jeune porc» puis «porc», sans doute d’origine expressive (cri pour appeler les porcs) ; de l'ar. mârand, mot d'origine persane). 1. Animal-fruit vivant au pied d'un oranger, à la peau orange et aux yeux ronds orange. On peut récupérer sa salive qui a le goût de jus d'orange. Les aventures du cochonorange. (Clément)  2. Personne malpropre ou grossière se transformant en agrume d'un jaune  rouge. « Marion a prononcé des cochonoranges. »

 

G

GIRAFETULIPE n. f. (du lat. zurafe ; du turc tulbe) 1 .Mammifère-fleur jaune à pétales de couleur girafe à la tête et aux oreilles en forme de bulbe. Son cou est une longue tige qui se termine par une fleur renflée et évasée à l'extrémité. Le girafetulipe en Hollande. (Thomas). 2. Objet étiré et long qui se termine par un globe (applique électrique. '' Une girafetulipe est accrochée au mur du salon ''.

 

 

L

 

LAPINORANGE n. m. (du lat. lepus, leporis, lièvre ; gr lebêris, lapin ; port. lapar, lièvre, lapâo, lapin ; de l’ar.  mânarel, mot d’origine persane). 1. Petit mammifère-fruit au corps poilu orangé dont la queue à la même forme qu’une orange toute blanche et aux yeux petits, marron et orangés, aux oreilles longues et arrondies. Animal fruit que sent l’orange. Le lapinorange et les piverts. (Mylène). 2. Peluche à la fourrure orange,  jaune et rouge, qui donne des vitamines. « L’enfant malade porte un lapinorange pour être en forme ».

 

LYSLAPIN  n. m. (1175, Chr. de Troyes, pl. du lat. lilium ; du lat. lepous, lepus, lièvre ; gr. de béris, lapine port. laparo, lièvre papâo, lapin) 1. Fleur mammifère rongeur, petite à grandes oreilles, à la tige de couleur marron, aux pétales rayés marron et blanc. Certaines variétés sont tachetées de couleur grise. En hiver, les pétales sont couverts d’une fourrure qui se dispose sur ses oreilles. Le lyslapin en Chine. (Axelle). 2. Matière blanche élastique, très fine. « Ma chemise en lyslapin est très confortable. »

 

P

 

 

POISSONCOQUELICOT n.m. (du latin piscis poisson ; 1545 (-coq) alter. de cocorico.) 1. Animal aquatique fleur en forme de coquelicot aux nageoires composées de pétales rouges, qui vit dans les mers chaudes et tropicales. Un poissoncoquelicot dans l'eau (Florian) 2. "Etre comme un poissoncoquelicot dans l'eau", se trouver dans un bassin de sang rouge vif . "Martin nage comme un poissoncoquelicot ".

 

POISSON-PRUNE n.m. (du lat. piscis ; du lat. pruna pluriel neutre de prunum, prune, prunelle). 1. Vertébré-fruit aquatique violet dont la chair est comestible au goût de prune, avec un noyau au milieu de son corps qui se termine par une queue et des nageoires de chaque côté. Les Poissons-Prunes contre les guêpes. (Lancelot) 2. astro. Nouveau signe du zodiaque du 13 février au 24 mars dont la période est découpée en douze poissons-prune. « Le 14 mars, c’est la fête du poisson-prune et on sert du poisson-prune à volonté ».

 

R

 

 

RAGONDINPOMME n. m. (1867, orig. obscure ; du lat. poma, pl. neutre, passé au fém. en lat. pop. de pommun, fruit et en bas lat. de gaule  « pomme »). 1. Animal-fruit ayant une pomme d’Adam au cou qui amplifie sa voix. Originaire d’Amérique du Sud, il se nourrit uniquement de pommes. Il utilise ses dents, pour enlever chaque pépin. Le Ragondinpomme dans l’étang de la fosse noire. (Brieuc) 2. Pomme de douche en forme de ragondin pour se gratter le dos. « Théodore s’est servi de son ragondinpomme, pour se laver ».   

 

T

 

 

TIGREPOIRE n.m. (du lat. tigris, le tigre ; du lat. pira pl. piron, poire). 1. Grand félin-fruit à la chair parfumée et comestible, avec des bandes noires sur le corps, vivant dans la jungle tropicale. Félin-fruit qui pousse dans le tigrepoirier. Les aventures du tigrepoire. (Benoit). 2. "Couper le tigrepoire en deux" : deux personnes qui s'arrangent en coupant chacun un tigrepoire en deux.   


TULIPECHEVAL n. f. (du turc tulbend lâle  proprem. « plante turban » ; du lat cabulus mot gaulois pop.  a éliminé equus du lat. pop. caballus) 1. Plante-mammifère à bulbe dont la fleur se termine par une grande crinière. Fleur équidé qui pousse sur quatre tiges et se terminant par des bulbes ; fleur animal renflée et évasée à l'extrémité, cultivée par l'homme ; la tulipecheval appartient à la famille des bulbeuses équidés. La tulipecheval et ses pouvoirs (Chloé). 2. Machine à vapeur à 736 wattfleurs, capable de pouvoirs étranges. « L’usine fonctionne avec plusieurs tulipechevaux ».

 

 

 

 

 

 

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18 novembre 2012 7 18 /11 /novembre /2012 14:02

Déménager

Quitter un appartement. Vider les lieux.

Décamper. Faire place nette. Débarrasser

le plancher.

Inventorier ranger classer trier

Eliminer jeter fourguer

Casser

Brûler

Descendre desceller déclouer décoller dévisser

décrocher

Débrancher détacher couper tirer démonter plier couper

Rouler

Empaqueter emballer sangler nouer empiler

rassembler entasser ficeler envelopper protéger

recouvrir entourer serrer

Enlever soulever porter

Balayer

Fermer

Partir

 

Georges Perec, Espèces d’espaces, 1974.

 

Une série de poèmes créés par les élèves de 5ème de Vigny : écrire par imitation !

 

 

 

Plonger

Descendre dans les profondeurs.

S'enfoncer dans l'eau, couler

dans la mer

S'équiper naviguer sauter

s'immerger

flotter nager surnager

Brasser crawler sombrer

descendre toucher suivre

Remonter

inspirer

expirer

respirer

Richard.

 

 

 

Cuisiner

Choisir un plat. Accommoder un met.

Concocter. Préparer

le repas.

Peser mesurer

Casser couper

verser mélanger battre

Mixer

incorporer garnir farcir

saler poivrer sucrer

préchauffer

cuire

refroidir

déguster

Baptiste.

 

 

 

Cuisiner

Préparer une recette. Confectionner un plat.

Concocter. Exécuter

un met.

Éplucher mixer râper

saupoudrer épicer

Huiler

Saler poivrer

verser chauffer enfourner

mijoter dorer

cuire

déguster

savourer

Angèle.

 

 

 

Cuisiner

Exécuter un plat. Accommoder les ingrédients.

Préparer un repas. Faire

une recette.

Décongeler éplucher couper

mélanger pétrir malaxer aplatir

étaler

Garnir napper sucrer

Fariner

cuire démouler

dresser

servir

déguster

Julie.

 

 

 

Aimer       

Se dévorer des yeux. Etre amoureux.

Avoir un sentiment. Ressentir

une attirance pour quelqu’un.

Se trouver se rencontrer se regarder s’apprécier  

S’adorer s’affectionner  se vouloir 

Se charmer 

se toucher

S’attacher se désirer s’intéresser 

se complaire porter

accoucher 

s’émerveiller  se contempler

se réjouir

se marier 

Laura F.

 

 

 

Dresser

Habituer l’animal. Se consacrer à la bête.

Se soucier. S’intéresser

à la bestiole.

Brosser laver caresser

Cajoler

Nourrir

jouer s’occuper réconforter

courir

promener

dormir

Pierre-Louis.

 

 

 

Cuisiner

Préparer une salade. Exécuter une recette.

Concocter Confectionner un

plat.

Commencer bouillir durcir

ouvrir rincer

Egoutter

plonger

Peler couper

trancher

mélanger huiler

saler poivrer ajouter

brasser

dresser

goûter

Méline.

 

 

 

Cuisiner

Exécuter une recette. Préparer un met. Confectionner

un plat.

Couper découper râper

trancher

mélanger

cuire

mijoter

Assaisonner  saler  poivrer

huiler

Dresser

déguster

savourer

Samantha.

 

 

 

Cuisiner

Exécuter un repas. Accommoder un plat.

Concocter. Préparer

le repas.

Eplucher couper râper

mixer

Saler poivrer tourner

beurrer

Etaler entasser écraser

mélanger

chauffer cuire rôtir

manger

déguster

savourer

Sarah.

 

 

 

Cuisiner

Faire un plat. Exécuter un met.

Concocter. Confectionner

une recette

Préparer prendre

aiguiser

éplucher couper beurrer

nettoyer

Râper broyer mixer

saler poivrer

assaisonner

chauffer cuire refroidir

goûter manger

Déguster

savourer

Thibault

 

 

 

Voler  

Décoller de l’aéroport. Monter vers les nimbus.

Se déplacer. Survoler

les nuages.

s’élancer

partir

planer voltiger

être projeté 

voleter 

piloter

aller revenir

descendre

atterrir 

Pauline

 

 

 

Bricoler

Faire avec ses mains. Se livrer à des travaux.

Restaurer. Réparer

des objets.

Tailler couper scier

Gratter

bidouiller combiner

Essayer

Clouer visser taper

Sculpter

décorer

vernir

Anthony

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 


 

 

 

 

 


 

Manger

Se restaurer le soir. Dîner aux chandelles.

Casser la graine. Se nourrir

d’aliments.

Croquer

Grignoter picorer pignocher

consommer dévorer engloutir

déglutir

Déguster goûter

savourer

combler

digérer

Marie.

 

 

 

Cuisiner

Exécuter un mets. Préparer une recette.

Casser. Confectionner

un plat.

battre fouetter

Mélanger saupoudrer sucrer

broyer remuer poivrer saler

fondre

couper épicer garnir

cuire

refroidir

décorer

déguster

Margot.

 

 

Cuisiner

Préparer un plat. Confectionner un met.

Mitonner. Délayer

le lait.

Couper mélanger goûter

caraméliser ajouter

découper sucrer

Beurrer fariner enfourner

cuire

déguster

savourer

Soline.

 

 

 

Nager

Entrer dans un océan, se mouvoir dans la mer.

s’immerger ramer se déplacer

dans l’eau.
brasser crawler
flotter glisser surfer
Se baigner se tremper
Respirer inspirer sauter plonger
Remonter
Prendre pied
S’essuyer
Se sécher
Emmanuelle.

 

 

 

Courir

Trottiner sur la piste. Pressez le pas.

Gambader. Aller à vitesse folle. Piquer

un cent mètres.

S’échauffer

sautiller

Foncer filer zigzaguer

esquiver relancer poursuivre

Accélérer sprinter

dépasser

gagner

s’étirer

David.

 

 

Enquêter

Rechercher la vérité. Chercher des indices .

Sonder. Instruire

une affaire.

Examiner observer fouiller

Chercher

investiguer analyser expertiser

Réfléchir

se renseigner questionner déduire

Informer

perquisitionner menotter poursuivre

Juger disculper inculper

condamner

emmener

Emprisonner

Hippolyte.

 

 

 

Cuisiner

Exécuter la recette. Préparer un gâteau.

Confectionner

le plat.

Laver

Fariner  beurrer  séparer  mélanger 

transvaser  étaler  cuire 

démouler 

couper  découper  servir

manger  

déguster

savourer                                                                             Léna.

 

 

 

Courir

Marcher sur la piste. Piquer un cent mètres.

Courser. Rapide comme l’éclair. Aller

d’un train rapide.

s’échauffer

Trottiner gambader accélérer

Se dépêcher

Se précipiter

se presser distancer dépasser

Arriver

gagner

Mathias.

 

 

 

Ranger

Classer les bouquins. Trier les vêtements.
cataloguer. Débarrasser

le bureau.
Ordonner pendre jeter éliminer
aligner serrer pousser
Poser redresser caler
déposer, exposer

classifier
régler aménager
fermer
Manon.

 

 

 

Voyager

Aller dans un pays. Se déplacer dans un continent.

Bourlinguer. Découvrir des paysages. Faire

sa valise.

S’en aller embarquer arriver

Visiter arpenter déambuler

photographier filmer

Parcourir explorer repartir

décoller

débarquer

revenir

Apolline.

 

 

 

Chevaucher

Monter à cheval. Dresser sa monture.

Cavaler. Galoper en toute

liberté.

Rentrer pailler étriller

Curer

S'arnacher seller brider

emmener

régler sangler monter

marcher

trotter tourner allonger

galoper

travailler récompenser caresser

flatter

remercier encourager aimer

panser

déseller brosser partir

Inès.

 

 

 

 

Cuisiner

Préparer une recette. Faire un repas.

Concocter. Confectionner

Un plat.

Laver peler ajouter

cuire remuer flamber

saler poivrer

verser compléter napper

décorer parsemer servir

manger

déguster

Laura D.

 


 

 

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3 octobre 2012 3 03 /10 /octobre /2012 10:20

 

Boby la Pointe chanteur français, surtout connu pour ses textes parsemés de calembours et de jeux avec les mots. Ecoutez la chanson en lisant ces textes !
 

 

Les élèves de cinquième "Alfred de Vigny" ont écrit un texte poétique, en imitant les deux premiers quatrains de "Supposons une supposition" extraits de Nouvelles Enfantasques de Raymond Queneau.

 

 

« Supposons une supposition »

Suppose et supposons une supposition :

que le mot ver luisant se prononce escarcelle,

que le mot chocolat se prononce violon,

que le mot tirelire se prononce hirondelle.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde voler les tirelires en l’air,

on regarde briller l’escarcelle très tard,

on mange à son goûter du pain et du violon.

 

 Claude Roy, Nouvelles enfantasques, 1978.

 

Lisez leur création sans modération et laissez vos commentaires ! 

 

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot soleil se prononce meuble,

que le bonbon se prononce craie,

que le mot ballon se prononceoiseau.

 

Les dictées tout à coup ont un air bizarre.

On regarde voler le ballon en l'air,

on regarde briller le meuble très tard,

on mange à son goûter du pain et de la craie.

Laura D.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot miroir se prononce coussin,

que le mot confiture se prononce sable,

que le mot crayon se prononce aigle.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde planer les crayons en l’air,

on regarde briller les coussins très tard,

on mange à son goûter du pain et du sable.

Julie.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot étoile se prononce télévision,

que le mot confiture se prononce guitare,

que le mot dictionnaire se prononce montgolfière.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde voler le dictionnaire en l’air,

on regarde briller la télévision très tard,

on mange à son goûter du pain et de la guitare.

Laura F.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot ballon se prononce aigle,

que le mot beurre se prononce crayon,

que le mot bijou se prononce guitare.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde briller la guitare très tard,

on regarde lancer l’aigle en l’air,

on mange à son goûter de la brioche et du crayon.

David.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot genou se prononce chat,

que le mot pâte se prononce armoire,

que le mot argile se prononce chien.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde aboyer l’argile dans le jardin,

on regarde nager son chat très tard,

on mange à son déjeuner de la brioche et de l’armoire.

Marie.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot perroquet se prononce casserole,

que le mot cacahuète se prononce batterie,

que le mot médaillons se prononce chat.

 

Les dictées tout un coup ont un air bien bizarre.

On écoute miauler les médaillons,

on écoute chanter les casseroles très tard,

on mange à l’apéritif des olives et de la batterie.

Anthony.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot poule se prononce chien,

que le mot bonbon  se prononce comète,

que le mot tableau se prononce cheval.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde galoper le tableau dans le pré,

on regarde pondre le chien dans l’herbe,

on mange à son  goûter du pain et de la comète.

Apolline.

 

Suppose et supposons une supposition : 

que le mot chien se prononcevolet, 

que le mot pâte à tartiner se prononce vélo,

que le mot calculatrice se prononce papillon.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde papillonnerles calculatrices en l'air,

on regarde aboyer les voletstrès tard,

on mange à son goûter du pain et du vélo.

Richard.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot poisson se prononce dictionnaire,

que le mot confiture se prononcetélévision,

que le mot manteau se prononce soleil.

 

Les dictées tout a coup ont un air bien bizarre.

On regarde briller le manteau en été,

on regarde nager les dictionnaires dans l'étang,

on mange à son petit déjeuner du pain et de la télévision.

Soline.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot ordinateur se prononce singe,

que le mot confiture se prononce filme,

que le mot figurine se prononce perroquet.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde parler la figurine en l'air,

on regarde pirater le singe très tard,

on mange a son goûter du pain et du filme.

Pauline.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot oiseau se prononce chapeau,

que le mot bonbon se prononce bracelet,

que le mot cheval se prononce trousse.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde ranger le cheval dans son sac,

on regarde voler le chapeau en l'air,

on mange à son dîner du pain et du bracelet.

Angèle.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot goéland se prononce crayon,

que le mot banane se prononce pistolet,

que le mot train d’atterrissage se prononce ballon.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde rebondir le train d’atterrissage sur la piste,

on regarde voler les crayons dans le ciel azur,

on mange à son goûter du pain et du pistolet.

Hippolyte.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot dictionnaire se prononce table,

que le mot bonbon se prononce fauteuil,

que le mot pain se prononce clavier.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde frapper le pain en rythme,

on regarde feuilleter  la table très tard,

on mange à son goûter du miel et du fauteuil.    

Mathias.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot balançoire se prononce grand-père,

que le mot bonbon se prononce lampe torche,

que le mot dictionnaire se prononce piscine.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

on regarde nager le dictionnaire dans l’eau,

on regarde se balancer les grands-pères très tard,

on mange à son souper du pain et de la lampe torche.

Baptiste.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot violette se prononce piscine,

que le mot orange se prononce âne,
que le mot clé se prononce chemise.

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.
on regarde s’habiller les clés sur les portes,
on regarde cueillir la piscine très tard,
on presse pour son goûter du pamplemousse et de l’âne.
Annie.

 

Suppose et supposons une supposition :
que le mot cadeau se prononce lézard,
que le mot bonbon se prononce étoile,
que le mot nuage se prononce lapin.

Les dictées tout à coup on un air bien bizarre.
On regarde sauter les nuages en l’air,
on regarde offrir le lézard très tard,
on mange a son goûter du pain et de l’étoile.
Emmanuelle.


Suppose et supposons une supposition : 

que le mot étoile se prononce animal, 

que le mot confiture se prononce tableau, 

que le mot dessin se prononce oiseau. 

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.  

On regarde survoler le dessin en l'air, 

on regarde scintiller l'animal très tard, 

on déguste à son goûter de la brioche et du tableau.  

Lucille.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot cheval se prononce trousse,

que le mot banane se prononce ours,

que le mot chou se prononce piano.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On écoute jouer du chou au repas,

on regarde galoper des trousses,

on mange à son goûter du miel et de l'ours.

Léna.


Suppose et supposons une supposition :

que le mot poisson se prononce crayon,

que le mot chocolat se prononce tiroir,

que le mot tapis se prononce papillon.

 

Les dictées tout un coup ont un air bien bizarre.

On regarde voler le tapis en l'air,

on regarde nager le crayon dans l'eau,

on mange à son goûter du pain et du tiroir.

Manon.

 

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot étoile se prononce montre,

que le mot pain se prononce bureau,

que le mot avion se prononce brique.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde maçonner des avions au sol,

on regarde briller les montres très tard,

on mange a son gouter du chocolat et des bureau.

Thibault.


Suppose et supposons une supposition :

que le mot lune se prononce grille-pain,

que le mot café se prononce trompette,

que le mot coffre se prononce corbeau.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde voler les coffres en l’air,

on regarde briller le grille-pain très tard,

on boit à son goûter du lait et de la trompette.

Pierre-Louis.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le motoiseau se prononce vêtement,

que le mot bonbon se prononce livre,

que le mot voiture se prononce feuille,

 

Les dictées ont tout à coup un air bien bizarre.

on regarde voler les vêtements en l’air,

on regarde rouler les feuilles très tard,

on mange à son goûter du pain et des livres.

Sarah.

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot lampadaire se prononce table,

que le mot gâteau se prononce serpent,

que le mot arbre se prononce libellule.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde virevolter les arbres en l'air,

on regarde scintiller les tables très tard,

on déguste à son goûter du pain et des serpents.

Inès.

 

 

Suppose et supposons une supposition : 

que le mot étoile se prononce fauteuil,

que le mot confiture se prononce boue,

que le mot livre se prononce pigeon.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde voler les livres en l’air,

on regarde briller les fauteuils très tard,

on déguste à son goûter du pain et de la boue.

Méline.

 

 

Suppose et supposons une supposition :

que le mot étoile se prononce film,

que le mot beurre se prononce crayon,

que le mot livre se prononce oiseau.

 

Les dictées tout à coup ont un air bien bizarre.

On regarde regarder s’envoler les livres en l’air,

on regarde briller le film très tard,

on mange à son goûter du pain et du crayon.

Samantha.

 

  

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 


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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 10:43

EMPLOI du TEMPS – SEMAINE IMPAIRE – 6ème George Sand

 

 

Lundi

Mardi

Mercredi

Jeudi

Vendredi

8h30 9h25

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

Etude

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

9h25 10h20

Récréation

 

Histoire - Géographie

(Cahier + livre) 

 

C.D.I.

Arts plastiques

D. S. T.

 

Education civique

(Cahier)

10h35 11h30

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

 

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

 

11h30 12h25

Soutien

 

S. V. T.

(Classeur)

 

 

Soutien

              Soutien  

 

 

 

 

 

13h30 14h20

 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

 

Technologie

(Cahier)

 

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

Histoire  Géographie

(Cahier + livre)

14h35 15h30

Récréation

Technologie

(Cahier)

 

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

 

 

E. P. S. (Short ou jogging + tee-shirt + chaussures de sport)

 

Musique

(Cahier)

15h30 16h25

S. V. T.

(Classeur)

 

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

 

 

 

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

ð  Histoire géographie : livres dans le casier sauf exception - crayons de couleur + feuille calque + (Cahier d’éducation civique, dans le casier).

ð  Français : le gros classeur (ou boite de rangement) reste à la maison. Le livre d’orthographe « O. R. T. H. O. » et le dictionnaire restent dans le casier.

ð  Mathématiques : ardoise + stylo + brosse + matériel de géométrie (compas, équerre, règle).

ð  EPS : avoir toujours une tenue de rechange ! Pensez à marquer le nom de votre enfant sur ses vêtements.

ð  Anglais : le Workbook restera dans le cartable ou dans le casier ; le professeur préviendra à chaque fois.

ð  Arts plastiques : le matériel reste dans le casier.

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 10:41

EMPLOI du TEMPS – SEMAINE PAIRE – 6ème George Sand

 

 

Lundi

Mardi

Mercredi

Jeudi

Vendredi

8h30 9h25

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook) 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

Etude

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

9h25 10h20

Récréation

 

Histoire - Géographie

(Cahier + livre)

 

Culture religieuse

Arts plastiques

D. S. T.

 

Education civique

(Cahier)

10h35 11h30

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

 

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

11h30 12h25

 

 

S. V. T.

(Classeur)

 

Soutien

                

 

 

 

13h30 14h20

 

Français (Classeur + livre + petit cahier + répertoire)

Technologie

(Cahier)

 

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

Histoire - Géographie

(Cahier + livre)

14h35 15h30

Récréation

E. P. S. (Short ou jogging + tee-shirt + chaussures de sport)

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

 

 

E. P. S. (Short ou jogging + tee-shirt + chaussures de sport)

 

Musique (Cahier)

15h30 16h25

Anglais (Grand cahier + cahier d’exercices + livre + Workbook)

 

 

Mathématiques

(Cahier + livre)

 

ð  Histoire géographie : livres dans le casier sauf exception - crayons de couleur + feuille calque + (Cahier d’éducation civique, dans le casier).

ð  Français : le gros classeur (ou boite de rangement) reste à la maison. Le livre d’orthographe « O. R. T. H. O. » et le dictionnaire restent dans le casier.

ð  Mathématiques : ardoise + stylo + brosse + matériel de géométrie (compas, équerre, règle).

ð  EPS : avoir toujours une tenue de rechange ! Pensez à marquer le nom de votre enfant sur ses vêtements.

ð  Anglais : le Workbook restera dans le cartable ou dans le casier ; le professeur préviendra à chaque fois.

ð  Arts plastiques : le matériel reste dans le casier.

 

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